4 lycéennes de première technologique du Campus des Sicaudières, accompagnées de deux enseignantes, se sont déplacées à Rome afin d’y de participer au forum mondial de l’alimentation du 16 au 20 octobre 2023.
L’aventure italienne vécu par 4 jeunes filles est le résultat de leur première place en mai dernier au concours régional d’éloquence « Exp’Ose », organisé par le RADSI (Réseau d’aide pour le développement et la solidarité internationale) en lien avec les objectifs de développement durable (ODD) fixés par l’ONU. Ce concours annuel a pour vocation à sensibiliser les jeunes aux problématiques de développement durable et leur faire découvrir des » instances de pouvoir ».
Cette année les apprenants étaient invités à donner leur point de vue sur la problématique » Quel monde pour 2030 ? ».
Le discours de la finale eu lieu à Bordeaux le 23 mai 2023.
Dès le premier jour elles ont fait une rencontre exceptionnelle ; celle de l’Ambassadrice de France auprès de la FAO ; Mme Céline Jurgensen, accompagnée de M. Michel Lévèque, Conseiller agricole et sécurité alimentaire à la représentation permanente de la France auprès des organisations des Nations Unies. Durant plus d’une heure, les jeunes Bressuiraises ont pu échanger sur les enjeux alimentaires mondiaux et les missions de la FAO pour assurer une production alimentaire mondiale suffisante et de qualité. Autant d’enjeux qui avaient été évoqués en classe lors du travail de réflexion et d’écriture sur les ODD.
Le soir même, elles ont pu assister à l’ouverture du Forum mondial de la jeunesse par le directeur général de la FAO, M. Qu Dongyu.
Les journées suivantes, elles ont pris part notamment à une conférence d’une association belge « Food educators » sur la mise en place de plan de cours sur l’alimentation saine dans les pays de l’UE encore peu sensibilisés, en particulier les Pays de l’Est. La conférence a débuté par une activité kahoot pour mieux comprendre les habitudes alimentaires des uns et des autres.
C’est quoi le jeu kahoot ?
Kahoot est une application en ligne permettant de générer des QCM interactifs avec intégration d’images et de vidéos. Ces derniers, utilisés en classe sur tablettes, téléphone portable ou ordinateur, donnent la possibilité aux élèves de s’auto-évaluer.
Elles se sont aussi immergées dans une salle remplie de miroirs avec une projection d’images autour de l’eau. Le but à travers cette expérience immersive était de les sensibiliser aux enjeux mondiaux de l’eau mais aussi aux solutions.
La conférence sur des retours d’expériences de jeunes internationaux engagés leur a permis de comprendre l’importance des différents programmes européens d’appui à la mobilité.
Les enjeux de l’eau et des océans étaient très présents et une conférence leur a fait découvrir des solutions concrètes pour éviter les perditions comme le programme Visenleer qui permet d’utiliser les déchets de poissons, comme les écailles, pour en faire des sacs.
Le village des Indigenious people, situé dans la cour du FAO leur a ouvert les bras. Toutes les cultures du monde s’y côtoyaient et présentaient leurs actions et leurs engagements en faveur de l’alimentation et d’une vie meilleure.
Durant les quelques moments de répits entre deux conférences, les représentantes des Sicaudières ont pu profiter des sites historiques et culturels nombreux de la capitale italienne.
NECTAR, l’aboutissement d’une pédagogie constructiviste
Depuis septembre 2021, la Bergerie nationale pilote le projet européen Erasmus + NECTAR qui réunit 8 partenaires en France et en Autriche. Son principal objectif est de permettre l’échange entre enseignants, chercheurs et apprenants sur les transitions pédagogiques innovantes en agroécologie et ruralité. Retour sur la deuxième année du projet et les résultats obtenus.
