Décrocher son stage : une vraie démarche professionnelle !

Les étudiants de BTSA  de la filière Développement Agricole des régions Chaudes (DARC) de l’EPLEFPA de la Guyane ont passé fin septembre de véritables entretiens d’embauche pour postuler à un stage en entreprise en République Dominicaine.

Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) Franco-Dominicaine, Mr Plisson a  participé à cet exercice via zoom depuis Saint-Domingue. Ces entretiens font partie de la préparation au départ des apprenants dans le cadre du projet « Réseau d’Enseignement de l’Agro-écologie dans la Caraïbe » : la Transition – REACT.

4 semaines en République Dominicaine

En amont des entretiens, la première phase pour les étudiants a consisté à envoyer leur CV à la CCI-Franco-Dominicaine, qui a transmis les candidatures aux entreprises locales. Sur la demande de certaines structures, les étudiants ont passé un entretien avant la validation finale et la signature de la convention de stage. A la fin de l’entretien et après de nombreux conseils et informations fournies sur les entreprises recruteuses, chaque étudiant a pu trouver un employeur en accord avec son projet professionnel. Les étudiants sont placés dans diverses exploitations de transformations laitières, de productions végétales et de filières fruits et légumes ou des sociétés d’import-export de produits agricoles et ce pour une durée de 4 semaines du 22 octobre au 17 novembre 2022.

Le projet est une initiative du réseau Caraïbe de l’enseignement agricole et il est porté par le réseau et l’EPL de Guyane. Ce projet de coopération internationale s’inscrit dans le Plan Enseigner à produire autrement 2 (EPA2) du Ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire. Il a obtenu un financement de 1 million 530 932 € dont 75% du Fonds européen de développement régional (INTERREG) et une participation financière des partenaires à hauteur de 25% de la subvention.

Objectif : accroître la mobilité au sein de la Caraïbe

Les objectifs du projet REACT sont en accord avec l’objectif spécifique 16 du programme INTERREG : accroître la mobilité étudiante et professionnelle au sein de l’espace Caraïbe.
Le projet REACT va permettre des échanges de bonnes pratiques et le développement des recherches autour des options basées sur la diversification des pratiques agricoles mettant en avant l’agroécologie dans la région de la Grande Caraïbe. Cet investissement dans la formation des apprenants et des personnels est une assurance des capacités futures de nos sociétés à relever les défis d’une agriculture éco-responsable. C’est un réel levier de développement. L’originalité et la valeur ajoutée du projet REACT est de proposer une approche intégrée de Formation/Recherche/Développement.

5 objectifs spécifiques

Objectif spécifique 1 : Formation des jeunes apprenants français et caribéens, via des stages de 2 à 24 semaines, en milieu international et multilingue
Objectif spécifique 2 : Renforcement de capacité des enseignants et chercheurs français et Caribéens
Objectif spécifique 3 : Contribution avec la recherche à renforcer les connaissances sur les systèmes en transition agroécologiques
Objectif spécifique 4 : Valorisation et capitalisation des échanges de savoirs et de compétences
Objectif spécifique 5 : Consolidation d’un réseau type “ERASMUS” Caribéen en Agro-sciences

Le projet REACT vise à renforcer le capital humain des territoires ultramarins afin « d’Enseigner à produire autrement » en favorisant la formation et la professionnalisation des élèves, des étudiants et des enseignants des lycées agricoles, ainsi que les maîtres de stage et les enseignants-chercheurs en agrosciences via des mobilités entre établissements d’enseignement, entreprises, ONG et organismes de recherche à l’échelle de la grande Caraïbe. Les partenaires Caribéens du projet REACT travaillent dans la formation et la recherche et sont issus de sept pays : Aruba, Barbade, Cuba, France, République Dominicaine, Saint-Martin et Trinidad et Tobago.

