School Dating avec la Pologne

Dans le cadre de la coopération européenne et dans le but de développer de nouveaux échanges et  partenariats, 70 participants, 17 lycées agricoles français et 31 lycées agricoles polonais se sont rencontrés lors d’un webinaire « School Dating » le 10 mars 2021.

Le Secrétaire d’Etat du Ministère de l’Agriculture polonais a ouvert le Webinaire « enseignement agricole » et a mis l’accent sur la nouvelle orientation des programmes européens en faveur de l’écologie et de la biodiversité, ainsi que sur la nécessité pour l’agriculture polonaise d’évoluer d’un système macro vers des exploitations à taille humaine. Il a souligné l’importance d’espèces animales endémiques qui génèrent de l’activité économique et particulièrement du tourisme comme un exemple et un modèle à impulser dans le monde agricole. Il a conclu en évoquant la production de produits biologiques qui devra être développée dans les pratiques agricoles en appliquant de nouvelles méthodes apprises lors de coopération et d’échanges.

L’Ambassadeur de France a orienté son discours sur 3 axes, le premier concernait l’importance des échanges entre étudiants pour attirer la jeunesse dans les zones rurales et lui donner envie de s’orienter dans les filières de lycées agricoles. Le second axe primordial est le changement climatique et l’implication des jeunes dans la prise en compte de ces changements. Enfin, l’élaboration commune des politiques européennes par la coopération entre états membres, dans le but d’assurer la pérennité de notre système éducatif agricole.

Le Directeur du département de l’enseignement agricole et de la politique sociale a présenté le schéma de l’enseignement agricole polonais avec ses 27 métiers dispensés,  13 414 élèves en lycées agricoles , 2 179  élèves en premier degré agricole (équivalent collège français)  2 644 enseignants et 943 agents administratifs et de services. Les formations polonaises s’apparentent à celles qui sont proposées par l’enseignement agricole français, autour du paysage (aménagement, architecture, horticulture),  de la production animale,  de l’agro- équipement, agro-tourisme, mais aussi les domaines autour de l’agronomie et de l’écologie (les énergies renouvelables,  la gestion de l’eau…) , ou encore l’agribusiness, la transformation, les métiers de la forêt, les services vétérinaires… etc.

La Directrice du Bureau de l’enseignement professionnel de l’Agence Nationale Erasmus+ Pologne nous informe que le programme Erasmus+ 2021-2027 dispose de 26 milliards d’euros pour financer des mobilités favorisant l’éducation au développement durable et à l’éducation numérique. Le but est de soutenir les mobilités à moindre impact carbone en ayant recours à des activités virtuelles dans le cadre de mobilités hybrides et de renforcer l’usage d’outils numériques.

La chef du Bureau des Relations Européennes et de la Coopération Internationale de la Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche a, pour sa part, présenté les spécificités de l’enseignement agricole français.

La Conseillère professionnelle du centre d’enseignement agricole de Wicenty Witos de Bonin a présenté son établissement scolaire agricole et nous a fait part du partenariat Erasmus+ mis en place depuis septembre 2020 avec l’EPLEFPA Formaterra de Saint Paul (Réunion), représenté à ce webinaire par la Chargée de coopération internationale de l’établissement réunionnais.

Par la suite, les établissements qui le souhaitaient ont pu se rencontrer et échanger de manière bilatérale, dans plusieurs salles numériques.

A l’occasion de ce School-Dating, les acteurs de la coopération franco-polonaise ont mesuré leur objectifs communs dans la volonté d’intégrer les enjeux sociétaux de la transition écologique. Par leurs thématiques similaires de formation, ils souhaitent orienter leurs partenariats vers des valeurs durables où les réflexions sur l’agronomie et les énergies renouvelables ainsi que la gestion de l’eau ont un rôle essentiel.

Ces thématiques sont chères aux établissements d’enseignement agricole français qui s’engagent, depuis plusieurs années déjà dans des pratiques innovantes (Ref – Plan enseigner à produire autrement pour les transitions et l’agro-écologie développé dans l’enseignement agricole au niveau nationale). L’idée « d’essaimer » ces bonnes pratiques pourront séduire les établissements français et les conforter dans leur envie de se lancer dans de futurs projets de coopération avec des homologues polonais.

Pour plus d’information, contacter : Pascale Labrousse, animatrice du réseau Pologne de l’enseignement agricole – pascale.labrousse@educagri.fr

 

 




Françoise Vanga, un parcours de coopération exceptionnel

Françoise Vanga est une personnalité incontournable de la coopération franco-ivoirienne dans le domaine de l’enseignement agricole. C’est sous la forme d’une interview-portrait qu’elle nous présente son parcours et les étapes importantes des partenariats menés pour dynamiser les liens entre établissements ivoiriens et français, facilitant la mobilité réciproque et en particulier l’accueil de services civiques.

