10 ans au service du réseau « Cameroun »

Régis Dupuy est enseignant au lycée agricole de Pamiers (09), il est investi dans la coopération internationale depuis 20 ans et a été l’animateur, très apprécié, du réseau Cameroun de l’enseignement agricole de 2011 à 2021.

La rencontre avec l’autre et l’ailleurs agrandit toujours notre regard, notre expérience et nos manières de penser.

Régis DUPUY

Dans cette interview réalisée en juin 2021, Régis revient sur sa mission d’animateur du réseau géographique Cameroun, pour la Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche, sur les nombreux projets suivis, ses rencontres et découvertes avec le Cameroun et ses habitants. Cet article est illustré de nombreuses photos réalisées par Régis lui-même, dont certaines font partie d’une exposition qu’il se propose aussi de présenter dans les lycées qui souhaiteront organiser un évènement de découverte de la culture camerounaise.

Régis Dupuy, animateur du réseau Cameroun de l’enseignement agricole

Portailcoop : Peux-tu nous rappeler l’origine de ton intérêt pour le Cameroun et des projets pédagogiques menés avec les partenaires camerounais ?

Regis Dupuy : A l’origine de la plupart de nos actions, il y a souvent des rencontres déterminantes. En l’occurrence, c’est la visite du président de l’association « 09 Cameroun » dans le lycée où je venais d’arriver, il y a 20 ans ! Il était à la recherche d’éventuelles compétences dans le secteur agricole dont il pensait qu’elles pourraient être utiles pour une association qui, jusque là, œuvrait dans le domaine sanitaire et celui de l’éducation de base.

Comme les années précédentes, je participais à des actions de coopération décentralisée menées en Côte d’Ivoire, pour le compte de l’établissement où j’étais enseignant. L’expérience acquise dans ces actions, même modeste, ne pouvait pas s’arrêter là !

D’autant que dans la zone où intervenait l’association, une école technique d’agriculture, l’équivalent de nos lycées, ne demandait qu’à tisser des liens avec de nouveaux partenaires.  Et ces liens, jusqu’à aujourd’hui, ont toujours été entretenus.

Portailcoop : Peux-tu citer quelques projets emblématiques suivis avec le réseau national Cameroun de l’enseignement agricole ?

Regis Dupuy : Le réseau Cameroun, dès 2011, en tant qu’animateur, était la voie la plus efficace pour construire à plus grande échelle des relations entre établissements des deux pays. L’objectif ambitieux consistait à impulser de véritables nouveaux partenariats. Et je dois dire que cette tâche n’a pas été facile à mener, de multiples freins existaient.

Malgré cela je retiens la réussite d’un formidable projet, Keka-Wongan, né de la rencontre entre Florent Dionizy, collègue de l’EPL de Nantes et Antoine Mbida, directeur du CRA (collège régional d’agriculture d’Ebolowa). Projet initié dès 2012 et qui ne s’arrête pas de grandir, il est pris dans une spirale vertueuse que son pouvoir d’attraction s’auto-alimente sans cesse.

Pour les collègues qui voudraient s’inspirer de ce modèle, vous pouvez retrouver le documentaire, Keka Wongan -Notre cacao, le film qui lui est consacré dans la sélection du festival Alimenterre 2020.

Ce que je retiens aussi, c’est le projet d’ateliers pédagogiques entre 5 établissements français et camerounais, né en 2018 à l’initiative de Pierre Blaise Ango, le coordonnateur national au Cameroun du vaste et remarquable programme de réforme de l’enseignement agricole dans ce pays. Ce projet a souffert, comme beaucoup d’autres, de la longue période de confinement, mais son nouveau départ est fixé pour l’automne 2021 avec l’accueil des 5 partenaires camerounais dans nos établissements.

Portailcoop : Quels sont pour toi les apports principaux pour les apprenants, les personnels et aussi l’animateur du réseau des collaborations et mobilités en Afrique et au Cameroun en particulier ?

