Les Normands, une histoire européenne 

« Les Normands, une histoire européenne », c’est le projet de montrer comment une culture, celle des Normands, s’est diffusée à travers l’Europe partant des anciens scandinaves en passant par la création du duché de Normandie pour aboutir au royaume Normand de Sicile.

L’objectif est de raconter une histoire commune, qui se concrétise par un dossier Erasmus+. Le projet d’élèves Normands s’étend de 2023 à 2025 et est intégré à un projet de partenariat de coopération scolaire Erasmus+ (KA2) de 250 000 euros du Lycée-l’Institut Lemonnier à Caen, d’un lycée danois et d’un sicilien sur la thématique historique des Normands.

Il visait à amener les élèves à s’engager en tant que citoyen européen car dans chaque pays et à l’occasion de chaque mobilité, Danemark – France – Sicile, les élèves ont partagé, confronté et transmis, à leurs homologues européens, leur histoire et leur culture et mis en relief nos valeurs communes et les traces qu’il en reste aujourd’hui.

Deux années de travail sont retranscrites dans un documentaire de 50mn avec comme partenaire un vidéaste professionnel, Redha Djafer, de « Greenway Audiovisuel ». Ce film documentaire est le fruit de cette collaboration européenne. Les élèves ont participé à l’écriture et au tournage de celui-ci ainsi qu’au travail de recherches historiques et à la réalisation des interviews des différents partenaires scientifiques.

Chaque pays a travaillé sur une partie bien précise. Au Danemark, le monde scandinave a été abordé du 8ème au 11ème siècle. En France, les élèves se sont attelés aux raids Vikings jusqu’à la création du duché de Normandie et son apogée avec Guillaume le Conquérant. Enfin, en Sicile, le royaume Normand de Sicile clôture ce pan de l’histoire européenne, en mettant l’accent sur le syncrétisme.

Au niveau pédagogique, les élèves ont été accompagnés de leurs enseignants, dans chaque pays. Au niveau historique, un travail de repérage a permis de cibler les sites pertinents en lien avec leur thématique. En visitant ces sites en amont, les élèves ont réalisé un travail d’approche historique.

Chaque groupe de jeunes des trois pays ont rencontré des partenaires scientifiques, historiens, guides conférenciers afin de pouvoir présenter les sites ciblés à leurs homologues européens et réaliser des interviews.

Au niveau artistique, le repérage des sites a été primordial dans la création des storyboards, permettant la mise en forme des scènes d’animations présentes dans le documentaire.

Un Totem à 3 faces (1 face par pays) a été construit en bois, symbole de la culture normande. Celui-ci a été remis aux élèves des 3 lycées en fin de projet.

Les logos, présents dans le générique du documentaire, ont également été un travail de conception, illustrant chacune des mobilités.

Prix Hippocrène, une aventure européenne

Chaque année depuis 2017, les établissements de l’enseignement agricole ont la possibilité de mettre en lumière leurs actions destinées à faire vivre l’Europe plus fort au titre d’une candidature au Prix Hippocrène.

Le grand jury du concours Hippocrène récompense les établissements d’enseignement et de formation qui intègrent l’apprentissage de la citoyenneté européenne dans leur pédagogie. Le prix se décline en plusieurs catégories en fonction de la tranche d’âge des élèves concernés : celle des écoles primaires, celle des collèges, lycées généraux et technologiques, celle des lycées professionnels et spécifiquement celle des lycées agricoles.

Les lauréats de chaque catégorie se voient attribuer un prix d’une valeur de 5000 euros, alors que l’établissement qui présente le meilleur projet d’éducation à l’Europe, toutes catégories confondues, emporte une dotation de 10 000 euros. Tous les prix sont destinés à financer la mobilité des élèves, afin de continuer à alimenter une dynamique de rencontres européennes.

Le Prix Hippocrène, décerné en 2024 pour la catégorie « Enseignement agricole », a récompensé le LEGTA de Nevers-Cosne, qui a fait partager son partenariat avec la Slovénie, baptisé « Du champ à l’assiette, une aventure franco-slovène ». Un beau projet qui place l’alimentation et la gastronomie au cœur des échanges entre jeunes français et slovènes.