Les personnels des EPLEFPA quant à eux participent à des formations d’acquisition de compétences linguistiques dans le domaine de l’agroécologie du 22 octobre au 5 novembre 2022. Ces compétences seront utilisées lors de la mobilité entrantes des 10 partenaires Cubains en Guyane du 9 novembre au 5 décembre 2022. Les enseignants-chercheurs travailleront avec les étudiants, les personnels des EPLEFPA et les agriculteurs locaux sur la thématique de la transition écologique et les pratiques agroécologiques des territoires partenaires.

Pour retrouver toutes les informations et documentation sur le projet INTERREG Caraïbes REACT 

 

Contact : Frédérique LOUMETO-IPOLO, animatrice du réseau Caraïbes de l’enseignement agricole, frederique.loumeto-ipolo@educagri.fr




La mangue à toutes les sauces

Le réseau Caraïbes a participé aux journées techniques du festival de la mangue du 15 au 19 juin 2022, à Bani en République Dominicaine, au côté des partenaires du projet INTERREG Caraïbes REACT.

Ce festival a été l’occasion de rencontrer une grande partie des acteurs de la filière agricole fruit de la République Dominicaine, plus particulièrement les producteurs de mangues réuni dans une coopérative ou Cluster de la mangue dominicaine – PROMANGO.

En plus des rencontres avec les responsables de filières, cette fête de la mangue a permis d’échanger avec les élèves des établissements agricoles présents sur le salon notamment ceux de l’Instituto Politécnico Loyola, de rencontrer les enseignants et le directeur de l’Institut. Ces derniers ont exprimé leur souhait de mettre en place des échanges fructueux entre les établissements agricoles français et les dominicains. Une visite technique d’une délégation Française en République Dominicaine est à envisagée.

L’Institut Polytechnique Loyola (IPL), fondé en 1952, est un établissement d’enseignement public polyvalent agricole situé dans la province de San Cristóbal, à 1h30 de Santo Domingo, la capital de la République Dominicaine. Il propose des formations du niveau Initial (équivalent des classes de 4è et 3ème de l’enseignement agricole français) au Baccalauréat.

Fruit de l’économie dominicaine

La mangue s’est positionnée comme un produit important pour l’économie dominicaine. La superficie plantée a dépassé 130 000 hectares avec environ 1 800 plantations commerciales regroupées autour du Cluster PROMANGO. Il s’agit d’une filière bien organisée et qui répond aux normes européennes d’exportation. Cette filière devrait générer en 2022 près de 40 millions d’euros de rentabilité pour la République Dominicaine (source Ministère de l’Agriculture Dominicain).

La demande locale et internationale pour les variétés de mangues dominicaines se démarque, comme « Mingolo », qui est devenue la principale variété d’export avec 22% des exportations, suivie de « Crema de Oro » et « Banilejo » avec 6% chacun, des exportations vers les marchés d’Europe, des États-Unis d’Amérique et du Canada.

Pour mieux connaître les 120 variétés

Une exposition des variétés génétiques de la mangue dominicaine s’est tenue autour de plus de 120 variétés avec des dégustations des principales commercialisées dans le pays, la vente de mangues et de produits à base de fruits, une exposition de matériel et de fournitures.  Durant les séminaires, un exposé sur les technologies de production, la gestion des pathologies et l’impact du changement climatique sur les habitudes de plantation a remporté un vif succès auprès des participants. De nombreuses délégations internationales étaient présentes dont la plus importante venue de la Jamaïque.

Comme chaque année, pour la célébration de l’Expo Mango, le Comité d’organisation a préparé un vaste programme éducatif et culturel. Comme les  journées techniques auxquelles nous avons participé aux côtés de notre partenaire l’Instituto Dominicano de Investigaciones Agropecuaria (IDIAF) . Cet institut  possède une station expérimentale de fruits à Baní, dédiée à la recherche en culture fruitière avec une zone tropicale, un centre expérimental de 1 275 hectares et dispense une assistance technique aux agriculteurs. En son sein on retrouve le Cluster  Ovino Caprino dédié aux Ovins-Caprins.