Regis Dupuy : Je suis persuadé que la réalisation de projets en commun, dans lesquels chacun apporte sa contribution, quel que soit le niveau d’importance de la tâche ou la nature de la question à traiter, est le meilleur moyen d’agir pour « l’enrichissement » de  chacun qui aboutit forcément, dans ce cas,  à l’intérêt commun. Cela vaut pour tous les acteurs concernés, qu’il s’agisse des apprenants ou des personnels.

C’est pour cette raison que les projets d’ateliers pédagogiques, qui, en deux mots, consistent dans la création d’un atelier technologique (transformation du manioc par exemple, ou bien atelier d’agroéquipement) doublé de la création d’un module de formation ad’hoc sont très intéressants. Ils mobilisent les compétences de part et d’autre dans un même objectif final, fortement utile et fortement gratifiant. Une fois la démarche engagée, chacun doit agir en interrelation avec son partenaire pour parvenir à la création du produit commun, et cela s’inscrit dans une durée relativement longue.

Au-delà de ce cadre d’un montage de projet, je redirai ce qui a maintes fois été rappelé et ce dont nous sommes persuadés, la rencontre avec l’autre et l’ailleurs agrandit toujours notre regard, notre expérience et nos manières de penser. Et lorsqu’il s’agit de l’Afrique, nous pouvons considérer que cet agrandissement est bien réel.

Portailcoop : Un conseil pour le futur animateur du réseau ?

Regis Dupuy : Sans vouloir donner de conseil, mais plutôt quelques repères, nous aurons sans doute l’occasion d’en reparler, je considère que les interlocuteurs qui comptent et sur qui on peut compter sont de vraies personnes ressources. Leurs contacts sont précieux et leur parole riche de sens.

Lorsque j’ai suivi les traces de Joël Magne, animateur du réseau Cameroun avant que je ne lui succède, nous avions fait une mission de tuilage au Cameroun, consacrée en bonne partie à la rencontre de ses personnes ressources.

… cela nous conduit à avoir envie de découvrir la complexité qui se cache derrière la simplicité.

Régis DUPUY

 

Portailcoop :  Peux-tu enfin nous parler de l’exposition photo sur le campement Pygmée Baka que tu proposes de rendre itinérante et de présenter dans les lycées agricoles intéressés ?

Regis Dupuy  : C’est un projet qui me tient à cœur ! Cette expo est composée de 45 à 50 cadres en formats différents, de 13×18 à 70×100, une partie en couleur, une autre en noir et blanc. On peut se demander pourquoi une telle diversité de formats, tout simplement parce qu’elle répond aux objectifs des « images ». Certaines ont besoin d’intimité et ne se donnent à voir qu’en s’approchant tout près, ce qui nous oblige à aller à leur rencontre, à se mettre à leur hauteur ; d’autres, au contraire, en imposent par leur taille et la force du message qu’elles délivrent, et, en couvrant le bruit de leurs voisines. Ce sont elles qui mobilisent notre premier regard et qui, généralement, l’impriment.

Pourquoi de la couleur et du noir et blanc ?

La réponse est essentiellement esthétique, certaines lumières subliment les verts et les bruns, mais aussi les détails des expressions, si bien qu’il serait dommage de ne pas les laisser parler dans ces moments propices. En contrepartie, le choix du noir et blanc a lui aussi un avantage, celui de simplifier les messages et, en quelque sorte,  de les sanctuariser… mais, par réaction, assez souvent, cela nous conduit à avoir envie de découvrir la complexité qui se cache derrière la simplicité.

J’aurais du commencer par là, les photos sont majoritairement des scènes de vie, elles sont donc consacrées aux acteurs eux-mêmes, les Pygmées Baka dans leur vie quotidienne. Il s’agit  de « portraits » collectifs ou de «portraits» individuels. Portraits entre guillemets, parce qu’il ne s’agit pas de portraits formels comme on pourrait encore l’entendre, bien évidemment.