Et c’est l’Institut Lemonnier de Caen, qui a recueilli tous les suffrages du jury au titre du « prix spécial », pour son projet intitulé « les normands, une histoire européenne » qui retrace la diffusion de la culture normande à la faveur des conquêtes et migrations et son impact dans la construction de l’Europe telle que nous la connaissons.

La remise officielle des prix s’est déroulé au Parlement Européen de Strasbourg le 14 mars 2024, où les élèves et professeurs ont bénéficié pour l’occasion d’une visite de ce haut lieu de la vie démocratique européenne.

A la suite de ce prix et dans la continuité de leur projet Erasmus+, l’établissement et leurs partenaires ont finalisé leur projet de documentaire historique, comme élément phare des deux ans d’échanges avec leurs partenaires Danois et Siciliens.

Visionnez le documentaire « Les Normands, une histoire européenne »

En savoir plus sur le Prix Hippocrène, information sur la future édition 2026, vérifiez les pages du site de la Fondation Hippocrène dès octobre 2025 et BO-Agri pour la sortie de la prochaine note de service, fin octobre 2025
Contact : Thierry BOGACKI, Enseignant à l’Institut Lemonnier à Caen, Correspondant ECSI de Normandie du CNEAP, thierry.bogacki@cneap.fr



Vous prendrez bien un peu de CAFRE ?

CAFRE, vous connaissez ? Un futur partenaire pour l’enseignement agricole français suite à une mission de l’animateur réseau Irlande à l’automne 2024 et à la venue d’une délégation en mai 2025 de CAFRE en France.

CAFRE c’est l’équivalent de notre Direction Générale de l’Enseignement et de la Recherche en Irlande du Nord. Le système repose sur 3 établissements qui accueilleront à la rentrée 2025 près de 1 700 étudiants. CAFRE met aussi en œuvre des diplômes avec l’Université d’Ulster.

3 établissements d’accueil

Enniskillen Campus, c’est le campus le plus récent des trois. Construit en 1967, il a développé la filière équestre à partir de 1992. Ce Campus entretien des liens très forts avec des haras de renommée internationale, aussi bien en Irlande qu’aux USA, bien évidemment dans l’Etat du Kentucky, état de prédilection pour tous les amoureux des chevaux.

Loughry College of Agriculture and Food Technology est le plus ancien des campus. S’il a été fondé en 1907, il ne faut pas se fier à cette date, les halles technologiques sont de haute volée.

Greenmount College of Agriculture a lui été fondé en 1910 et se concentre sur l’agriculture, l’horticulture, la fleuristerie, l’entretien des pelouses sportives et les études vétérinaires. Il gère aussi une ferme expérimentale et une zone humide sur laquelle différentes techniques de régénération de la tourbière sont mises en œuvre. A noter qu’une étudiante du lycée agricole Edgar Faure à Montmorot, dans le Jura, a effectué un stage sur cette tourbière cet été 2025.

Simulateurs chevaux à CAFRE – Enniskillen

L’étable à Greemount College, à droite la partie étable, au centre le poste de traite, à gauche la « pouponnière » pour les vaches et les jeunes veaux

Public et sponsorisé

Un point commun avec notre enseignement français, les apprenants sont âgés de 16 ans et plus (à la différence de la République d’Irlande et du réseau d’enseignement TEAGASC chez qui les apprenants sont plus âgés).

Le système d’enseignement CAFRE s’appuie sur des financements publics mais la part des mécènes et autres sponsors sont importants.

Pour la filière équine pas moins de 19 sponsors financent des bourses. En ce qui concerne la filière agricole et horticole, ce nombre s’élève à 18. Et enfin pour la filière alimentaire, les enseignement bénéficie de 14 sponsors.

