L’Argentine au TIEA 2021, une aventure gagnante

Le TIEA (Trophée International de l’Enseignement Agricole), est une des rares compétitions maintenues en 2021 par le Concours Général Agricole suite au report du Salon International de l’Agriculture en 2022. Dans cette édition si particulière, en « distanciel » , l’Argentine s’impose devant la Chine et la Belgique dans la section « établissements étrangers ».

Ce trophée historique, précédemment connu sous le nom de Trophée National des Lycées Agricoles (TNLA), a fêté son 20ème anniversaire en 2021. Les organisateurs ont prévu de changer son nom et d’adapter certaines épreuves pour lui donner une résonance plus internationale.

Malheureusement, la crise sanitaire provoquée par la pandémie de Covid19 n’a pas permis de présenter cette révolution au public du Salon International de l’Agriculture et a même mis un coup de frein au projet initial. Le règlement a donc été aménagé suite à l’annonce du report du Salon International de l’Agriculture de Paris en 2022, pour permettre aux établissements de participer à distance.

Le TIEA « nouvelle formule 2021» a donc consisté en 2 épreuves, la première est la rédaction d’un article de presse et la seconde reste une présentation d’un bovin mais sous format vidéo.

Palmarès en « Live »

Le palmarès du trophée 2021 a été annoncé lors d’une cérémonie digitale le jeudi 20 mai 2021 en « live » sur Facebook, dans le cadre de la semaine de l’agriculture française.

Cérémonie de remise des prix du TIEA 2021, présidée par le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie. Cliquez sur l’image pour assistez à la remise des prix du Concours général agricole – TIEA 2021 en replay.

Lors de cette cérémonie, Julien Denormandie, Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Jean-luc Poulain, Président du Ceneca et Olivier Alleman, Commissaire Général du CGA ont remis les prix des 3 concours du Concours Général Agricole qui ont pu se dérouler cette année : le Prix d’Excellence des produits, le Concours des Pratiques Agro-Ecologiques et enfin le Trophée International de l’Enseignement Agricole.

Dans la 3ème section de ce concours, 3 établissements, belges, chinois et argentins, étaient en compétition pour le TIEA du « Meilleur établissement étranger ». Le classement final est le suivant :

– le 1er prix pour l’établissement argentin « Escuela de educacion Agraria – Goyena » en partenariat avec l’établissement agricole français l’EPL La Roque- Rodez qui prend la 2ème place de la section 2 « Races allaitantes »,

– le 2ème prix pour l’établissement chinois « Shandong vocational animal science and veterinary college » dont le lycée partenaire était le LEGTA du Robillard, qui a remporté le 1er prix dans la section 1 « Races laitières »,

– et le 3ème prix pour l’établissement belge « IPEA La Reid Institut Provincial d’Enseignement Agronomique » en partenariat avec le lycée agricole Pommerit (CNEAP), qui se place au 15ème rang dans la section 1 « Races laitières »

Les réseaux Europe et International de l’enseignement agricole français contribuent chaque année à la proposition d’établissements étrangers qui peuvent s’engager comme partenaire aux côtés d’un établissement agricole français.

Une participation née d’une coopération

C’est le cas cette année de l’établissement Chinois « Shandong vocational animal science and veterinary college » avec le LEGTA du Robillard dont la participation jumelée au TIEA 2021 est le fruit d’un long travail soutenu par l’animateur du réseau Chine de l’enseignement agricole français.

« Nous avons opéré ce rapprochement entre les deux établissements car il faisait sens »

En effet, cette collaboration Franco-Chinoise s’inscrit parfaitement dans l’accord cadre « formation professionnelle agricole », signé entre les ministères, qui

Visio-conférence entre les jeunes chinois et les jeunes normands lors de la préparation du TIEA 2021

souhaite promouvoir les échanges entre étudiants. Aussi, ces dernières années, il a permis à l’EPL du Robillard, un des acteurs phares de la coopération avec la Chine, de cimenter leur engagement avec un partenariat fiable et pérenne.

L’alchimie entre les deux établissements fut tellement bonne l’an passé, que sous leur impulsion les organisateurs du concours ont bien voulu modifier le règlement concernant les langues utilisées dans les épreuves du concours.

Suite à cette participation, l’établissement chinois de Shandong est enthousiaste pour continuer à échanger avec l’EPL du Robillard et espère ardemment pouvoir venir préparer en Normandie l’édition du TIEA 2022.

La Chine est particulièrement sensible à ce type de concours et il ne serait pas étonnant d’avoir plus de participants dans le futur.

Le TNLA, ancienne formule, avait déjà initié la présence de participants étrangers comme pays à l’honneur, mais le concours n’avait jamais reçu autant de candidats étrangers.