Opportunités de stages pour les jeunes

Durant cette mission, d’autres rencontres ont eu lieu avec des partenaires, tels que la Chambre de Commerce Franco- Dominicaine, qui pourra identifier des lieux de  stage pour  des étudiants de l’enseignement agricole français, notamment avec un profil bac+2  dans les filières agricoles organisées de la république Dominicaine : les filières fruits, les entreprises de transformation agroalimentaire, entre autres.

Voir les reportages des médias locaux  :

  • Abriendo La Mañana :

Pour connaître le projet INTERREG Caraïbes REACT, retrouvez les précédents articles

Contact : Frédérique LOUMETO-IPOLO, animatrice du réseau Caraïbes de l’enseignement agricole, frederique.loumeto-ipolo@educagri.fr




Desde Versailles hasta Cuba

4 lycées agricoles français ont finalisé leur participation au projet innovant Agrécocarribe par la production d’un outil pédagogique intégrant des principes de l’agroécologie – Résultat d’une collaboration avec leurs partenaires Cubains pour une transmission des savoirs.

Le projet Agrécocarribe, financé par le Fond de solidarité pour les projets innovants (FSPI), a permis des missions franco-cubaines, débutant par une mobilité d’enseignants-chercheurs cubains à Maule (Yvelines). Ce premier échange a été suivi d’une mission composée d’enseignants, de chefs d’exploitation et d’agriculteurs français à Cuba.

Les projets FSPI couvrent des secteurs variés dont le domaine de l’éducation pour 40%. Le projet Agrécocarribe s’inscrit dans une dimension régionale forte impliquant notamment les sections BTS des lycées de Martinique, Guadeloupe, Guyane et du LEAP du Buat (Yvelines), mais également dans une coopération sud-sud.

Entre horticulture et patrimoine

« Dans le cadre du projet de construction de l’outil pédagogique, le LEAP du Buat, en collaboration avec les établissements publics agricoles des Antilles-Guyane, a accueilli du 19 au 29 janvier 2022, une délégation de onze enseignants-chercheurs cubains et leurs homologues d’Outre-mer pour une série de séminaires et d’ateliers sur le thème de l’agroécologie.

La délégation de scientifiques en provenance de 6 universités cubaines est arrivée à l’aéroport de Roissy sous un ciel froid et pluvieux, bien différent de la douceur tropicale de l’ile de Cuba. Le choc thermique passé, la délégation cubaine a suivi une série de séminaires dispensés par l’établissement du Buat sur les thèmes de la politique agricole commune en Europe, les attentes sociétales au sein du marché français, les formes de commerce et de distribution ou encore les certifications du secteur agroalimentaire.

Des ateliers d’échange ont permis aux scientifiques cubains de se rapprocher des professionnels français et d’acquérir une vision concrète du modèle commercial français. Par la même occasion, la délégation cubaine a pu se familiariser avec le système éducatif et comprendre les différences entre la formation en alternance et la formation scolaire dans l’enseignement agricole français.

Ces rencontres ont permis aux acteurs de se forger un regard croisé sur les modèles agricole, éducatif et commercial franco-cubain. La délégation a échangé directement avec des acteurs du monde agricole en visitant le marché des producteurs locaux de Versailles, la ferme expérimentale de Plaisir Grignon, et la coopérative BioCoop.

La délégation a également pu aller à la rencontre des personnels de l’école nationale supérieur du Paysage de Versailles (ENSP) et du potager du Roi, suivi par la visite du château, ainsi que d’autres sites culturels phares de l’île de France, tels que le musée du Louvre et la Tour Eiffel. »

 
Les Français à Cuba

Du 1er au 9 février 2022, c’est au tour de la délégation française d’être reçue à Cuba pour finaliser les travaux de recherche et aborder les perspectives de futurs projets. La délégation française, composée d’enseignants du LEAP du Buat, des équipes des établissements (enseignants et chef d’exploitations) des lycées de Matiti en Guyane, de la Guadeloupe, ainsi que des agriculteurs et de chercheurs du CIRAD, est arrivée à l’aéroport de la Havane pour le séminaire de clôture du projet FSPI-Agrecocarribe sur le thème de l’agroécologie.