Ces mécènes réservent systématiquement des places pour des stagiaires dans leurs structures, soit, attribuent des bourses aux apprenants et ce même si la plupart des étudiants à CAFRE sont éligibles à une bourse d’étude gouvernementale pour faire face aux coûts de la vie étudiante, à condition d’être un résident nord irlandais.

Les élèves et étudiants sont accompagnés par différents services présents dans chaque campus.

Le Student Services and Residential Support Teams permet la bonne insertion des élèves et étudiants dans leur nouvel environnement. La Residential Team aide aussi les internes à changer de docteur référent si leur lieu de résidence familiale est distant de plus de 15 km. Ce service accompagne aussi les internes et étudiants lors de la prise de rendez-vous médicaux.

Les étudiants, à besoins spécifiques, doivent se faire connaître auprès du Student Support Officer le plus rapidement possible pour que des choses soient mises en place dans l’accompagnement de ces élèves. Il n’existe pas d’accompagnant d’élèves en situation de handicap (AESH) pour accompagner au quotidien les apprenants.

Les aménagements se limitent à la Counseling service. Les étudiants peuvent avoir accès à un service d’aide 24/24 et 7j/7 soit en présentiel soit en ligne. Les besoins des étudiants deviennent plus complexes, notamment en termes d’accompagnement psychologique, comme le recours croissant aux animaux de soutien thérapeutique.

Du côté de la vie étudiante, des élections de représentants ont lieu chaque année. Les élus siègent au Students Representative Council (SRC). Le SRC organise des activités extrascolaires et apporte son soutien lors de levée de fonds d’associations locales confirmant ainsi l’implication des établissements de formation sur leur territoire.

Coup de coeur technologique

Visite de l’atelier de transformation EPL Bourg par la délégation CAFRE, mai 2025

En mai 2025, deux personnels de CAFRE, dont Deirdre Cooper en charge des relations internationales, ont effectué une mission de quelques jours en France qui leur a permis de visiter plusieurs établissements français, le lycée agricole de Contamines sur Arve, le lycée de Lons le Saunier Mancy, le lycée agricole La Barotte pour la partie équine ainsi que celui de Bourg-en Bresse et d’ENILEA de Poligny pour la partie transformation alimentaire. Nos amis nord-irlandais ont été enthousiasmés par les plateaux technologiques dont disposent les lycées d’enseignement professionnel agricole. Ils ont eu un vrai coup de coeur pour les établissements de Bourg-en-Bresse et de l’ENILEA et ont déjà acté leur retour en France dès l’automne 2025 dans ces établissements pour jeter les bases de partenariats entre ces établissements français et l’établissement de Loughry College of Agriculture.

De belles perspectives de partenariat en vue, dans un premier temps dans le domaine de la transformation alimentaire puis dans un deuxième temps dans le domaine équin.

To be continued….

Contact : Frédéric Mesure, animateur du réseau Royaume-Uni-Irlande de l’enseignement agricole, frederic.mesure@educagri.fr

 

 

 




A l’heure de la reconstruction

Une délégation gouvernementale nippone est venue à la rencontre de représentants de l’enseignement supérieur, de l’enseignement technique et de la recherche dans le domaine agricole en France. Le ministre japonais, chargé de la reconstruction, a visité l’institut Agro de Montpellier.

Un intérêt porté par le gouvernement japonais sur les initiatives locales innovantes sur le plan de la recherche et de l’éducation dans un contexte de partenariats internationaux.

La délégation japonaise a été accueillie dans les locaux de l’Institut Agro à Montpellier toute la matinée du vendredi 27 juin 2025. Elle était conduite par Monsieur le Ministre Norikazu SUZUKI, en charge de la reconstruction de la région de Fukushima. En effet, après le tremblement de terre qui a causé un tsunami et un accident nucléaire de grande ampleur en 2011, l’état japonais déploie une grande énergie afin que ce territoire puisse être réhabilité. Le ministre était accompagné par Monsieur Tomohiko ARAO, directeur de F-REI (The Fukushima Institute for Research, Education and Innovation) et aussi par Monsieur TAKAZAWA, Consul Général adjoint du Japon à Marseille.