Reste à justifier le choix de sujet ! Deux raisons : d’abord parce que membre de l’association « 09 Cameroun », j’avais dans mes missions le suivi de l’activité de l’association et des partenaires locaux du campement Baka de Lakabo ; ensuite, parce qu’avec des apprenants et des collègues, nous avons mené beaucoup de projets destinés à ce campement, in situ.

Cela ne se voit pas, parce que nous avons toujours l’impression que la durée n’existe pas dans une expo photo, mais ici,  la durée est bien présente, elle est précisément de 15 ans.

En termes pratiques, il faut un minimum de surface d’exposition pour accrocher les cadres. En général les grilles mobiles d’expo sont la solution la plus simple. Je me déplace pour le transport et l’accrochage…et ensuite le décrochage. La durée optimale d’exposition est autour de 15 jours, voire 3 semaines. Je peux aussi intervenir en cours à la demande de collègues, bien entendu, qui souhaiteraient en savoir davantage sur la vie des Pygmées Baka au Sud-Cameroun.

Pour les établissements partants pour accueillir l’exposition photographique de Regis DUPUY, consulter la fiche de présentation de son exposition : LAKABO : Campement Pygmée BAKA
Retour sur la vie du réseau en image :
Informations complémentaires :
  • La construction d’un centre d’accueil à Yaoundé par le programme KEKA-Wongan : Centre destiné à l’accueil de stagiaires, spécialement ceux-de notre enseignement agricole.

https://3cfcameroun.simdif.com/.

14 minutes très sympa, vu et monté par Cyril Sentenac, élève au LEGTA de Pamiers et membre actif du Club UNESCO des Pyrénées.

Contacts :

Régis DUPUY, regis.dupuy@educagri.fr

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr




« Warwi » started

Le premier comité de pilotage du projet de plateforme Warwi dont le thème est « Outils de pilotage de la formation agricole et rurale (FAR) pour l’emploi décent des jeunes au Sénégal » s’est tenu ce 26 mai 2021 à l’Ambassade de France à Dakar.

D’une durée de deux ans pour un montant de 170,5 millions de francs CFA, ce projet vise le développement d’une cartographie interactive de la formation agricole et rurale au Sénégal. Cette cartographie sera un outil de suivi et de pilotage, mais aussi d’informations pour tous les usagers, (agriculteurs, entreprises, organisations professionnelles agricoles, organisations de la société civile, autorités, partenaires au développement, etc.).

Le projet Warwi permettra également de disposer d’un moteur de recherches sur la formation et l’enseignement agricoles au Sénégal, afin d’aider les apprenants dans leur orientation scolaire et professionnelle en fonction de la zone géographique, des métiers et du niveau escompté.

Cette plateforme s’articulera avec les outils mis en place notamment par les Ministères en charge de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur, de la jeunesse, tous pleinement associés à ce projet.

Des activités en régions permettront de promouvoir la formation agricole et rurale auprès des apprenants et des acteurs locaux (collectivités territoriales, entreprises, etc.) à travers les deux outils susmentionnés et en favorisant les innovations ainsi que les dynamiques des territoires.

Financé par le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, ce projet s’inscrit dans le cadre des accords intergouvernementaux signés en 2016 dans le domaine de la formation agricole entre le ministère français en charge de l’agriculture et de l’alimentation et les ministères sénégalais en charge de la formation professionnelle et de l’enseignement supérieur. Des accords confortés lors du dernier séminaire inter-gouvernemental du 17 novembre 2019 entre le Sénégal et la France.

Cette coopération s’inscrit également dans le cadre de la stratégie Europe et International du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation pour lequel le continent africain constitue une zone prioritaire, ainsi que dans le cadre des 4 engagements pour l’Afrique de l’enseignement agricole français, formalisés suite au discours de Ouagadougou prononcé par le président Macron le 28 novembre 2017 à l’Université de Ouagadougou.

