Deux jeunes des Andes péruviennes, partenaires des lycées agricoles français dans le cadre du FEF Alimentation durable au Pérou de 2022 à 2024, ont eu l’opportunité de participer aux Ovinpiades internationales et ensuite de découvrir le Pays Basque . Cette initiative vise à renforcer l’éducation technique agricole et à s’interroger sur le renouvellement des générations dans ces deux territoires, en reconnaissant le rôle crucial des jeunes dans ce processus.
L’initiative d’adjoindre une mission au concours itinérant des Ovinpiades mondiales, financée par Interbev pendant la semaine des épreuves et par le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire (Budget Action Internationale) pour la semaine post-Ovinpiades, a été menée par Inn’Ovin et le réseau Amérique latine de la DGER. Le temps d’échanges a été enrichissant pour les institutions participantes et a contribué au renforcement des partenariats initiés grâce au projet FEF (ex FSPI).
Après une semaine d’Ovinpiades avec des épreuves innovantes pour les Latino-Américains, comme la tonte mécanisée, inconnue dans les Andes, la communauté éducative de l’Institut Jean Errecart leur a organisé un programme d’activités en lien avec les produits du territoire de manière générale et ceux de la filière ovine en particulier. Ces échanges ont permis de découvrir les caractéristiques des systèmes éducatifs et agricoles français, ainsi que la valorisation des produits à travers la transformation de la matière première. Les exemples de fabrication de charcuteries (pâtés, jambon) et de fromages affinés bien spécifiques les ont particulièrement intéressés.
Des post-ovinpiades aux couleurs basques
L’Institut Jean Errecart de St. Palais, au Pays Basque, jumelé avec l’institut péruvien de Pazos (Huancavelica), a accueilli du 2 au 6 juin 2024 la délégation péruvienne composée de deux jeunes étudiants : Greysi Nicole Quilca Palomino, de l’Iestp Pazos Huancavelica, et Juan Omar Anguis Castro, de l’Iestp Santiago Antunez de Mayolo Palian Huancayo, accompagnés de Jhoselyn Castro Martinez, membre de l’ONG Agronome et vétérinaire sans frontières (AVSF). Ils ont été rejoints par la délégation argentine de l’école agricole provinciale N°1 Heroinas de Malvinas en Patagonie, composée de deux étudiants, Pacheco Darian Antonio et Sanhueza Lisandro Javier, encadrés par leur enseignant Kaschewski Martin.
Tous les participants ont pu découvrir le territoire basque après avoir rencontré des jeunes bergers d’autres régions françaises à l’occasion des Ovinpiades. Ils ont été accueillis chaleureusement durant tout leur séjour, tant lors des Ovinpiades internationales que dans l’Institut Jean Errecart, où ils ont rencontré de jeunes éleveurs et découvert diverses techniques de production ovine.
L’expérience a été un catalyseur d’apprentissage mutuel, impactant positivement les acteurs des différents pays. L’échange a renforcé les relations entre les institutions participantes et généré un engagement pour la consolidation et la poursuite des alliances.
Projets croisés en perspective
En vue de 2025, plusieurs actions ont été initiées , notamment la signature d’une convention entre le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire et le gouvernement régional de Huancavelica pour développer des projets croisés avec plusieurs établissements de cette région. Il est également prévu la mise en place d’une mobilité de service civique pour un jeune Péruvien qui séjournera six mois dans un établissement agricole de Mâcon, ainsi que le partage et la diffusion de projets visant à valoriser les savoirs locaux, avec la réalisation de deux vidéos sur la transformation de produits carnés comme le pâté et le jambon.
La continuation du projet de solidarité sur le bien-vivre ensemble et l’aménagement du jardin franco-péruvien dans le centre culturel Bideak de St. Palais sont également au programme.
Au-delà d’un simple échange, ce projet représente un pont de connaissances entre la France et le Pérou, un espace où les jeunes des deux pays s’unissent pour construire un avenir plus durable et juste pour l’agriculture.
