Un nouvel Open Badge fait sa rentrée

Ils s’appellent Kevin, Jessica, Agnieszka ou encore Nansirine et viennent d’obtenir le tout nouveau Open Badge « Volontaire International » de l’enseignement agricole. Cette reconnaissance officielle, délivrée par le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire, atteste de l’expérience vécue par ces jeunes étrangers accueillis en lycée agricole et des principales compétences développées en suivant différentes missions.

Même si les statuts (Service Civique de réciprocité, OFAJ, CES) et les activités principales de la trentaine de jeunes accueillis lors de l’année scolaire 2021/2022 diffèrent, tous reconnaissent être montés en compétences dans les domaines suivants :

– Maîtrise de la langue française (par exemple : le vocabulaire dans le domaine de l’agriculture et de l’éducation)
– Compréhension du système éducatif français
– Capacité à prendre des initiatives pour organiser des activités liées à l’international en travaillant en équipe ou en autonomie
– Capacité à analyser et synthétiser des informations
– Aptitudes à communiquer et informer en adaptant son discours au public
– Capacité à s’intégrer dans un contexte interculturel et à s’adapter au changement

Regroupement des jeunes volontaires africains et européens à Pamiers – mai 2022

Cette liste n’est pas exhaustive et chaque jeune, au moment de la demande de son Open Badge, peut la compléter et rajouter un lien vers des articles ou autres productions réalisées pendant son volontariat.

Nous tenons à remercier tous les jeunes volontaires (photos) et leurs tuteurs pour nous avoir permis, lors des regroupements de Pamiers et Dunkerque en mai 2022, d’éditer ce nouvel Open Badge (traduit en 4 langues) et de créer son logo (Crédits image : pikisuperstar).

Ce badge « Volontaire International » est délivré en fin de volontariat et peut être demandé par les jeunes eux même en complétant le formulaire sur le lien suivant : https://openbadgefactory.com/c/earnablebadge/RCSY6WaDTa1IN/apply

Par ailleurs, ces badges représentent un formidable outil de suivi des parcours de ces jeunes et contribuent à la création d’une nouvelle communauté de jeunes professionnels étrangers qui maîtrisent bien le français, connaissent l’enseignement agricole et sont des experts dans de nombreux domaines techniques.

Au delà donc des bénéfices pour les jeunes « badgés » (insertion, valorisation de l’expérience…), ce réseau des jeunes volontaires au sens large représente une réelle opportunité pour appuyer, en France et à l’étranger, la mission de coopération internationale de l’enseignement agricole.

Le RED accompagnera dans cette perspective au cours de l’année universitaire 2022/2023 un projet tutoré d’étudiants du master « politiques culturelles et éducatives à l’international » de l’INUC d’Albi pour nous aider à organiser un rassemblement national en janvier 2023 et améliorer l’animation et la valorisation au sens large de ce nouveau réseau.

Plus d’informations sur le réseau des Volontaires Internationaux accueillis en lycée agricole (Carte des volontaires 2021/2022, Origines, Statuts, Guide de l’accueil….) : https://red.educagri.fr/le-reseau-des-volontaires-internationaux/

Plus d’informations sur les Open Badges  : https://chlorofil.fr/numerique/plan-2018-2020/suivi/open-badges

 

Présentation du logo par les jeunes volontaires lors des rencontres du RED – mai 2022 à Dunkerque

Contacts :

danuta.rzewuski@educagri.fr (RED)

vincent.rousval@educagri.fr (RED)

rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr (chargé de mission ECSI au BRECI/DGER)




L’appel à projet pour organiser le Festival ALIMENTERRE vient de paraître

Vous êtes enseignant, bénévole dans une association de solidarité internationale, acteur de la transition alimentaire ? Vous souhaitez sensibiliser et mobiliser les citoyens, en particulier les (futurs) professionnels agricoles en faveur d’une alimentation durable et solidaire et du droit à l’alimentation ?