« Après la surprise du cadre enchanteur de Cuba, la délégation française a suivi aux côtés des chercheurs cubains les séminaires de synthèse sur les travaux menés dans les domaines de l’agroécologie mais également sur la pédagogie et la création d’outils communs entre la France et Cuba en matière de transmission des savoirs. »

La pédagogie comme transmission des savoirs agroécologiques

Les ateliers ont permis l’élaboration de documents de travail faisant le lien entre les différents référentiels de l’enseignement agricole et les avancées scientifiques du projet FSPI/Agrecocarribe. Ce séminaire de clôture a également permis de jeter les ponts de futures collaborations entre Cuba et la France, tant pour le personnel enseignant que pour les apprenants.

Durant ces échanges, l’ensemble des résultats d’expérimentation mais aussi des méthodes d’enseignement, tel que le transfert aux apprenants de la connaissance et la technologie des Microorganismes Autochtones Bénéfiques (MAB)déjà utilisées dans les pratiques écologiques cubaines ont fait l’objet d’échanges.

Les partenaires franco-cubains vont pouvoir continuer à travailler ensemble sur la thématique de l’agroécologie à travers le nouveau projet Interreg Caraïbes REACT – suite logique au projet FSPI – qui s’est terminé au 28 février 2022.

La transition avec REACT

Le projet du Réseau d’Enseignement de l’Agro-écologie dans la Caraïbe : la Transition (REACT), qui a été lancé officiellement le 25 janvier 2022, vise à renforcer le capital humain des territoires ultramarins afin « d’Enseigner à produire autrement » en favorisant la formation et la professionnalisation des élèves, des étudiants et des enseignants des lycées agricoles, ainsi que les maîtres de stage et les enseignants-chercheurs en agrobiosciences via des mobilités entre établissements d’enseignement, entreprises et ONG ou encore organismes de recherche à l’échelle de la grande Caraïbe.

Les partenaires Caribéens du projet REACT travaillent dans la formation et la recherche et sont issus de sept pays : Aruba, Barbade, Cuba, France, République Dominicaine, Saint-Martin et Trinidad et Tobago.

Le projet est une initiative du réseau Caraïbe de l’enseignement agricole français qui le porte avec l’établissement d’enseignement agricole de Guyane.

Ce projet de coopération internationale s’inscrit dans le Plan Enseigner à produire autrement 2 (EPA2) du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Il a obtenu un financement de plus 1, 5 Million dont 75% du Fond européen de développement régional (INTERREG) et une participation financière des partenaires à hauteur des 25% restant.

La dimension formation, coordonnée par le lycée agricole de Matiti à Macouria en Guyane proposera des mobilités entre les institutions cubaines et les sections BTSA des lycées de Martinique, Guadeloupe et Guyane ainsi que des mobilités de niveau master et doctorat d’ici la fin de l’année 2022.

A lire aussi le précédent article sur le projet Agrecocarribe

Également l’article sur le lancement officiel de REACT

Le Fond de solidarité pour les projets innovants, les sociétés civiles, la francophonie et le développement humain (FSPI) est un dispositif de financement phare du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, qui permet aux ambassades de mener sur le terrain des actions innovantes à impact rapide et fortement visibles au bénéfice des populations locales. Le projet peut être porté au niveau national ou régional.