Contact : Magali Loupias, animatrice du réseau Amérique Latine – magali.loupias@educagri.fr
Tour de France des Ovinpiades mondiales
La France a accueilli la 3éme Coupe du Monde des Jeunes Bergers du samedi 25 mai au samedi 1er juin 2024 et tous ont découvert l’emblématique Bergerie Nationale pour connaître le podium des 3 meilleurs jeunes bergers du monde.
Après 10 ans d’absence, la France relance les Ovinpiades mondiales. Une quinzaine de délégations étrangères ont participé à la 3ème « Coupe du Monde des Jeunes Bergers ». Ainsi une trentaine de jeunes âgés de 18 à 26 ans, suivant une formation agricole ou déjà en activité, se sont disputé le titre de Meilleur Jeune Berger du Monde du 25 mai au 1er juin 2024 dans un format itinérant.
Après avoir été accueillis à Paris, tous les compétiteurs ont embarqué dans un bus vers le Limousin, l’Aveyron, l’Auvergne, la Bourgogne et la Bergerie Nationale de Rambouillet pour découvrir la diversité de l’élevage ovin français. Ils ont retrouvé les épreuves mythiques des Ovinpiades nationales et quelques nouveautés comme la tonte et la pose de clôture mobile en quad.
Un concours français devenu mondial
En France, dans les prochaines années, plus d’1 éleveur de brebis sur 2 partira à la retraite.
C’est dans un contexte de revalorisation de cette filière qu’INTERBEV Ovins et l’ensemble de la filière ovine organisent les Ovinpiades des Jeunes Bergers depuis 2005, que les Championnats Européens sont organisés annuellement et qu’après 10 ans d’absence, les Ovinpiades mondiales font leur retour en France.
La 1ère Coupe du monde des jeunes bergers a été organisée en 2011 par la Nouvelle Zélande (à Oamaru). L’année suivante, les professionnels ovins ont décidé de fonder l’Association Internationale pour créer un réseau dynamique de la formation agricole, favoriser les échanges entre les jeunes et l’installation de futurs éleveurs de brebis.
La 2ème coupe du monde a été organisée par la France, en 2014 lors du Sommet de l’élevage en Auvergne.
Le Championnat au niveau Européen est lui organisé chaque année lors de la finale nationale des Ovinpiades au Salon International de l’Agriculture.
Aux 4 coins du monde, susciter des vocations et échanger
Lors de ce concours le métier d’éleveur de brebis dévoile ses atouts pour susciter des vocations. En effet, tout comme la France, d’autres pays sont confrontés aux mêmes difficultés de renouvellement des éleveurs de brebis.
En organisant la Coupe du Monde des Jeunes Bergers, l’Association Internationale des Ovinpiades vise à favoriser les échanges autour du thème de la formation. D’autres actions sont proposées aux jeunes comme des bourses « coup de pouce » pour des stages individuels en production ovine ou des voyages d’études filière dans les pays moutonniers de l’Union européenne : Royaume-Uni, Irlande, Europe de l’Est, Italie, Espagne, etc…
Les objectifs et intérêts de ces stages et voyages sont multiples : susciter l’intérêt des jeunes pour l’élevage ovin, découvrir et apprécier les modes de pratique des professionnels des filières ovines d’autres pays tous secteurs confondus, connaître les modes d’enseignement sur la thématique ovine chez les voisins européens, constituer un « carnet d’adresses » européen de la filière ovine…
Près de 500 jeunes ont déjà pu bénéficier de ces fonds par le passé. En relançant les Ovinpiades mondiales, la France a souhaité également relancer ce dispositif d’échange.
14 pays vivent une semaine de compétition et + encore
La France a invité des nations à forte tradition moutonnière du globe. L’Argentine, l’Arménie, l’Australie, la Belgique, le Bénin, le Canada, le Chili, la Côte d’Ivoire, l’Espagne, l’Irlande, le Pérou, le Royaume-Uni et le Togo ont répondu à l’appel !
Au cours de la dernière semaine de mai 2024, 14 pays ont été représentés par 29 candidats. Les délégations sont composées de 2 jeunes – filles et garçons – entre 18 et 26 ans (en formation agricole ou en activité depuis moins d’un an) et d’un accompagnateur, et elles se sont disputées le titre de Meilleur Jeune Berger du Monde.