L’appel à projet pour participer au festival ALIMENTERRE vient de paraître. Vous pouvez d’ores et déjà obtenir les liens pour visionner les films de la sélection 2022 et organiser vos futures séquences de projection / débat.

Dans l’enseignement agricole  ce sont 179 établissements  en 2021 qui ont organisé plus de 470 projections et ont ainsi permis de de sensibiliser plus de 16100 élèves et étudiants à ces enjeux.

Au menu cette année de cet événement unique du 15 octobre au 30novembre organisé par des centaines d’acteurs partout en France et dans une quinzaine de pays9 films alimenteront les débats et réflexions sur nos systèmes alimentaires et leurs impacts à l’échelle mondiale.

Parmi les thématiques qui seront abordées : l’impact des politiques agricoles et commerciales, les conséquences de l’utilisation des pesticides, l’impact des importations et des modes de consommation, les conditions de vie des producteurs, les mécanismes de l’aide alimentaire, la disparition de la biodiversité ou encore les alternatives au système de production conventionnelle.

Au programme : 2 courts métrages, 6 moyens métrages, 1 long métrage

Pour tout renseignement, contactez sur votre territoire votre coordinateur ALIMENTERRE.

Participez au Festival ALIMENTERRE en organisant un évènement :

1. Consultez l’appel à participation au festival ALIMENTERRE 2022 (pour les séances en Afrique, voir l’appel à participation ALIMENTERRE spécifique Afrique) et choisissez les films que vous souhaitez projeter.

2. Créez ou actualisez votre espace organisateur dès maintenant (mode d’emploi ici). Votre compte sera validé par votre coordinateur ALIMENTERRE.

3. Contactez le coordinateur ALIMENTERRE sur votre territoire pour être accompagné dans l’organisation de vos initiatives (conseils pédagogiques, mise à disposition des outils, mise en réseau avec des acteurs du territoire) et consultez le manuel organisateur (à venir).

4. Inscrivez vos événements sur le site alimenterre.org depuis votre compte pour qu’ils apparaissent bien sur l’agenda.

5. À l’issue du festival, saisissez le bilan de vos événements sur votre compte alimenterre.org.

Il n’y a pas de date butoir pour inscrire un événement pendant la période du festival. Néanmoins, nous vous recommandons de commencer le plus tôt possible afin d’avoir le temps de gérer les questions pratiques (trouver un lieu, trouver des intervenants…) et d’avoir le temps de communiquer sur votre événement et de trouver du public.

>> SUPPORTS DE COMMUNICATION <<

Accédez aux supports de communication en version numérique et à personnaliser si vous le souhaitez.

Pour obtenir les affiches et autres documents en format papier, vous pouvez vous adresser à votre coordination ALIMENTERRE.

La communication autour de votre événement est essentielle ! Retrouvez plus de détail et nos conseils  sur la communication autour du festival.

>> OUTILS PEDAGOGIQUES <<

Accédez aux outils pédagogiques organisés par thématique.


 

Un dispositif national d’appui existe au niveau national pour vous aider dans l’organisation du festival :

Formations Régionales (Bretagne et Centre Val de Loire pour la rentrée 2022)

Formation nationale PNF en mars 2023 ( En Bretagne avec l’Institut Agro)

– Le Prix jeunes ALIMENTERRE

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Contacts :

danuta.rzewuski@educagri.fr (RED)

vincent.rousval@educagri.fr (RED)

rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr (chargé de mission ECSI au BRECI/DGER)

 




Faculté béninoise s’intéresse aux services civiques

Le service civique en réciprocité … un véritable levier d’intensification des mobilités entre la France et le Bénin et renforce le continuum entre l’enseignement technique agricole et l’enseignement supérieur agricole. Focus sur l’intérêt exprimé par la Faculté des sciences Agronomiques de l’Université Abomey Calavi au Bénin.