Article proposé en commun par l’EPLEFPA Guyane et LEAP le buat

Liste des Établissements partenaires :

Universidad de Artemisa
Universidad de Ciego de Ávila
Universidad de Guantánamo
Universidad de Matanzas
EEPFIH (Estación Experimental de Pastos y Forrajes « Indio Hatuey »)
CENSA (Centro Nacional de Sanidad Agropecuaria)
IIHLD (Instituto de Investigaciones Hortícolas Liliana Dimítrova)
CIRAD (Centro de cooperación internacional en investigación agronómica para el desarrollo)
IRD (Instituto de investigación para el desarrollo)
ANAP-Perico (Asociación Nacional de Agricultores Pequeños)
ANAP-Colón (Asociación Nacional de Agricultores Pequeños)
EPLEFPA Croix Rivail // Liceo agrícola Croix Rivail, Martinica
EPLEFPA du Robert // Liceo agrícola Robert, Martinica
EPLEFPA Guadeloupe // Liceo agrícola de Guadalupe
EPLEFPA Matiti // Liceo agrícola de Matiti, Guyana
LEAP Le Buat

Contact : Frédérique LOUMETO, animatrice du réseau Caraïbes de l’enseignement agricole, frederique.loumeto-ipolo@educagri.fr




1er e-salon : Guyane Terre d’Élevage

Organisé par l’Interprofession Élevage et Viandes de Guyane (INTERVIG), en partenariat avec la Collectivité Territoriale de Guyane, le premier salon « Guyane terre d’élevage » ouvrait ses portes ce vendredi 5 novembre 2021, pour une durée de 2 jours, avec pour nouveauté une dématérialisation, sous le format “e-salon”, occasion de présenter les projets Caraïbes à l’international.

Les 5,6 et 7 novembre 2021, c’était le salon « Guyane, terre d’élevage » organisé par l’Intervig, l’interprofession viande et élevage de Guyane.  l’EPLEFPA de la Guyane a pu présenter le centre Europe directe Antilles-Guyane au public. Les organisateurs du salon ont comptabilisé plus de 1200 entrées alors qu’ils n’en attendaient que 500.  Une première édition permettant à la population de rencontrer et d’échanger directement avec les producteurs du territoire : éleveurs, bouchers, agriculteurs, restaurateurs… Ce qui a permis de présenter le volet coopération internationale de l’EPLEFPA de la Guyane et les projets en cours (Erasmus+ REEF Caraïbes et INTERREG Caraïbes REACT). Nous avons reçu à notre stand M. Queffelec le préfet de la Guyane, Mr Patrick Labranche président d’INTERVIG.

M. Gabriel Serville, président de la collectivité de la Guyane , M. Thibault Lechat-Vega 3e vice-président délégué à l’Europe, aux affaires institutionnelles, à l’égalité et aux relations avec les Guyanais de l’extérieur, Vice-président en charge de l’Europe, Mme Viviane Tchung-Ming, chargée de coopération CTG .  Il y a également eu une table ronde sur la souveraineté alimentaire.

M. Julien Denormandie, ministre de l’agriculture a adressé quelques mots en ouverture, encourageant cette démarche de salon à la fois physique et à distance, valorisant les producteurs locaux et le potentiel guyanais.De G vers la D Mme la conseillère , Mr Lechat-Vega, Mr le Président de la CTG Gabriel Serville, Mme Tchung-Ming chargée de la Coopération à la CTG, Mme Loumeto-Ipolo animatrice réseau Caraïbes

Un évènement qui concrétise également le lancement de la 6ème édition du mois de la viande locale.

Étaient également présents :

Arnaud Martrenchar, délégué interministériel à la transformation agricole, Roger Alain Aron, 7e vice-président  délégué à l’agriculture, la pêche, la souveraineté alimentaire et l’évolution statutaire, Christiane Barbe conseillère territoriale déléguée à l’agroalimentaire, Jean-Luc Le West, 13e vice-président délégué au développement économique et au tourisme, Sherly Alcin, conseillère territoriale délégué au climat, à l’éducation, à l’environnement et chargée du protocole, Philippe Bouba, 5e Vice-Président délégué à l’enseignement supérieur et à la recherche, Thara Govindin, président du MEDEF Guyane, Patrick Lecante, maire de Montsinéry-Tonnegrande.