Les réseaux Europe et International de la DGER se sont fortement mobilisés pour identifier, organiser et / ou accompagner en particulier les délégations issues des continents africain (Bénin, Côte d’Ivoire, Togo), américain (Argentine, Chili, Pérou, Québec) et européen (Arménie, Belgique, Espagne, Irlande, Royaume – Uni).
Par ailleurs, certaines délégations sont arrivées une semaine en amont de l’événement et sont allées visiter des établissements agricoles (Benin, Chili, Côte d’Ivoire et Togo) et d’autres restent une semaine après l’événement (Argentine, Pérou).
La France était représentée par Iris et Benoît, meilleurs jeunes bergers 2024 sélectionnés le 24 février 2024 lors de la finale nationale des Ovinpiades au Salon International de l’Agriculture à Paris.
5 départements traversés, 6 épreuves…
Afin de faire découvrir la diversité de l’élevage de brebis, il a été choisi de réaliser une compétition itinérante mêlant épreuves, visites et échanges.
Les Ovinpiades des Jeunes Bergers sont une invitation à découvrir le métier d’éleveur de brebis de l’intérieur, à travers des gestes concrets. La compétition mondiale poursuit la tradition en reprenant les épreuves mythiques de la finale nationale, mais pimente l’expérience en ajoutant 2 nouvelles épreuves emblématiques : la tonte et la pose de clôture en quad.
And the winners are…
Benoît, représentant la France, à la première place,
Gaby, représentant l’Australie à la deuxième place,
Iris, représentant la France à la troisième place.
Au-delà de la compétition, cet événement est une opportunité pour valoriser l’engagement de l’Enseignement agricole dans la promotion de la filière ovine, de mettre en avant la priorité accordée à l’insertion professionnelle des apprenants formés dans l’Enseignement agricole et la volonté de contribuer ainsi au renouvellement des générations dans le secteur agricole. Surtout, l’ampleur de ce concours met en avant la dimension européenne et internationale dans la formation des futurs agriculteurs ainsi que l’ouverture des établissements agricoles français qui se concrétise à travers l’accueil d’apprenants étrangers.
L’action des réseaux Europe et International de l’enseignement agricole se sont fortement mobilisés aux côtés des organisateurs des Ovinpiades pour faire venir leurs partenaires et contribuer ainsi à renforcer la présence des délégations étrangères en provenance des continents européen, africain et sud-américain.
Sur ce dernier point, cet événement est l’occasion de renforcer ou de construire des partenariats ou des actions mises en œuvre par les établissements d’enseignement et de formation agricoles.
Le pastoralisme : entre formation et profession
Le réseau Afrique de l’Ouest a invité 3 équipes – Bénin, Côte d’Ivoire, Togo – à participer aux Ovinpiades mondiales organisées par Inn’ovin . Chaque équipe était accompagnée d’un représentant des Fédérations nationales des communes pastorales (FNCP), faisant ainsi le lien entre la formation et la profession.
Une préparation spécifique aux Ovinpiades a été organisée dans chacun des 3 pays, d’une part in situ avec les accompagnateurs, auprès d’éleveurs et de centres ovins, d’autre part à distance avec des lycées agricoles français de 3 régions différentes réputées pour leur production ovine (PACA, Occitanie, Normandie) avec partage de conseils, documents, photos et vidéos, et en lien avec la profession ovine locale.
Du projet FSPI aux Ovinpiades
La délégation péruvienne était composée des représentants de deux établissements identifiés dans la cadre d’un projet FSPI sur l’Alimentation durable, mis en œuvre entre 2022 et 2023. Lors de ce projet, 3 établissements péruviens avaient été identifiés et mis en relation avec 3 établissements français.
S’entrainer avec le vice-champion 2024 !
La délégation chilienne venait d’un établissement du sud de la Patagonie (Coyaique), nouveau partenaire du réseau Chili identifié lors du dernier forum franco-chilien de l’enseignement agricole organisé en 2022. C’était donc l’occasion pour cet établissement de faire venir en France pour la première fois des apprenants et de concrétiser le partenariat naissant. La délégation chilienne est arrivée en amont des Ovinpiades et a été reçue par l’EPL de Nevers et l’EPL de Fontaines, où ils ont rencontré le vice-champion 2024 pour un entrainement.