Les deux structures piliers du projet la Hochshcule für Agrar und Umweltpedagogik (HAUP) et le Centre d’enseignement de zoothechnie – Bergerie nationale de Rambouillet (CEZ) ont réuni trois lycées agricoles de chaque pays. Le partenariat est donc composé de huit structures (deux coordinateurs et six lycées). Les six lycées travaillent en binôme sur trois thématiques : les lycées de Bourg-en-Bresse et Hohenems sur l’alimentation locale et l’autonomie; les établissements de Cibeins et de Langenlois sur la fertilité des sols ; les lycées de Romans et de Raumberg sur la complexité dans les situations professionnelles. Le projet est jalonné par les rencontres qui sont organisées dans les six lycées. L’objectif de ces rencontres est d’explorer et de mettre en œuvre des pratiques pédagogiques sur les thématiques mentionnées précédemment.
Jeu de rôles d’autonomie à Romans
Du 21 au 23 mars 2023, le lycée de Romans-sur-Isère a accueilli les partenaires de la HAUP, du CEZ et du lycée de Raumberg pour travailler sur le thème de la complexité dans les situations professionnelles. Plusieurs activités pédagogiques ont été observées et discutées lors de la rencontre. L’une d’elles concerne les étudiants de deuxième année en BTS Production Horticole. Durant une demi-journée, les apprenants ont été mis au défi de s’investir dans une situation professionnelle exigeante. Les étudiants ont joué le rôle du personnel de l’exploitation du lycée. Une étudiante de la classe, Marine, a été désignée responsable de l’exploitation et les autres incarnaient les salariés. Les étudiants ont réalisé les travaux demandés par « la responsable ». L’équipe NECTAR a constaté que les étudiants étaient capables de travailler de manière autonome et qu’ils parvenaient à s’adapter en cas d’incident.
D’autres activités pédagogiques mettant en œuvre des situations complexes ont été observées : réflexion autour de la protection des cultures, en particulier contre le carpocapse (Cydia pomonella), organisation d’un évènement de communication.
Analyse du cycle de vie à Hohenems
Le mois suivant, fin avril 2023, le lycée agricole autrichien d’Hohenems a accueilli les partenaires de la HAUP, du CEZ et du lycée agricole de Bourg-en-Bresse pour travailler sur le thème de l’alimentation locale. L’équipe NECTAR a assisté à une séquence sur le thème de l’économie circulaire, dont l’objectif était d’aborder le concept d’autosuffisance et de parvenir à une réflexion autonome de la part des jeunes. Durant la première activité, les élèves ont travaillé en groupe sur l’économie circulaire dans différents lieux de l’école : le jardin, la cuisine et la ferme. Ils devaient préparer un poster et le présenter aux autres groupes. La deuxième session consistait à appréhender la mise en place du concept d’économie circulaire dans une ferme au cours de sa visite.
L’équipe NECTAR a analysé les pratiques observées. Ils se sont interrogés notamment sur ce dont les élèves se souviendront. L' »analyse du cycle de vie » a été évoquée comme un outil intéressant, pour évaluer la durabilité d’un produit ou d’un processus.
La rencontre a été complétée par l’observation de travaux pratiques en technologie alimentaire et en chimie. Des étudiants ont également présenté leur projet de fin d’études (méthodologies, expériences, enquêtes…).
L’agriculture biologique par le sol à Langenlois
En mai 2023, le lycée agricole autrichien de Langenlois a accueilli les partenaires de la HAUP, du CEZ et du lycée agricole de Cibeins.
L’équipe Nectar a observé une activité pédagogique sur les sciences du sol avec les étudiants de deuxième année qui se sont spécialisés en agriculture écologique. Ils devaient préparer une exposition. Chacun des trois groupes devait étudier un type de compost et le présenter de manière attractive sur un poster, comme s’ils voulaient le vendre. Puis cette exposition était présentée à d’autres élèves.
Cette activité était précédée de la visite d’une entreprise produisant du « thé de compost » utilisant un système de lombricompostage et un bio micro-aérateur.