Contacts :

Maryline Loquet, Attachée de coopération – Enseignement agricole, Ambassade de France au Sénégal – maryline.loquet@diplomatie.gouv.fr

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr

Photo de tête d’article : crédit photographique – Association SOL, Alternatives Agroécologiques et Solidaires




Cuniculteur près d’Abidjan après un service civique au lycée agricole de Vire

Jean-Pierre Ouattara, ancien service civique au lycée agricole de Vire, revient sur son expérience en France et ses projets professionnels actuels en Côte d’Ivoire.

Ma mission de service civique au LPA de Vire

Alors étudiant à l’INFPA, plus précisément à l’École de Spécialisation en Élevage de Bingerville, j’ai effectué de novembre 2018 à juin 2019 une mission de service civique au LPA de Vire, en binôme avec mon collègue Thierry Koffi. Cette mission, intitulée « Tisser des liens entre l’exploitation agricole et ses utilisateurs », comportait divers aspects :

– Participer à la vie quotidienne de l’exploitation et de l’EPL pour bien comprendre la stratégie et son fonctionnement.

– Participer activement à la réflexion sur le projet de méthanisation (organisation des visites et rencontres de formation, d’échanges, en s’appuyant sur les autres collègues du groupe dont fait partie l’exploitation du lycée agricole).

– Participer à la communication de ce projet auprès des différents usagers de l’exploitation : formateurs, enseignants, apprenants, agriculteurs, collectivités, consommateurs, partenaires du monde agricole, médias… tout en développant des outils de communication (plaquettes, réunions publiques, suivis des travaux, réseaux sociaux).

– Participer à des actions d’Éducation à Citoyenneté et à la Solidarité Internationale (ECSI).

– Intervenir auprès et avec des élèves pour présenter mon pays sous les angles culturels, sociaux, historiques, économiques, agricoles.

Pour en savoir plus sur le déroulement de ma mission de service civique, vous pouvez visionner mon témoignage, enregistré lors des Rencontres du Réseau Afrique de l’Ouest au LEGTA Le Chesnoy en janvier 2019 :

 Jean-Pierre Ouattara – témoignage service civique 2019

Ce que m’a apporté cette mission de service civique

Cette mission de service civique m’a permis d’un point de vue personnel de vaincre ma timidité et aussi de découvrir tout le potentiel relationnel qui était enfoui en moi. Quant au plan professionnel, j’ai pu développer des aptitudes telles que l’abnégation au travail, le sens de la responsabilité, le travail en équipe, tisser et entretenir des liens entre professionnels,  le tout avec une plus grande ouverture sur le monde.

La création de mon activité cunicole en Côte d’Ivoire

Après ma mission de service civique j’ai décidé de retourner au pays afin de finaliser mon BTSA à l’INFPA et de pouvoir mettre en pratique les compétences acquises en France.

C’est ainsi qu’à travers une aide de l’OFII j’ai pu mettre en œuvre un projet d’élevage cunicole dans la périphérie d’Abidjan. J’ai bénéficié d’une subvention de 5000€ répartis en deux phases (70% d’abord puis 30 % pour la deuxième phase de la subvention totale).

Le projet dans son ensemble est composé de 55 lapins reproducteurs répartis en deux groupes :
30 reproducteurs pour la phase 1 et 25 reproducteurs pour la phase 2. Il faut noter que la phase 1 est  terminée et je suis en attente pour l’exécution de la phase 2 qui consistera à augmenter ma capacité de production afin de mieux rentabiliser l’investissement. Un volet publicité/communication est également prévu dans cette deuxième phase.

Mon activité propose des lapins de consommation (vifs ou en carcasses) et des lapins pour la reproduction. Les clients sont des particuliers, des restaurants et réceptifs hôteliers, généralement c’est sur commande et nous assurons la livraison.

Mon projet à court terme consistera à donner une bonne assise à l’activité que je mène actuellement.

Heureux de partager cette riche expérience avec vous !