L’Institut Agro avait réuni de son côté un certain nombre d’acteurs de la recherche, de l’enseignement technique et de l’enseignement supérieur agricole pour cette occasion. La rencontre a été organisée par Monsieur Jean-Luc BOSIO, chef du service des relations internationales et des langues de l’Institut Agro de Montpellier.

La réunion a commencé par une présentation de l’Institut Agro par Madame Carole SINFORT, directrice de l’Institut, qui a présenté son établissement. Monsieur le Ministre a été particulièrement intéressé par le devenir des étudiants après l’obtention de leur diplôme.

Monsieur BOSIO a ensuite présenté les relations internationales de l’Institut. Le Ministre a salué la richesse des réseaux internationaux de l’établissement et en particulier l’intensité des échanges avec le monde universitaire japonais notamment sur les questions du vin.

Madame Atsuko TANIGOME, enseignante chercheuse de l’université du Japon (NIHON DAIGAKU) qui a pris la parole pour présenter ses recherches qu’elle mène depuis quelques mois à l’Institut Agro dans le domaine de l’alimentation.

Monsieur Franck COPIN, animateur du réseau Japon de l’enseignement agricole a présenté les échanges qui concernent les lycées agricoles français et japonais avec les mobilités d’élèves et les échanges de pratiques entre établissements. Monsieur le Ministre a particulièrement manifesté un vif intérêt sur le financement des mobilités des apprenants. Il a salué l’initiative qui a eu lieu en février 2025 avec les premières rencontres du réseau Japon qui ont rassemblé 11 établissements français et japonais à Yssingeaux au sein de l’ensemble scolaire dirigé par Monsieur COPIN. Monsieur le Ministre a proposé que les prochaines rencontres en 2026 se fassent au Japon dans la Province YAMAGATA, dont il est le député.

Monsieur Florent CHAZARENC, chef de projet Asie de l’INRAE, a ensuite pris la parole pour présenter les activités menées par l’INRAE et en particulier les nombreux échanges menés en partenariat avec le Japon.

La délégation s’est ensuite rendue à AGROPOLIS et a été accueillie par Mélanie BROIN qui a fait la présentation de l’institution, fruit d’un partenariat entre de nombreux acteurs territoriaux et moteur de la coopération internationale dans le domaine de l’agriculture.

 

 

 

Photo de tête d’article, crédit Banque d’image Pexel – Sagae, Province de YAMAGATA, photo Denis P.

Contact : Franck COPIN, animateur du réseau Japon de l’enseignement agricole, franck.copin@cneap.fr




Une connexion aménagée

Durant 4 semaines, 6 jeunes étudiants du Beijing Vocational College of Agriculture accompagnée d’une de leur enseignante en aménagements paysagers, se sont plongés dans la beauté des jardins français, aussi bien par les visites que par la pratique.

Chen Yifei, Li Tianzi, Guo Xinyu, Cui Jing, Baihua et Li Guangyi ne se doutaient pas, lorsqu’ils ont commencé leur formation post-bac chinois (gaokao), il y a 2 ans, que leur cursus les emmènerait à découvrir la France à travers l’aménagement paysager. Mais grâce à la mise en place d’une coopération durable et réciproque, 4 établissements français et le Beijing Vocational College of Agriculture-BVCA ont pu concrétiser une deuxième vague d’échanges après celle effectuée en 2024*.

Un point d’entrée par la découverte et l’immersion dans les jardins français fut la visite du lycée horticole professionnel Camille Godard de Bordeaux-Le Haillan.

Au programme de la première semaine, des visites de parcs et jardins bordelais, de domaine viticole ayant intégré l’aménagement paysager à leurs espaces verts et des aménagements urbains autour de la Cité du vin.

En dehors des visites, les interactions entre les étudiants furent nombreuses. Que ce soit autour d’activités pédagogiques comme un chantier de construction paysagère sur le site du Haillan ou bien la présentation des jardins à la chinoise par les Pékinois, d’activités culturelles telles que la calligraphie et la découverte du vin, ou bien d’activités sportives avec du rugby, du badminton et la montée de la Dune du Pilat. Des liens se sont créés et ils pourront être renforcés lors d’une prochaine mobilité des jeunes français en Chine.