Comme pour les autres rencontres, l’équipe NECTAR s’est réunie pour échanger sur les pratiques observées. Les élèves ont eu des difficultés pour mettre en avant les qualités agronomiques des composts. L’équipe a réfléchi sur les points d’amélioration possibles. Certains concepts (fertilité du sol, durabilité…) auraient pu être abordés en amont pour pallier ces difficultés. Les enseignants doivent apprendre à identifier ce qui est visible et invisible pour les élèves et faire en sorte de rendre l’invisible visible. Ce processus d’apprentissage permet aux élèves de devenir des experts qui pourront agir en tant que professionnels.
La deuxième activité pédagogique observée visait à renforcer la fertilité du sol au travers de plusieurs études de cas et utilisait une animation “world café”. Les idées des élèves sur chaque cas étaient enrichies par les rotations des différents groupes.
Du partage d’expérience à la pédagogie constructiviste
La Bergerie nationale a réuni tous les partenaires à Rambouillet pour le séminaire final du 25 au 27 septembre 2023 pour partager les expériences vécues par les enseignants lors des différentes rencontres au cours des deux années du projet.
La première journée a servi à « planter le décor ». Les participants, qui se rencontraient pour la première fois tous ensemble, ont fait connaissance. Ils ont découvert le site de la Bergerie nationale : visite de la ferme, du moulin et de la boutique, balade en calèche et échanges avec une formatrice du pôle formation.
Le deuxième jour, les équipes des différents lycées ont présenté les séquences pédagogiques mises en œuvre et travaillées pendant les rencontres, à l’aide de posters et de témoignages des enseignants et des élèves. Puis les experts pédagogiques de la HAUP et de la Bergerie nationale ont présenté les deux cadres théoriques de pédagogies constructivistes utilisés pour analyser le travail effectué au cours du projet NECTAR : la pédagogie fondée sur la transition et la pédagogie verte.
Les enseignants ont pris un temps pour faire le lien entre les présentations des experts et les activités pédagogiques mises en œuvre dans le cadre du projet NECTAR. Les travaux réalisés ont été capitalisés sont la forme de 6 fiches-actions. Chacune d’elles porte sur une thématique différente et compare les approches françaises et autrichiennes. L’évaluation réalisée en fin de journée met en lumière les compétences acquises par les participants pour enseigner de façon critique la durabilité et/ou l’agroécologie et pour utiliser les pédagogies constructivistes.
Ce séminaire s’est poursuivi le 28 septembre 2023 par un évènement de communication ouvert à tous, en présentiel ou en visioconférence. Après une introduction par la directrice de la Bergerie nationale, le projet et ses résultats ont été présentés. Les partenaires ont pu témoigner de leur enthousiasme. Le Bureau des relations européennes et de la coopération internationale du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire est intervenu pour clôturer la matinée et apporter un regard extérieur sur le projet.
A l’issue de ce projet de partenariat de petite échelle, tous les participants souhaitent poursuivre l’aventure en montant ensemble un nouveau projet de plus grande envergure.
Crédit de Photo de couverture : Banque Image Pexels – Photo de Lucas, Abeille volante
Contact : Marie-Laure WEBER – Référente Coopération internationale – Coordinatrice du Programme National de Formation – CEZ – Bergerie nationale, marie-laure.weber@educagri.fr
Accord signé avec l’Irlande
Marc Fesneau, ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, était en visite en Irlande fin octobre 2023, pour rencontrer le ministre McConalogue et signer un accord éducatif avec le Teagasc.
Le ministre de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la Mer, Charlie McConalogue T.D., a accueilli Marc Fesneau, le ministre français de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, et sa délégation en visite en Irlande le vendredi 27 octobre. Cette visite s’inscrit dans le cadre du plan d’action conjoint France-Irlande 2021-2025, signé en 2021 à l’occasion de la visite du président Emmanuel Macron en Irlande. Au cours de la visite, les ministres ont discuté de la possibilité de travailler ensemble dans des domaines d’intérêt agricole mutuel.