Contacts et informations :

vanessa.forsans@educagri.fr

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr




Retrouvez l’Actu’COOP

9 sujets traitant des actions et projets européens et internationaux sont présentés par les réseaux Europe & international, les établissements d’enseignement technique et supérieur ainsi que les représentants du MAA à l’international dans l’ACTU-DGER, numéro 8 de mai-juin 2021

Dossier du mois : L’AGROALIMENTAIRE : LE MAILLON ENTRE LE CHAMP ET L’ASSIETTE
  • Le cursus IDéAL pour former des ingénieurs en agroalimentaire au sud

L’Institut Agro|Montpellier SupAgro propose aux élèves ingénieurs « Systèmes Agricoles et Agroalimentaires Durables au Sud » SAADS de 3ème année
de s’orienter vers l’option « Innover, Développer et Entreprendre dans l’Agroalimentaire en régions méditerranéennes et tropicales » (IDéAL). Cette formation vise à former des cadres de haut niveau pour le développement durable du secteur agroalimentaire dans les pays du sud […]

Trois questions à Fatou Diop (originaire du Sénégal) étudiante en dernière année ingénieurs « Systèmes Agricoles et Agroalimentaires Durables au Sud » […]

Trois questions à Julie Lestang, ingénieure des systèmes agricoles et agroalimentaires durables au Sud, poste actuel assistante recherche en agronomie du cacao en Côte d’Ivoire […]

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Dans un contexte sanitaire encore fragile, le réseau Maroc de la DGER a organisé la reprise des échanges sur les formations en agroalimentaire, un des sujets phares de la coopération entre établissements français et marocains […]

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  • School Dating avec la Pologne

Dans le cadre de la coopération européenne et dans le but de développer de nouveaux échanges et partenariats, 70 participants, 17 lycées agricoles français et 31 lycées agricoles polonais se sont rencontrés lors d’un webinaire «School Dating» le 10 mars 2021 […]

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Une réunion entre les représentants de l’Ambassade de France en Roumanie et le Secrétaire d’Etat roumain a permis de conforter le développement d’une plateforme numérique favorisant les mobilités de stage dans les domaines agricoles […]

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Le 11 juin 2021, le CEZ-Bergerie nationale organise en visioconférence à 14h son séminaire final pour présenter les résultats du projet (synthèses et kit pédagogique pour enseigner les systèmes alimentaires locaux et durables) et partager des expériences vécues par les enseignant(e)s engagé(e)s dans le projet […]

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La crise sanitaire actuelle, sans précédent, a fortement bouleversé le fonctionnement des institutions à l’international. L’innovation et l’adaptation se sont imposées pour honorer nos engagements […]

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Françoise Vanga est une personnalité incontournable de la coopération franco-ivoirienne dans le domaine de l’enseignement agricole. C’est sous la forme d’une interview-portrait qu’elle nous présente son parcours et les étapes importantes des partenariats menés pour dynamiser les liens entre établissements ivoiriens et français, facilitant la mobilité réciproque et en particulier l’accueil de services civiques […]

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  • Cycle de Webinaires Arfagri sur l’Agroécologie

Le programme Arfagri est un programme franco-argentin permettant des échanges d’étudiants et de chercheurs pour des activités de formation et recherche. Dans ce cadre, le projet PUMA, porté par Agrocampus Ouest pour la partie française, est centré sur la thématique de l’agroécologie. Dans ce contexte, l’ensemble des partenaires français et argentins (Ministère, ambassade et écoles et universités*) propose un cycle de conférences au cours desquelles des activités de recherche liées à l’agroécologie seront présentées de façon à favoriser un échange d’idées et développer de nouvelles collaborations […]

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L’année scolaire 2019-2020 ne s’est heureusement pas limitée à la gestion de crise, ou à réconforter des jeunes qui n’ont pu réaliser durant l’été 2020 leur projet de stage en Europe, au Canada, en Australie, en Afrique. De très belles actions se sont déroulées dans les établissements de l’enseignement agricole de Pays de Loire […]

L’aquaculture comme FUTURE Erasmus+ / Renaissance des coopérations avec la Côte d’Ivoire / Nantes Terre Atlantique et Ebolowa : une nouvelle étape / Ashlesha, une jeune Indienne en Vendée /Avec la filière SAPAT, un autre aspect des coopérations avec le Maroc /

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