Françoise Vanga, vous êtes ivoirienne, quels sont vos liens avec l’enseignement agricole français?

Actuellement sous-directrice des enseignements à l’Institut National de Formation Professionnelle Agricole (INFPA), équivalent ivoirien de la DGER, titulaire d’un Diplôme d’Étude Approfondie en Écologie Tropicale obtenu en 1992 à la Faculté des Sciences de l’Université d’Abidjan, je suis un pur produit de la coopération internationale entre établissements agricoles !

À titre d’exemple, j’étais membre en 1986 du comité de rédaction des textes officiels du réseau de partenariat des établissements agricoles de France et de Côte d’Ivoire, signé en 1990.

J’ai ensuite eu diverses opportunités de me rendre en France. Ainsi, en 1992 j’ai suivi, à Troyes, un stage de formation à l’utilisation de l’audiovisuel dans l’enseignement de la biologie. En 1999, j’ai été membre de la mission d’étude des systèmes de formation comparés en milieu rural de France et de Côte d’Ivoire dans les Monts du Forez. J’ai pu participer aux Journées de la Coopération Internationale de l’Enseignement Agricole, en 2000 au LPA de Saint Gervais d’Auvergne puis en 2012 à Lyon. En 2000 aussi j’ai été invitée à présenter à Montpellier le cas de l’INFPA lors d’un atelier portant sur l’ingénierie des dispositifs de formation à l’international, en partenariat avec un consortium composé du CNEARC de Montpellier, de l’ENFA de Toulouse et de l’ENESAD de Dijon. En parallèle, pendant la dernière décennie, je me suis rendue chaque année à Paris pour une série d’activités concernant le renforcement des partenariats avec les opérateurs économiques et institutions françaises et européennes dans le cadre du Salon International de l’Agriculture.

Enfin, en 2019, j’ai contribué à la rédaction de la déclaration d’intention de coopération entre la DGER et l’INFPA.

A la DGER en 2009

Au SIA en 2019

2018-2020 : une nouvelle dynamique de coopération franco-ivoirienne

Ces dernières années, la coopération entre établissements agricoles français et INFPA a été particulièrement relancée. Deux délégations de personnels français ont été reçues en Côte d’Ivoire, l’une en mars 2018, l’autre en novembre 2019. Et deux délégations de chefs d’établissements ivoiriens ont été accueillies en France par le réseau Afrique de l’Ouest à l’occasion du SIA en 2019 et 2020.

Ces échanges ont permis l’envoi en stage de formation dans le cadre du service civique de sept étudiants de l’INFPA dans quatre établissements agricoles français en 2018-2019 et cinq en 2019-2020.

Lors du Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales à Abidjan (SARA) en novembre 2019, la déclaration d’intention de coopération entre la DGER et l’INFPA a été signée en présence des ministres français et ivoiriens en charge de l’agriculture. Nous avons ensuite reçu dans notre établissement de Bingerville la délégation ministérielle française, et M. le Ministre Didier Guillaume m’a fait l’honneur de me décorer « Chevalier du mérite agricole français ».

2020-2021 : une transition pour le réseau France en Côte d’Ivoire

La dernière rencontre en présentiel entre nos deux réseaux en France, en février-mars 2020, a été l’occasion de faire ensemble un point d’étape. Côté INFPA, on se dit pleinement satisfaits des retombées des mobilités des étudiants ivoiriens en BTS via le dispositif de service civique mis en place entre la DGER et l’INFPA depuis 2018. Sont en particulier à souligner la qualité de l’accueil et de l’encadrement en France.

À noter qu’en terme de sélection des candidats au service civique en France, l’INFPA est extrêmement vigilant à sélectionner les étudiants les plus motivés avec un projet clair et bien construit. L’INFPA est également particulièrement soucieux de ce que les étudiants ivoiriens reviennent en Côte d’Ivoire afin de poursuivre soit leur cursus de formation, soit leurs projets professionnels.

Par ailleurs, France Volontaire assure une préparation au départ appropriée, grâce à son espace du volontariat à Abidjan. L’INFPA souhaiterait ainsi augmenter le nombre de missions de service civique par an, ce qui devait déjà se réaliser en 2020-2021 mais la COVID en a décidé autrement, du moins pour l’instant.

Un autre projet nous tient à cœur : la proposition élaborée par la DGER et ADECIA en réponse à l’appel à projets du Hub franco-ivoirien pour l’éducation lancé par l’ambassade de France à Abidjan. Il s’agit du projet FOSTA (FOrmation Supérieure en Sciences et Technologies des Aliments) qui a pour objectif de diversifier et dynamiser le cursus de formation de l’INFPA en vue de renforcer l’employabilité des jeunes sortants d’une part, et de contribuer significativement à la croissance économique du pays d’autre part. Un projet important donc, qui devrait prendre forme en 2021, sous la houlette de mon successeur…

En effet, animatrice du réseau France en Côte d’Ivoire depuis 1996, je passe désormais le flambeau à Madinan Soro, qui continuera à entretenir au mieux ces liens tissés depuis trois décennies déjà.