Direction la Charente-Maritime et Saintes

A nouveau, un programme de grande qualité mêlant échanges entre apprenants et visites sur le terrain a été proposé.

L’histoire des jardins chinois a su captiver les jeunes de BTS en Aménagement paysager de Saintes. Ils ont ensuite pu présenter leur filière et leur quotidien grâce à des échanges en anglais encadrés par les enseignants de langues vivantes.

La participation au concours de Saint-Fraigne en Charente sur le thème « Cinéma du 21ème siècle » via le chantier école a permis aux jeunes chinois de mieux s’imprégner de la culture et des cultures françaises.

Les visites des jardins de Saintes aux côtés de professionnels des espaces verts ont permis d’approfondir les échanges sur des questions techniques et pratiques.

Enfin, « cerise sur le gâteau », les Pékinois ont pu participer au festival de l’Agrocampus le samedi, donnant lieu à de nombreuses interactions avec les visiteurs et apprenants français.

Le chemin vers le nord allait se poursuivre avec une étape d’une semaine à Bressuire, la capitale du Nord Deux-Sèvres.

Bien que cette semaine fut impactée par le pont de l’Ascension, les équipes du Campus des Sicaudières se sont mobilisées pour que la qualité du programme puisse avoir un impact bénéfique sur le long terme pour les apprenants chinois.

Au cours des deux premiers jours, l’accent fut mis sur les projets en collaboration avec les stagiaires adultes en formation horticulture et aménagements paysagers. Que ce soit durant les visites du Château Colbert ou du parc oriental de Maulévrier ainsi que durant la réalisation du jardin chinois nommé « L’éventail s’ouvrant à la lumière » dans les espaces verts du campus, la connexion entre les apprenants fut forte et le restera.

La découverte du château de Villandry et de ses célèbres jardins à la française, la roseraie de Doué-la-Fontaine, les parcs et jardins de la ville de Bressuire, et même la boulangerie d’un artisan sacré aux Olympiades des métiers de Shanghai, autant de lieux et de souvenirs immortalisés par les jeunes, qui seront partagés et valorisés à leur retour en Chine.

Cette année, la « fête des bateaux dragons » tombait justement le samedi 31 mai. Cela a donné lieu a un atelier de fabrication de raviolis chinois qui a plu aussi bien à certains stagiaires français revenus pour l’occasion, qu’à Faniry, la service civique malgache du campus.

Les semaines défilent à toute vitesse et le temps est venu pour nos chers étudiants chinois de conclure leur immersion par la capitale, Paris.

C’est encadré par les équipes de l’école du Breuil, que nos 6 étudiants et leur enseignante vont finir cette formidable expérience.

Au programme de la semaine parisienne, l’apprentissage de la taille d’arbustes dans les 10 ha du parc de l’école. Des chantiers d’aménagement paysager avec quelques uns des 25 jardiniers de l’école. Des parcs et jardins cultes de la région tels que Versailles, la Butte-Chaumont, l’Ile florale, les Tuileries et les berges de Seine ont conclu ses visites culturelles et professionnelles .

Après ces 4 semaines d’intenses apprentissages, les 6 étudiants pourront rentrer en Chine riches de nouveaux savoirs et se faire les ambassadeurs d’une approche française des parcs et jardins auprès des multiples acteurs qu’ils croiseront durant leur carrière.

Encore merci aux équipes des différents établissements français de s’être investis au-delà de ce qu’ils leur étaient demandés pour permettre de faire vivre à ces jeunes, un mois inoubliable.

A lire aussi, Un jardin qui rassemble, article présentant le premier cycle d’accueil, découlant de ce partenariat « aménagement paysagé », publié en juillet 2024.

Max Monot, animateur du réseau Chine de l’enseignement agricole, max.monot@educagri.fr