Au cours de la visite, une déclaration d’intention sur le renforcement de la coopération dans le domaine de l’enseignement agricole entre le Teagasc et la Direction française de l’enseignement et de la recherche a été signée.
La délégation française a commencé sa visite par le Centre de recherche alimentaire de Teagasc à Ashtown, Co. Dublin, où les ministres McConalogue et Marc Fesneau ont prononcé les discours d’ouverture de la conférence Teagasc EU50 célébrant le 50e anniversaire de l’adhésion de l’Irlande à l’Union européenne. Le ministre Marc Fesneau et la délégation française, en compagnie du ministre McConalogue, ont ensuite visité une exploitation agricole suivie par le Teagasc dans le Co. Meath.
S’exprimant lors de l’événement Teagasc EU 50, le ministre Marc Fesneau a déclaré : « Au sein de l’Union européenne, l’Irlande et la France sont des partenaires de confiance, notamment sur le plan agricole. La politique agricole commune, entrée en vigueur en 1962, est l’une des politiques européennes les plus anciennes et l’un des fondements majeurs de la construction européenne. Au sein de l’Union, l’Irlande et la France partagent une vision commune de l’agriculture : une agriculture durable, résiliente et performante, basée sur un modèle familial ».
Lors de la visite de la ferme, le ministre McConalogue a déclaré : « Je suis très heureux que mon collègue français ait visité une ferme de démonstration et qu’il ait pu découvrir un système de production de viande bovine durable familial. L’exploitation fait partie du réseau de 22 fermes de démonstration du programme Future Beef, que Teagasc a mis en place avec des partenaires du secteur pour mettre en avant la production durable de viande bovine en Irlande. Ces fermes démontrent comment les gains d’efficacité réalisés dans les exploitations bovines peuvent contribuer à améliorer la rentabilité tout en réduisant l’empreinte carbone de la viande bovine produite dans ces exploitations ».
Le ministre Marc Fesneau a déclaré : « Au cours de cette visite, j’ai pu constater que l’Irlande, comme la France, est une terre d’excellence pour l’élevage durable. Nous devons reconnaître et encourager tous les efforts fournis par nos éleveurs, en Irlande comme en France. Nous avons besoin d’élevage pour nous nourrir, mais aussi pour la transition et la lutte contre le changement climatique, et ce d’autant plus que, nous l’avons encore malheureusement vu récemment, les agriculteurs et les éleveurs sont les premières victimes du changement climatique. »
Les deux ministres ont ensuite tenu une réunion bilatérale au cours de laquelle ils ont abordé un large éventail de sujets, notamment l’agriculture durable, les accords de libre-échange, les discussions en cours sur le règlement relatif aux nouvelles techniques génomiques et la politique agricole commune.
À l’issue de la réunion bilatérale, le ministre McConalogue a déclaré que « la réunion bilatérale s’appuie sur la coopération continue dans le cadre du plan d’action conjoint et constitue une déclaration claire de l’engagement de nos deux pays à travailler en étroite collaboration sur des questions d’intérêt agricole mutuel. Je me réjouis de travailler en étroite collaboration avec mon collègue français sur le développement futur de la politique agricole commune et d’autres questions connexes ».
La visite s’est achevée par la signature de la déclaration d’intention avec le Teagasc. A cette occasion, le ministre Marc Fesneau a déclaré que « cette signature illustre, une fois de plus, la richesse de la relation bilatérale et s’inscrit pleinement dans le Plan d’action conjoint signé entre nos deux pays en 2021 ». Il s’est félicité que la déclaration d’intention « encourage les établissements à partager leurs expériences, notamment sur les questions liées au changement climatique et à la durabilité, qui sont évidemment des questions clés lorsqu’il s’agit de former les agriculteurs de demain ».