Contacts :

Vanessa FORSANS, Jean-Roland ARBUS, co-animateurs du réseau Afrique de l’Ouest, vanessa.forsans@educagri.fr, jean-roland.arbus@educagri.fr

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr




Une coopération ambitieuse pour la formation agricole avec le Cameroun

Le premier Comité de Suivi de la coopération Franco-Camerounaise dans le domaine de l’enseignement et de la formation agropastorale et rurale s’est tenu le 9 mars 2021. Il a été l’occasion de revenir sur la richesse de la coopération menée dans le cadre de la rénovation d’une partie du dispositif de formation professionnelle camerounaise ainsi que sur les nombreuses collaborations en matière de mobilité des jeunes, de création de modules de formation et d’appui à l’entreprenariat.

Le comité de suivi a été marqué par la présence de Son Excellence l’ambassadeur du Cameroun en France et Madame la première conseillère chargée des affaires économiques à l’ambassade du Cameroun à Paris. Ont été également présents, la conseillère aux affaires agricole basée à Abuja au Nigéria, des représentants de l’Inspection de l’Enseignement Agricole (IEA), l’Institut Agro – site de Montpellier, l’Agence Française de développement (AFD) et le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER).

Comité de suivi du 9 mars 2021 organisé en distanciel

Ce Comité, né d’un accord-cadre intergouvernemental signé en octobre 2018, est co-présidé par le Secrétaire Général du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural (SG MINADER) pour la partie Camerounaise, et par la Directrice Générale de l’Enseignement et de la Recherche (DGER).

Les échanges ont été l’occasion de souligner la longue et riche coopération entre le Cameroun et la France autour des deux axes majeurs.

Le premier consiste au suivi d’un programme de rénovation du dispositif de formation professionnelle agropastorale et halieutique (PCP AFOP) au Cameroun et pour lequel le MAA, avec l’Institut Agro – école de Montpellier en tant qu’opérateur, est engagé depuis sa genèse en 2008.

Travail sur la plantation d’avocat entre apprenants camerounais et français au Centre international d’initiation au développement d’Akonolinga (formation en agriculture et pisciculture).

Le second axe regroupe tous les volets de coopérations qui engage le réseau Cameroun de l’enseignement technique agricole de la DGER et qui favorise des mobilités de jeunes apprenants entre nos deux pays, le développement de modules de formation, l’appui à l’entreprenariat, et enfin le renforcement de chaînes de valeurs ancrées dans leurs territoires.

Le réseau Cameroun de l’enseignement agricole comme lien

Zone Sud d’Ebolowa, rocher Ako AAkas, visite dans le cadre d’une réflexion d’aménagement d’écotourisme

Le réseau Cameroun de la DGER contribue également au programme PCP AFOP dans le cadre de la mise en place de plates-formes pédagogiques autours de la transformation de banane, d’ananas, de manioc et de cacao ou encore de l’agroéquipement et enfin de l’apiculture.

Au cours de ce comité, La Directrice Générale de l’Enseignement et de la Recherche a souligné l’inscription de la coopération Franco-Camerounaise dans le cadre de la stratégie Europe et International du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation (MAA) au titre de laquelle a été réaffirmé le caractère structurant des partenariats privilégiés entretenus avec les pays africains.

Une coopération intégrée dans une stratégie globale au profit d’une dynamique renouvelée

Cette stratégie vise l’appui au développement des filières agricoles, l’accompagnement à la transition numérique des systèmes agro-alimentaires, l’agroécologie, la stimulation de la recherche et de l’innovation ou de la formation des enseignants et des étudiants. Ainsi, le sommet Afrique-France, prévu en juillet 2021 à Montpellier, sera une occasion de mettre en lumière les partenariats entre la France et le Cameroun.

Il a également été rappelé que la dynamique partenariale du MAA renouvelée avec les pays africains, a pour ambition de renforcer l’esprit de co-construction en vue d’aboutir à des impacts durables sur les villes et territoires en Afrique comme en France au bénéfice de la jeunesse. Il s’agit en particulier des 4 engagements pour l’Afrique* de l’enseignement agricole, dont la vocation est de concrétiser ce changement de méthode, en déclinaison du discours du Président de la République française à Ouagadougou en novembre 2017, et qui avait notamment annoncé l’éducation comme priorité absolue du partenariat entre la France et l’Afrique.