Opportunités de développer les partenariats
La délégation argentine était issue de la province de Santa Cruz (en Patagonie) et c’est le résultat d’un travail conjoint avec l’Institut national de l’Enseignement technique (INET) d’Argentine, qui répondait à la volonté d’identifier des provinces en lien avec le principal acteur de la formation professionnelle en Argentine (l’INET) avec lesquelles mettre en œuvre des partenariats entre établissements de ces provinces et les établissements agricole français. Après les Ovinpiades, ils ont été accueillis par le Lycée agricole Jean Errecart, l’EPL de Pau et l’EPL de Castelnaudary afin de découvrir, toujours en lien avec la filière ovine, les acteurs de la formation et le secteur professionnel.
Côté Europe
Parmi une dizaine d’établissements ibériques, l’école des bergers d’Andalousie (Escuela de pastores de Andalucia), à Grenade, a été sélectionnée pour participer à ce concours, en raison de son dynamisme, de sa réactivité et de sa volonté de développer des coopérations. Les candidats ont été rencontrés par l’animateur des réseaux Espagne/Portugal dans les estives de la Sierra Nevada en décembre 2023. Les projets de mobilités et de partenariats envisagés avec la Direction de l’école seront ensuite travaillés au bénéficie des jeunes espagnols et des jeunes français.
Le prochain rendez-vous des Ovinpiades sera européen, en direct du SIA 2025 et on espère que le format international n’aura pas une trêve de 10 ans avant confronter à nouveau les cultures pastorales de chaque pays de tradition d’éleveurs d’ovin.
Contacts : Paul Ménard et Vincent Vanberkel, coordonnateurs des concours des jeunes internationaux pour l’enseignement agricole (+ demander les coordonnées des animateurs de réseaux des pays correspondants), paul.menard@educagri.fr et vincent.vanberkel@educagri.fr
Mission exploratoire en Syunik – Arménie
Pendant une dizaine de jours, quatre professionnels ont arpenté les routes sinueuses de la région Syunik au sud de l’Arménie, et profité de magnifiques paysages. La rencontre avec une quarantaine d’acteurs a ouvert des axes de coopération impliquant plus de 100 personnes et des enjeux ont été identifiés.
La coopération avec le Syunik est ouverte à tout établissement français qui souhaitent s’engager et plus particulièrement ceux d’Auvergne-Rhône-Alpes. Suite à cette mission, riche en rencontres, un travail d’analyse est en cours de réalisation. De cette analyse vont naître des projets de coopération entre les deux régions.
Du 25 mai au 1 juin 2024, Deux jeunes étudiants et leur accompagnatrice sont accueillis dans le cadre de la compétition des Ovinpiades mondiales. Courant 2024 des missions croisées devraient se réaliser, l’une en Arménie et l’autre en France.
Si votre lycée est intéressé, si l’un des enjeux vous questionne…alors contactez-nous !
En mars 2023, une convention de coopération a été signée entre la Préfecture du Syunik (Arménie) et la Région française Auvergne-Rhône-Alpes (AuRa). Cinq secteurs ont été identifiés comme prioritaires par les deux partenaires : la santé, la formation professionnelle, l’agriculture, le tourisme et la francophonie. Notre mission en décembre 2023 avait pour objectif d’identifier les acteurs et leurs projets, d’évaluer les besoins de la région Syunik selon les axes prédéfinis et de proposer de potentiels projets.
Les autorités arméniennes du Syunik ont indiqué à la région Auvergne-Rhône-Alpes leur volonté de travailler à la définition d’une stratégie régionale agricole permettant d’atteindre la souveraineté alimentaire. Dans ce contexte, la région a décidé d’envoyer une mission d’experts en décembre 2023.
Elevages dans le Syunik
L’élevage bovin présente une grande diversité ; allant de petites unités de 2 vaches, passant par des structures moyennes (20 vaches) jusqu’à de grandes structures de 450 vaches. La transformation du lait s’organise entre les petits éleveurs qui livrent leur lait à une exploitation de taille moyenne qui peut transformer ou à des collecteurs qui livrent à des unités de transformation. Des formations sur la transformation du lait sont mises en place dans les établissements agricoles de Sissian et de Goris pour de potentielles créations d’unités. Des fermes pédagogiques ont été construites à proximité de ces centres de formation. Les équipes rencontrées souhaitent un accompagnement pour intégrer ces fermes comme support pédagogique dans leur enseignement. Ces fermes pourraient aussi servir de support pédagogique pour des formations continues.