Le jeudi 13 mai 2022, le lycée agricole Honoré de Balzac de Castelnau le Lez a accueilli une délégation de la Faculté des Sciences Agronomiques (FSA) l’Université d’Abomey Calavi (UAC), de l’Université de Lorraine et de l’Institut Agro Montpellier qui s’est tout particulièrement intéressée aux étudiants béninois en service civique : Nansirine Ismaïnou et Isaac Bognon.

Intégrer la culture entrepreneuriale dans la formation supérieure

    La visite s’inscrit dans le projet BIOVALOR « Renforcement de la démarche compétences et de la culture entrepreneuriale dans la formation supérieure agronomique à la Faculté des Sciences Agronomique de l’UAC : leviers pour l’insertion professionnelle et le développement de la bio-économie au Bénin ». Le projet BIOVALOR est soutenu par le programme « Partenariats avec l’Enseignement Supérieur Africain » (PEA), géré par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) et financé par l’Agence Française de Développement (AFD). Il s’agira notamment de revisiter les curricula des formations de la FSA afin d’améliorer l’insertion des jeunes diplômés dans 6 filières cibles (riz, ananas, anacarde, fonio, karité et sisré), de développer des recherches en lien avec les besoins exprimés par les structures employeuses des diplômés de la FSA et de contribuer à l’émergence d’un village entrepreneurial.

BIOVALOR rime avec mobilité

Afin d’accélérer l’identification des réformes à mettre en place, le projet BIOVALOR va financer sur quatre années des mobilités d’étudiants de la FSA vers l’Institut Agro Montpellier et l’Université de Lorraine. Il s’agira à la fois de faciliter l’acquisition de compétences particulièrement utiles aux besoins des filières, mais aussi de les inscrire dans le dispositif Erasmus+ avec une reconnaissance des crédits obtenus par l’Université d’origine de l’étudiant.

Or des mobilités ont déjà démarré entre la FSA et le lycée de Riscles dans le Gers, entre l’Université Nationale d’Agriculture du Bénin et le lycée de Castelnau Le Lez. Ce sont de jeunes étudiants béninois, sélectionnés en fonction de leur projet personnel, et des besoins des lycées qui effectuent un séjour financé par le dispositif de service civique, avec l’appui du réseau Afrique de l’Ouest de la DGER, et en lien avec France Volontaire ainsi que l’Agence du Service Civique.

Nansirine maîtrise la production végétale biologique

Nansirine nous a présenté ses activités dans la serre du lycée avec son maitre de stage M Picasso. Elle maitrise l’ensemble des activités de production et de vente et participe activement à la formation des élèves du lycée. Aimé Bokonon Ganta, Vice-Doyen  de l’Ecole des Sciences et Techniques de la Production Végétale de la FSA et entomologiste a pu apprécier combien Nansirine maitrise l’ensemble des méthodes de lutte biologique utilisées dans la serre.

Issac acquiert de la pratique

Le domaine d’Isaac est positionné dans la halle de technologie alimentaire. Il dispose déjà d’une licence en technologie alimentaire mais avec très peu de pratique. Or au lycée de Castelnau Le Lez, il a pu non seulement maitriser l’ensemble des appareils de transformation, superviser le travail des élèves, les former à l’assurance qualité et acquérir également une certification pour gérer certains appareils comme l’autoclave.

Le doyen de la FSA, M. Bonaventure Ahohuendo et l’ensemble de la délégation sont repartis enchantés de cette visite d’autant que la directrice adjointe du lycée, Mme Chavagneux, a pu donner à la fois un aperçu des activités du lycée et du dispositif d’enseignement technique agricole dans son ensemble.

Ce dispositif d’accueil des étudiants en service civique dans l’enseignement technique agricole français s’inscrit dans une politique plus large de coopération avec le Bénin. Cette action de coopération n’est pas isolée. Les lycées agricoles, avec l’accompagnement du réseau Afrique de l’Ouest de la DGER, coopérant avec de nombreux pays africains (Côte d’Ivoire, Sénégal, Burkina Faso, Madagascar …) échangent régulièrement ce qui fait que l’enseignement technique agricole dispose déjà d’une belle expérience et expertise dans ce domaine. C’est ce qu’a expliqué Serge Misericordia, enseignant et coordinateur des actions partenariales avec le Bénin, lors de la visite.

Il s’agira maintenant d’explorer les synergies entre les mobilités de service civique et les mobilités soutenues par BIOVALOR pour que les idées et projet de Nansirine, d’Isaac et de leurs jeunes collègues deviennent réalité. Nous allons y travailler dans la mise en œuvre du projet BIOVALOR a assuré Guido Rychen directeur de l’ENSAIA de Nancy et Jean-Luc Bosio chef du service des relations internationales à l’Institut Agro Montpellier.

Enseignement technique et supérieur : une complémentarité

Cette synergie entre établissement d’enseignements technique et supérieur est déjà une réalité a rappelé Jean-Luc Bosio en présentant à nouveau Stécyna Kiki, animateur du projet BIOVALOR au Béninui et présent à la visite. Stécyna est animateur et employée par l’Université de Lorraine. Originaire du Bénin, elle est venue étudier en BTS agricole à Arras, a suivi une « prépa » au lycée agricole de Quétigny près de Dijon et a intégré le cursus SAADS de l’Institut Agro Montpellier en 2012. Plusieurs étudiants étrangers choisissent cette complémentarité entre enseignement technique et supérieur agricole en France. Certains recherchent même une première expérience de travail dans un lycée agricole en France comme Mansour Sow directeur de l’exploitation du Neubourg en Normandie ou Alain Yao à l’EPLEFPA de Limoges.

Est-ce que Nansirine et Isaac suivront cette voie ?

Nous allons tenter de voir comment mieux intégrer les mobilités de service civique dans les cursus de l’Université d’origine, peut être imaginer des parcours de mobilité au niveau licence puis master a assuré les réprésentants de la délégation qui ont chaleureusement remercié toute l’équipe du lycée.

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Contacts : Jean-Luc BOSIO, Chef du service des Relations Internationales et des Langues / Institut Agro Montpellier, jean-luc.bosio@supagro.fr

Vanessa Forsans, Enseignante au LEGTA Le Chesnoy / co-animatrice du réseau Afrique de l’Ouest – animatrice du réseau CEFAGRI de l’enseignement agricole, vanessa.forsans@educagri.fr

Jean-Roland Arbus, Agronome au Legta La Vinadie – 46100 Figeac/ Co-animateur réseau Afrique de l’Ouest de l’enseignement agricole, jean-roland.arbus@educagri.fr

Rachid BENLAFQUIH, Chargé des programmes Afrique Subsaharienne et Océan Indien, Expertise publique et soutien aux professionnels à l’international, Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale (ECSI)/Jeunesse (MASA-DGER-BRECI), rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr




Acteurs de la Coop réunis !

La première réunion en présentiel, après plus d’un an et demi en distanciel, a été l’occasion de rassembler les acteurs de la coopération européenne et internationale de l’enseignement agricole pour faire un point sur les sujets d’actualité.

Accueillis par Sabine Brun-Rageul, Directrice de Bordeaux Sciences-Agro, l’équipe du Bureau des relations Européenne et de la Coopération Internationale, les animateurs des réseaux Europe et International et les chargés de coopération en DRAAF se sont réunis à Bordeaux les 17, 18 et 19 novembre 2021 pour les rencontres nationales des réseaux de coopération internationale de la DGER. Cette première réunion nationale a troqué la visioconférence par une vaste salle où tous les participants ont apprécié d’échanger.

Point sur les chantiers 2022

Le programme de travail était bien chargé, outre, l’actualité de la mobilité dans le contexte sanitaire que nous connaissons et les aspects plus administratifs du travail des réseaux, il a été question du retour du Salon de l’agriculture en 2022 et des concours jeunes qui devraient reprendre à cette occasion si les conditions le permettent. Un point d’étape sur la semestrialisation des BTSA dans le cadre du LMD a été également fait, enjeu important en vue d’un renforcement des échanges d’apprenants de ce niveau de formation, y compris avec des partenaires hors UE.

Les outils au service de l’ECSI

Ces trois jours ont notamment été l’occasion de faire un point sur l’actualité de l’éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale (ECSI), dont la récente mise à jour de la cartographie des actions d’ECSI dans l’enseignement agricole grâce au travail remarquable de Martine Gwana Passa, stagiaire au RED et étudiante en licence professionnelle Chargée de projet de solidarité internationale et développement durable à l’Université Bordeaux – Montaigne.

Au-delà du recensement des actions menées dans les lycées et CFA agricoles publics et privés, une démarche d’évaluation de la mission de l’ECSI a été engagée grâce à une étude globale de 4 mois sur les pratiques afin de relever les forces et les faiblesses du dispositif d’accompagnement de la mission de coopération internationale au niveau local, régional et national.

Le réseau a également présenté les derniers outils disponibles : le carnet de la mobilité et un retour sur le guide de la mobilité ainsi que les différentes versions linguistiques du jeu AgroChallenges et les futures formations, les prix et leurs nouveautés : Prix Europe-Hippocrène/prix Moveagri/prix Alimenterre/ PIEED (prix des initiatives pour un monde plus solidaire).

Des Démarches simplifiées en construction

C’était aussi une opportunité de présenter, pour la première fois, l’utilisation des formulaires de déclaration de mobilité internationale sur l’application Démarches simplifiées qui sera lancée nationalement en 2022. Animé par James Chaigneaud, chargé de coopération DRAAF Occitanie, ce moment a donné lieu à une présentation et une simulation de renseignement de deux formulaires ainsi qu’à un échange sur quelques adaptations de ces formulaires qui devraient être proposés à tous les établissements de l’enseignement technique sous leur forme pilote courant 2022.

Des liens privilégiés en ambassade

Une intervention de Marie Christine Le Gal, conseillère agricole pour la Pologne, la Hongrie et les pays baltes et Représentante de l’amicale des Conseillers aux Affaires Agricoles, a permis de faire le lien entre les réseaux et d’échanger sur les synergies et les mobilisations possibles, financières, logistiques, informationnelles…, pour une coopération efficace et dynamique.

Nouvelle génération d’animateurs

Par ailleurs, ces journées de travail ont permis de faire plus ample connaissance avec les animateurs nouvellement arrivés dans le réseau : Franck Copin pour le Japon, Aurélia Haioun en tant que Chargée de Mission Europe et Programme Erasmus+ – secteur Jeunesse, Yann Jagoury et Florent Dionizy sur la zone Nigéria et Cameroun ainsi qu’Evelyne Bohuon sur Russie-Arménie et enfin Julien Amouret pour l’Ukraine.

Bar-Camp Erasmus+ : pas de spectateurs, tous participants !

La nouvelle programmation Erasmus+2021-2027 a constitué un prétexte intéressant à la mise en place d’un BarCamp aux profits des animateurs de réseaux, des chargés de coopérations en DRAAF et des agents du BRECI en administration centrale.

Animés par les CMEPE, expertes sectorielles du programme, avec la collaboration des représentantes des agences Erasmus+ éducation et jeunesse et sports, les ateliers participatifs se sont tenus le 18 novembre matin, permettant dans un cadre concret de se mettre à jour sur le programme Erasmus+, de confronter des idées et des difficultés afin de proposer aux établissements un accompagnement efficace dans leurs projets de mobilités et de partenariats.

Pour mieux connaître les acteurs de la coopération européenne et internationale, consultez l’onglet Acteurs du site

Photo de tête d’article : crédit photo – Bordeaux Siences-Agro