Article publié sur le site du Ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire – Alimagri
Contact : Stéphanie MANGIN, chargée de mission Europe – Bureau des relations européenne et de la coopération internationale – DGER-MASA – stephanie.mangin@agriculture.gouv.fr
Agrochallenges à la façon ibérique
Le réseau Espagne-Portugal et le réseau d’Éducation à la Citoyenneté et à la Solidarité Internationale de l’enseignement agricole français ont mené une action de promotion du jeu pédagogique Agrochallenges, qui les a menés au nord du Portugal dans la région de Porto, puis dans la province espagnole de la Corogne en Galice, fin juin 2023.
L’objectif de cette mission ? Présenter les versions traduites en espagnol et en portugais du jeu pédagogique Agrochallenges (éducagri-éditions). Pour ce faire, les animateurs du réseau Éducation à la Citoyenneté et à la Solidarité Internationale de l’enseignement agricole (RED) et du Réseau Espagne-Portugal ont eu l’opportunité d’être accompagnés sur place par deux jeunes filles, l’une espagnole et l’autre portugaise, Ana Sánchez Antelo et Catarina Ferreira, toutes deux volontaires internationales du Corps Européen de Solidarité en poste au lycée Fonlabour d’Albi (81).
Une tournée bien accueillie au Portugal
La version portugaise du jeu «Agrochallenges – o jogo da agroecologia» existe depuis 2015, elle est fréquemment utilisée dans les événements franco-brésiliens , mais jamais le jeu n’avait été présenté aux partenaires Portugais à ce jour. C’est maintenant chose faite et l’accueil réservé à notre délégation a été extrêmement chaleureux.
Une présentation dynamique du jeu
Les écoles d’agriculture portugaises de Santo Tirso et de Marco de Canaveses se sont prêtées au jeu et elles en ont fait un évènement en soi puisqu’à chaque fois il y a eu la possibilité de présenter le serious game à un parterre d’élèves, de professeurs et de personnels qui avaient été libérés de leurs cours pour l’occasion. En cela, l’aide de la jeune Service civique portugaise, Catarina, a été précieuse, apportant fluidité dans les échanges, dynamisme et force de persuasion.
Des ateliers de mise en pratique
Après les explications générales, le public était en toute logique invité à passer à la partie pratique du jeu dans ses différentes versions : AgroMIND en individuel, AgroFUN par équipes, etc. Ces différentes versions, testées en atelier, ont été très appréciées et force est de constater que la thématique du jeu a largement retenu l’attention d’un public d’élèves portugais passionnés d’agriculture et prêts à débattre sur la thématique de l’agroécologie.
AGROCHALLENGES prend le chemin de…Saint-Jacques-de-Compostelle
Poursuite du périple dans le nord-ouest de l’Espagne cette fois, afin de présenter pour la toute première fois la version espagnole «Agrochallenges – el juego de la agroecología» qui a été récemment traduit par le RED grâce à l’appui de membres des lycées agricoles français et espagnols du réseau Espagne-Portugal.
La délégation accueillie dans une MFR de Galice
Excellent accueil que celui réservé par ce nouveau partenaire d’une « Escuela Familiar Agraria » de la Corogne, à Coristanco, une des 24 MFR que compte le pays. Là-aussi, des échanges passionnants et des parties de cartes très disputées de la part d’une assemblée de professeurs, d’équipe de direction et agriculteurs partenaires du territoire bien conscients des possibilités pédagogiques qu’offre le jeu et du débat qu’il permet d’ouvrir au niveau de la question agro-écologique.
Un bilan très positif pour la délégation
Au final, plus de 150 personnes ont pu participer à l’animation proposée dans les établissements portugais et espagnols lors de cette tournée de présentation des versions ibériques d’Agrochallenges. Les établissements se sont montrés très réceptifs et plusieurs ont directement souhaité faire l’acquisition de boites de jeux, ce qui est très encourageant pour la diffusion du jeu dans la péninsule ibérique.