Pour maintenir l’élevage bovin, l’enjeu est de transformer le lait localement avec un coût de production inférieur au prix du marché (poudre de lait importée entraînant une chute des prix de vente) ou un prix du marché correct pour rentabiliser l’approvisionnement en lait local.
L’Arménie a deux priorités pour l’élevage ovin : renforcer sa production de protéines animales pour assurer sa sécurité alimentaire et exporter des agneaux vers l’Iran et les pays du Golfe. La région Syunik a des conditions favorables à l’élevage ovin (géographie avec des plateaux d’altitude vers Sissian et Goris, espaces, climat, élevage présent) mais aussi des difficultés (perte de pâturages du fait des conflits avec le pays voisin, manque de capacités d’investissement…). Des moutons de la race blanche des massifs ont été introduits dans le but d ‘améliorer la production. L’enjeu serait d’accompagner la diffusion de races plus productives, la gestion des pâturages et une alimentation adaptée.
Filière fruits dans le Syunik
L’abricot (Prunus armenica) et la grenade (Punica granatum) sont des fruits emblématiques de l’Arménie. La production de fruits est très développée dans toute l’Arménie. La qualité des fruits du sud du Syunik (Megrhi, frontière avec l’Iran) est reconnue. Des projets dans cette filière ont été menés par l’ONG CARD, par l’irrigation dans les vergers, le séchage des fruits et leur vente. Plusieurs enjeux sont exprimés par les acteurs : la rénovation de l’irrigation, l’amélioration de la transformation, de l’emballage et de la distribution. Une approche de structuration de cette filière semble nécessaire.
La formation agricole dans le Syunik
Plus de 440 élèves sont répartis dans les deux collèges/lycées agraires de Goris et de Sissian. Depuis 2006, une antenne de l’université agraire d’Erevan ANAU, offrent aux jeunes un enseignement supérieur dans le Syunik. La formation professionnelle et, par conséquent, la formation agricole est en train de vivre un tournant important en introduisant des formations «duales» ou en apprentissage, dans le but d’attirer plus de jeunes et ainsi pour maintenir les emplois dans le Syunik.
Les équipes pédagogiques rencontrées ont montré un intérêt particulier pour des échanges d’expertises avec les établissements agricoles français et pour la francophonie.
Contact : Evelyne Bohuon, animatrice du réseau Arménie de l’enseignement agricole, evelyne.bohuon@educagri.fr
Ovinpiades Mondiales 2024
OVINPIADES MONDIALES 2024
Un concours qui se déploie partout en France et concerne entre 700 et 900 participants sur tout le territoire
2024 sera sous le signe de la diversité à l’international
Fil rouge de l’évènement : la diversité de la filière ovine
Tour de France pour les Ovinpiades internationales du 25 mai au 1er juin 2024 avec une remise des prix à la Bergerie Nationale à Rambouillet le 31 mai 2024
8 épreuves individuelles (Quiz, Manipulation et diagnostic, pesée, tonte, tri, parage et clôture mobile)
22 pays invités : Afrique du Sud, Allemagne, Angleterre, Argentine, Australie, Autriche, Bulgarie, Canada, Chili, Ecosse, Espagne, France, Hongrie, Italie, Irlande du Nord et du Sud, Pays-Bas, Pays-de-Galles, Nouvelle-Zélande, Roumanie, Uruguay, USA.
Candidats en 2024 : 18 – 23 ans inclus.
En formation ou installé/activité pro depuis moins d’un an. Meilleur Jeune Berger et Meilleure Jeune Bergère de chaque pays. Sélection libre pour chaque pays.
Pour la France, les champions des Ovinpiades du 24 février 2024 seront amenés aux Ovinpiades Mondiales.
Chaque délégation étrangère pourra emmener un accompagnateur, en plus de ses deux candidats.