Trouver ensemble des solutions ambitieuses et durables

Il a en outre été relevé, à la lumière de la crise liée à la pandémie Covid-19, l’importance de partager entre la France et le Cameroun nos connaissances et de conjuguer nos efforts afin de trouver ensemble des solutions durables aux défis que représentent le changement climatique et ses conséquences comme notamment la perte de biodiversité, la santé des sols, la santé des animaux et en lien, bien entendu, avec la santé des hommes.

Ainsi, les priorités du MAA, et qui seront probablement au cœur des collaborations futures entre la France et le Cameroun, devraient porter sur ces besoins de transformation de nos systèmes alimentaires vers davantage de durabilité. Le sommet des nations unies sur les systèmes alimentaires de septembre 2021 sera l’occasion de proposer des solutions ambitieuses, comme la transition agroécologique et son enseignement que la France porte à travers le programme Enseigner à Produite Autrement (EPA 2).

Pour en savoir plus sur le Plan Enseigner à produire autrement, pour les transitions et l’agro-écologie, consulter la plaquette

Consolidation et pérennisation du programme PCP AFOP

L’objectif central de la tenue de ce comité résidait dans la mise en œuvre de la 3ème et dernière phase du programme PCP AFOP et dite de « consolidation et de pérennisation », dont l’enjeu essentiel est d’accompagner les partenaires camerounais à relever l’enjeu de la mise en place d’un dispositif de formation agricole et d’accompagnement à l’insertion professionnelle via l’institutionnalisation des fonctions et des compétences développées ces onze dernières années au sein de ce projet.

Dans ce cadre, la DGER a renouvelé son engagement auprès du Cameroun pour la mise en œuvre de cette 3ème phase en mobilisant son expertise et les établissements qui sont sous sa tutelle dont en particulier, l’Ecole Nationale Supérieure de Formation de l’Enseignement Agricole (ENSFEA) et l’Institut Agro.

Dans ce contexte, l’Institut Agro, en lien étroit avec la DGER, dans un esprit de co-construction avec la partie camerounaise, va assurer la coordination du consortium en charge de la mise en œuvre de cette troisième phase, sur une durée de 36 mois et avec un budget de 470 437 077 FCFA TTC (environ 717 000 € via un financement Contrat de Désendettement et de Développement – C2D).

Légende de la photo de tête d’article : Photo des partenaires de la coopération Franco-Camerounaise, réunis au Cameroun, dans le cadre du séminaire de démultiplication du projet Keka Wongan en février 2018 – Projet modèle transféré à d’autres projets de transformation (séminaire organisé par le Collège Régional d’Agriculture d’Ebolowa et l’EPL Nantes-Terre-Atlantique). 

Pour en savoir plus sur le programme C2D au Cameroun

*Pour information – Rappel des objectifs des 4 engagements pour l’Afrique de l’enseignement agricole :

  • –  Soutenir les réformes des dispositifs de formation agricole et rurale en Afrique,
  • –  Intensifier la mobilité réciproque des étudiants et enseignants,
  • –  Co-construire un réseau Afrique-France de formations croisées et de doubles diplômes pour l’avenir des filières agricoles, forestières et agroalimentaires,
  • –  Soutenir les jeunes agriculteurs/éleveurs/transformateurs entrepreneurs africains en les accompagnant dans la phase de préparation et construction de leur projet.

Contact :

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr




L’enseignement agricole engagé dans le groupe de concertation national sur l’ECSI

Pour renforcer l’engagement citoyen et la transition écologique, solidaire et démocratique, l’éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale (ECSI) joue un rôle essentiel. Cette synthèse de l’argumentaire commun réalisé par le groupe de concertation sur l’ECSI met en avant les raisons principales pour lesquelles l’ECSI doit constituer une priorité des politiques publiques et une composante essentielle des actions des organisations. L’argumentaire est disponible dans sa version complète et ou sous forme de synthèse en ligne sur le site de l’Agence française de développement (AFD).

 

Le groupe de concertation sur l’Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale est un espace de dialogue et de partage d’expériences créé en 2017. Il réunit des représentants d’associations, de quatre ministères (dont le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation), de l’AFD, de collectivités territoriales et de réseaux régionaux multi-acteurs.

 

 L’enseignement agricole a une longue tradition d’engagement dans l’Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale (ECSI). Cette dimension fait partie intégrante de la mission de coopération internationale qui est inscrite dans les projets d’établissement et missions éducatives des centres de formation agricoles depuis près de 40 ans. Le réseau pédagogique national RED (Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche du ministère de l’agriculture et de l’Alimentation) depuis plus de 20 ans encourage et accompagne les équipes pédagogiques investies sur ces thématiques (interculturalité, engagement des jeunes, solidarité, citoyenneté, justice sociale, durabilité, participation et partenariat…) sur tout le territoire national.

 

 

 

Contact :

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr