How is French agricultural teaching?

C’est dans le cadre de l’accord institutionnel de 2023 que 5 enseignants irlandais ont effectué une mobilité de 5 jours en France du 13 au 17 mai 2025.

Les 5 enseignants et enseignantes sont issus dans différents « COLLEGES » du réseau TEAGASC : Kildalton, Clonakilty, Dublin, Pallaskenry et Ballyhaise. Dans la République d’Irlande, il y a 7 établissements qui mettent en œuvre uniquement des formations agricoles.

Lors de leur séjour en France, nos collègues irlandais ont pu visiter les lycées agricoles de Quétigny, Plombières lès Dijon, Bourg en Bresse, Lons-le-Saunier Mancy et Montmorot. Chaque Établissement d’enseignement agricole a eu a cœur de présenter ses formations et ses infrastructures. Cela a permis à nos partenaires de découvrir le métier de Conseiller Principal d’Education (CPE) qui n’existe pas en Irlande. Les étudiants « pointent » à leur arrivée dans leur établissement et les enseignants « Ne font pas d’appel ».

Ce qui a été apprécié c’est l’existence d’appels à chaque heure, la présence des CPE et des Assistants d’éducation gage pour nos collègues de moins d’absentéisme comparé au système Irlandais. Autre découverte pour eux, le fait que les exploitations ou ateliers de transformation doivent dégager des revenus, obligation qui n’existe pas dans le réseau des établissements TEAGASC. Ce qui a marqué, c’est aussi l’impression que les exploitations des établissement agricole français visent plus la qualité que la quantité, pour eux cela est aussi sans doute le résultat de l’obligation d’avoir des revenus propres pour les exploitations. Le concept de fruitières à Comté ou viticoles avec une proximité entre production et transformation, avec au centre du système les exploitants agricoles, fut une agréable découverte. En Irlande, les agriculteurs sont aussi regroupés en coopératives mais le nombre d’adhérents est beaucoup plus élevé que dans celui des fruitières. Le lieu de transformation peut être très éloigné du lieu de production.

Nos collègues irlandais se sont aussi particulièrement montrés très intéressés par les possibilités d’aide aux élèves et étudiants avec besoins spécifiques, notamment la présence d’accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) dans les cours. La présence d’ateliers de transformation dans les établissements d’enseignement professionnel agricole a aussi été une vraie découverte car le système d’enseignement TEAGASC n’est que productif.

Les enseignants sont repartis ravis de cette expérience et vont encourager leurs collègues à candidater pour de prochaines mobilités entrantes en France. Leur mobilité était financée par Erasmus+, un programme qu’a bénéficié TEAGASC cette année scolaire pour la première fois, grâce en partie à nos échanges et partages de pratiques « Erasmus ».

A noter que lors de la visite de l’établissement agricole de Bourg-en-Bresse, le Chargé des Affaires Agricoles de l’Ambassade d’Irlande à Paris, M. Gobl, était présent. Cela lui a permis de mieux appréhender notre système de formation. Une expérience intéressante pour lui qu’il souhaite renouveler dès cette fin d’année scolaire lors de la visite d’une autre délégation irlandaise de l’établissement basé à Gurteen, Comté de Tipperary fin juin 2025 dans l’établissement de Lons-le-Saunier Mancy pour découvrir la filière équestre.

Contact : Frédéric Mesure, animateur du réseau Royaume-Uni / Irlande de l’enseignement agricole, frederic.mesure@educagri.fr




L’observation pour de nouvelles pratiques pédagogiques

7 membres du personnel du LEGTA François Rabelais à Saint-Chély-d’Apcher ont réalisé des stages d’observation en Espagne, Norvège et Roumanie grâce à des mobilités Erasmus +, dans le cadre du consortium EFP porté par l’ENSFEA.

Les participants ont découvert de nouvelles pratiques pédagogiques, amélioré leurs compétences linguistiques et se sont immergés dans les cultures locales.

Le consortium Occitanie Erasmus+Enseignement et Formation Professionnels rassemble les 22 établissements d’enseignement techniques agricole d’Occitanie, dont le LEGTA de Saint-Chély-d’Apcher.

La biologie en espagnol

Mme Maruzzi, enseignante de biologie et Mme Bloc, enseignante de zootechnie, se sont rendues à Badajoz, en Espagne, du 5 au 9 février 2024, pour un stage d’observation. Elles ont été accueillies dans deux lycées : le lycée général IES Bioclimatico et le lycée agricole Nra Sra BOTOA au sein desquels elles ont assisté à des cours de biologie et d’autres matières, ce qui leur a permis d’améliorer leurs compétences linguistiques en espagnol. Elles ont également eu l’occasion de présenter leur lycée en espagnol dans plusieurs classes, favorisant ainsi les échanges interculturels. Dans le lycée agricole Nra Sr BOTOA, elles ont visité les exploitations agricoles du lycée, notamment un centre équestre et une serre, où elles ont pu observer les pratiques agricoles locales.

“Nous avons trouvé les élèves très sages et disciplinés, assistant à des cours qui semblaient très traditionnels : le professeur parle et les élèves écoutent et prennent des notes. Les enseignants espagnols étaient très souriants et l’organisation du lycée était remarquable. La personne qui nous a accueillie et préparé le programme, a également voulu que nous participions à des cours de flamenco, une expérience que nous avons adorée. Notre séjour à Badajoz a coïncidé avec le carnaval, où élèves et enseignants se sont déguisés, ajoutant une touche festive et colorée à notre visite” – Mme Maruzzi et Mme Bloch en Espagne.

Entre exploitations agricoles et traditions locales Roumaines

Mme Chaleil, enseignante en production végétale, et Mme Rioux, enseignante en production animale, ont effectué un stage d’observation, du 8 au 12 avril 2024, au lycée agricole « Colegiul Pentru Agricultura Si Industrie Alimentara Tara Barsei » situé à Prejmer, dans le centre-est de la Roumanie. Elles ont observé les pratiques pédagogiques et les méthodes de gestion des exploitations agricoles locales. En plus des activités professionnelles, les hôtes roumains ont organisé des visites culturelles pour les enseignants français, leur permettant de découvrir les traditions culinaires et les coutumes locales.

“Mon expérience en Roumanie a été à la fois enrichissante et dépaysante. L’accueil a été exceptionnel, malgré quelques difficultés avec l’application de trajet en bus qui ne fonctionnait pas correctement, nous envoyant à un endroit différent. Cela a cependant donné lieu à une situation assez amusante. À notre arrivée, une personne est venue nous chercher à l’aéroport en voiture, mais ne parlait pas un mot d’anglais. Pour nous mettre à l’aise, cette personne a diffusé des chansons de Céline Dion et d’Édith Piaf à la radio, un geste qui a instantanément créé une ambiance familière et chaleureuse” – Mme Rioux en Roumanie.

La didactique en anglais

M. Hanssens, professeur d’ESC, Mme Vega, professeure d’anglais, et Mme Petit, secrétaire pédagogique, ont réalisé leur stage d’observation au lycée agricole SKJETLEIN à Trondheim, en Norvège du 13 au 15 février 2024. Mme Vega et M. Hanssens ont assisté à des cours d’anglais pour observer les méthodes didactiques et d’apprentissage en anglais. Mme Petit a étudié les procédures de gestion des dossiers administratifs et des sorties scolaires en Norvège. Les participants ont visité les exploitations agricoles du lycée et ont assisté à des ateliers avec les élèves pour voir comment ces derniers gèrent les animaux et les productions. Ils ont également présenté leur lycée agricole François Rabelais devant le personnel norvégien, favorisant ainsi les échanges professionnels et culturels.

“En Norvège, nous avons trouvé la compréhension des lignes de bus compliquée, surtout avec les noms de rues et de villes en norvégien. Cependant, l’accueil était superbe. Le personnel était très sympathique et ils prenaient le temps de s’asseoir avec nous pour manger et rigoler. Nous avons eu l’opportunité de discuter avec des élèves en classe. Une expérience particulièrement marquante fut de voir une classe composée de seulement sept élèves, deux enseignants d’anglais et une personne dédiée à aider les jeunes timides à s’intégrer en classe. Dans les programmes de Bac Pro, les élèves n’ont des cours d’anglais que durant la première année de leur lycée. Nous avons également découvert qu’ils étaient en train de mettre en place des méthodes pédagogiques innovantes, comme l’utilisation de lunettes spéciales tridimensionnelles pour rendre les cours d’anglais plus interactifs et amusants à travers des jeux. Grâce à cette mobilité 2 élèves de bac pro auront la possibilité de faire leur stage de découverte à Trondheim. » – Mme Vega en Norvège.

Pour partager cette riche expérience avec le lycée de Saint-Chély-d’Apcher, une exposition de photos a été mise en place en salle polyvalente pendant un mois. Cela a permis à toute la communauté éducative de découvrir et de partager les moments marquants de ces mobilités.

Retrouvez également les blogs de chaque enseignant sur Moveagri, Malaury en Roumanie , Maëly en Espagne et Juana en Norvège

Contact : Marion DEMAY, déléguée aux relations internationales de l’ENSFEA, marion.demay@ensfea.fr




Arménie : de la physique à l’agroalimentaire

Les portraits de trois jeunes arméniens qui incarnent de la coopération entre l’Arménie et la France, en venant  poursuivre leurs études supérieures à Dijon : du Master au Doctorat.

Depuis plus d’une vingtaine d’années, l’université de Bourgogne Franche Comté (UBFC) construit un partenariat avec l’Arménie dans un tout premier temps autour de thématiques liées aux sciences physiques. Aujourd’hui cette coopération s’élargit à d’autres domaines telles que l’agroalimentaire.

Un fort partenariat depuis plus de 20 ans

UBFC a développé une réelle politique de partenariats internationaux avec l’Arménie, allant de l’échange récurrent d’étudiants à la création d’un double diplôme.

Depuis 2018, UBFC a accueilli en Masters plus de 40 étudiants originaires de l’université d’état d’Arménie (YSU). Plusieurs de ces étudiants ont poursuivi leurs études en doctorat à UBFC ou dans d’autres institutions françaises.

Pour renforcer la coopération scientifique et académique existante et l’étendre à d’autres domaines scientifiques, et pour renforcer son réseau en Arménie, UBFC a signé en 2018 des accords de coopération avec quatre établissements en Arménie : YSU, Russian-Armenian Unversity (RAU), NASA et Armenian National Agarian University (ANAU). Ces accords de coopération ont renforcé les échanges existants et déjà réguliers de professeurs et d’étudiants entre UBFC et les institutions arméniennes. Ils ont également stimulé de nouvelles coopérations.

Yevgenya Pashayan-Leroy, directrice du services relations internationales de l’UGB accompagnée d’enseignants chercheurs, assure chaque année une présentation de l’université auprès des jeunes étudiants arméniens inscrits à l’université d’état d’Erevan. Chaque année, quelques élèves quittent leur pays pour venir à Dijon réaliser un Master ou un doctorat. Ces élèves soutiennent leur mémoire avec brillantissime/ virtuosité.

Différents financements leur sont accordés : bourse interne de UGB, bourse du gouvernement français (BGF), bourse de mobilité Erasmus+ par le projet Mobilité Internationale de Crédits (MIC), bourse de l’agence universitaire de la francophonie (AUF).

A travers trois portraits de jeunes arméniens et arméniennes, découvrons les enjeux de cette coopération entre la France et l’Arménie.

Syuzanna, du bi-diplome à l’Université d’Erevan

Syuzanna commence ces études supérieures à l’université d’état de Erevan. De 2019 à 2022, elle réalisera un doctorat en co-tutuelle entre les deux établissements d’un coté l’université d’état de Erevan et l’Institut AgrosupDijon. Elle mettra alors en évidence les interactions entre la nature du contenant et le contenu : le vin. Aujourd’hui, elle travaille à l’Université d’État d’Erevan tout en maintenant une collaboration étroite avec l’université de Bourgogne et l’Institut Agrosup Dijon.

Portrait de Savmel : De la vigne aux plantes médicinales

En 2014, Savmel obtient son diplôme « bachelor degree » en Biologie, en Arménie. Il enrichit ses études par de nombreuses expériences dans différents pays européens. Tout d’abord, il étudie la propagation d’une maladie phylloxera sur les vignes en Arménie. Puis, en Italie, Savmel a ainsi découvert différents processus de cryoconservation.

En 2020, il arrive à l’Université de Dijon, Institut universitaire de la vigne et du vin « Jules Guyot », où il travaillera sur la composition en antioxydants dans les fruits de la vigne.

Parallèlement, Savmel est très dévoué auprès des étudiants étrangers en les aidant dans leurs démarches administratives.

En 2021-2024, il prépare une thèse à l’université UBFC en pharmacologie dont l’objectif est de déterminer les caractéristiques chimiques de certaines plantes médicinales arméniennes.

Il souhaite poursuivre cette collaboration entre les instituts français et arméniens en produisant des huiles essentielles et hydrolats à partir de plantes provenant d’Arménie.

Il vient d’obtenir un post-doctorat en co-tutelle entre INRAE et l’Institut universitaire de la vigne et du vin « Jules Guyot ».

Ruzanna, spécialisée dans la sécurité alimentaire

Doctorante en toxicologie, Ruzanna une brillante étudiante d’origine arménienne vient de rejoindre l’entreprise Lactalis à Laval (53).

En 2018, elle obtient sa licence de biochimie à l’université d’état à Erevan. En 2020, Ruzanna poursuit ses études en France, en master de microbiologie et physico-chimie des procédés agro-alimentaires à l’institut AgrosupDijon. Au cours de son master, elle bénéficiera d’un programme d’échange ERASMUS + avec l’Italie.

Sortie majeure de promotion, Ruzanna poursuit ses études en réalisant une thèse portant sur l’évaluation des risques de contamination des produits alimentaires provenant d’emballages métalliques. Sa ténacité et son envie de réussir vont la conduire à l’obtention d’un prix Eurotox de début de carrière dans le domaine de la sécurité alimentaire et à l’écriture de plusieurs publications.

« A dream for me »

Ces jeunes arméniens et arméniennes ont choisi de venir en France car c’était un rêve pour eux depuis longtemps, une opportunité pour poursuivre leurs études supérieures.

A Dijon, une réelle solidarité entre les jeunes arméniens, arméniennes s’installe facilitant ainsi leur intégration. L’un des étudiants m’a dit : Dijon, est une ville où je me sens à la maison .

Des cours de linguistique leur sont proposés en vue de préparer le diplôme d’études en langue française (DELF).

Plus de 20 ans de coopération entre l’UGB et l’Arménie s’illustre également par des mobilités sortantes comme celle toute récente de Rodolphe, jeune étudiant français, qui vient de commencer une thèse en Arménie.

En mars 2024, une délégation de 5 enseignants d’AgrosupDijon assurera des cours en Master au département de biologie à l’Université d’Etat de Erevan.

Contact : Evelyne Bohuon, animatrice du réseau Arménie de l’enseignement agricole, evelyne.bohuon@educagri.fr

 




Initiatives inspirantes de coopération avec le Danemark

Le lycée Normand de Sées se positionne comme un acteur clé dans la formation des futurs leaders de la transition en Europe.

Le lycée agricole de Sées s’est engagé depuis 2022 dans une coopération fructueuse avec le Danemark, explorant des thèmes cruciaux tels que les transitions énergétiques, écologiques et agroécologiques. À travers des initiatives mobilisatrices et des mobilités Erasmus+.

En avril 2022, les enseignants Anne et Emmanuel Bossis ont entrepris une mobilité à Samso et à Copenhague, axée sur la découverte des personnalités et structures impliquées dans les transitions énergétiques, écologiques et agroécologiques.

Héros de l’environnement

Les enseignants ont interviewé les acteurs de la transition énergétique, dont Soren Hermansen, lauréat du prix Héros de l’environnement 2008 du Time Magazine, à partir de questions élaborer par les élèves de 1ère STAV. Les réponses aux questions ont été recueillies et filmées, offrant une perspective directe des pionniers de la transition.

À Copenhague

L’agriculture urbaine a été au cœur des préoccupations, des entrevues ont été organisées avec des experts comme Lasse Antoni Carlen de la société Bygaard. Des questions préparées par les élèves ont également été posées à des représentants de la société Bygaard et d’Ostergro, explorant les enjeux liés aux Objectifs de Développement Durable (ODD).

Exploitation et Partage

Les réponses obtenues ont été exploitées en collaboration avec les enseignants d’anglais, impliquant activement les élèves dans l’analyse et la synthèse des informations. Certains apprenants ont partagé leurs découvertes lors de présentations au sein du lycée et au-delà, contribuant à sensibiliser sur l’ODD 4 – Une éducation pour tous d’ici 2030.

Nouvelles opportunités éducatives

Emmanuel Bossis a poursuivi la collaboration en décembre 2022, cherchant des opportunités éducatives et pédagogiques pour le futur. Les entretiens avec des étudiants, enseignants et responsables de structures éducatives danoises ont jeté les bases de partenariats futurs.

En mars 2023, Anne Bossis a orchestré une interview live avec Soren Hermansen, impliquant les élèves de la classe de 1ère STAV. Cette collaboration a permis de traduire et de partager des perspectives sur la transition énergétique.

Guillermo Pedro Esteve du Kalø Organic Agricultural College a été accueilli en septembre 2023. Des échanges avec différentes classes et des interviews pour des podcasts ont permis de poursuivre les travaux.

Ecoutez l’interview de 3 jeunes des Green Movment à Cohenhague.

Interview de 3 jeunes des Green Movment à Copenhague 

Oriane – Vision européenne et internationale pour construire son avenir

Oriane est une étudiante française, partie poursuivre ses études au Danemark, en élevage. Elle est titulaire d’un bac Sciences et Technologies de l’Agronomie et du Vivant (STAV) et d’un BTSA Gestion et Protection de la Nature (GPN), puis a préparé une Licence avant de réaliser une série de stages dans plusieurs pays d’Europe et au Costa Rica. Elle se forme actuellement dans un établissement danois et multiplie les expériences au cours de nombreux stages au Danemark, en France et ailleurs avant de choisir une voie professionnelle, où elle souhaite s’installer en tant qu’éleveuse caprin avec une activité de transformation fromagère et productrice de pomme à cidre. Elle se donne encore une année pour affiner ses souhaits professionnels. Retrouvez l’interview en français d’Oriane

L’ensemble des interviews effectuées lors de cette mobilité est disponible dans un dossier en ligne. Les interviews sont en anglais à l’exception de celle d’Oriane.

Des mobilités individuelles, des séjours de classes au Danemark et un nouvel entretien avec Soren Hermansen sont prévu au printemps 2024.

Le lycée Agricole de Sées continue de montrer son engagement envers une éducation de qualité, les transitions durables et la coopération internationale, plaçant ses élèves au cœur des enjeux mondiaux. Ces initiatives enrichissantes contribuent à former une nouvelle génération de leaders conscients et engagés.

Contact : Aurélia Haioun, Animatrice du réseau Belgique, Luxembourg, Pays bas et Danemark de l’Enseignement Agricole, aurelia.haioun@educagri.fr