Une aventure gagnante

En ce qui concerne les vainqueurs argentins, il s’agissait de leur première participation. L’équipe de l’« Escuela de educacion Agraria » a tenu à participer à la cérémonie en présence du Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation français, et ce malgré le décalage horaire (il était 4h du matin à Buenos Aires).

L’ambition des animateurs des réseaux géographiques et du Bureau des Relations Européennes et de la Coopération Internationale du MAA est d’accompagner l’internationalisation du TIEA en favorisant des partenariats existants dans l’enseignement agricole et en appuyant l’émergence de nouvelles candidatures étrangères dans les années à venir. Le retour au Salon Internationale de l’Agriculture à Paris en 2022 apportera évidemment un pouvoir d’attraction supplémentaire pour nos partenaires étrangers.

Découvrez les articles de presse rédigés en français par les candidats internationaux : Deux drapeaux, un seul regard… lier des histoires, des saveurs et des savoirs de l’établissement argentin de « l’Escuela de educacion Agraria – Goyena », D’une terre vierge à la construction de notre avenir de l’établissement chinois par le« Shandong vocational animal science and veterinary college » et Demain nous appartient de l’établissement belge de l’« IPEA La Reid Institut Provincial d’Enseignement Agronomique ».
Revivez le concours en visionnant les prestations des équipes internationales au TIEA 2021 :

Vidéo de présentation de la vache Holando – Goyena, Argentine :

Vidéo de présentation de la vache – Shandong, Chine :

Vidéo de présentation de la vache – La Reid, Belgique :

En savoir plus, visionnez la prestation de l’équipe de l’EPL La Roque (Rodez) évoquant leur coopération avec leur partenaire argentin :

 

Contacts :

Paul Ménard, Coordinateur des concours jeunes Europe & International au Salon International de l’Agriculture de Paris (SIA), paul.menard@educagri.fr

Max Monot, Animateur du réseau Chine de l’enseignement agricole, max.monot@educagri.fr




Cacao « to show »

Une tournée du documentaire « Keka Wongan » est organisée pour faire connaître sa démarche dans les établissements publics agricoles français. Actuellement, 20 séances ont été programmées dont celle qui a eu lieu vendredi 2 avril sur l’EPLEFPA de Castelnau-le-Lez, en présence du chef de projet. Il s’agit, selon lui, de « dévoiler les coulisses du projet, la méthodologie à adopter lorsqu’on se lance dans un projet durable d’une telle envergure ».

Le vendredi 2 avril, le lycée professionnel agricole de Castelnau-le-Lez, sous la supervision de la directrice adjointe et du professeur qui dispose d’un tiers temps coopération internationale et européenne a réuni dans l’amphithéâtre, les élèves de trois classes. Le Chargé de mission développement durable pour l’EPLEFPA de Nantes Terre Atlantique effectue une mission, appuyée par le réseau Cameroun de l’enseignement agricole, sur l’opportunité de développer des relations de coopération entre un établissement français, le sien, et un partenaire camerounais, le Collège Régional d’Agriculture (CRA). Depuis 2014, des actions réciproques entre les deux pays sont menées et le rythme s’est accéléré pour aboutir in fine à la création à Ebolowa, d’un atelier technologique de transformation du cacao en un chocolat « made in Cameroun ». Ce projet a fait l’objet d’un film, Keka-Wongan, signifiant « notre cacao » dans la langue Bulu parlée à Ebolowa, la ville chef lieu de la région sud-Cameroun. Le court-métrage (libre de droits) a été réalisé par Julie Lizambard de Com Son Image. Elle y restitue fidèlement l’histoire de ce projet dont « l’ambition semblait démesurée au départ et l’objectif non réaliste ». Et pourtant ils l’ont fait !

Du film à la démarche éco-citoyenne

Ce film est inspirant, particulièrement pour les élèves du lycée, formés aux métiers agricoles et préoccupés, ou du moins sensibilisés aux enjeux des transitions agroécologiques et du développement durable. Il donne un exemple de pistes d’actions concrètes, et l’envie d’agir. Keka Wongan est un projet de coopération basé sur la réciprocité, qui met en avant le partenariat multi-acteurs et l’implication des apprenants tant en France qu’au Cameroun. L’objectif, pour l’intervenant comme pour le personnel qui l’a accueilli, était en partie d’inspirer les élèves du lycée Honoré de Balzac de Castelnau-Le-Lez à agir de la même façon. A leur échelle, ils peuvent s’intégrer dans une démarche écocitoyenne également, en rejoignant des réseaux d’acteurs présents depuis cette année dans l’établissement tels que les écoresponsables (au nombre de 10 parmi les élèves), ou encore l’association Lafi Bala, hébergée par le lycée et présidée par le Professeur correspondant coopération internationale. Par ailleurs, une très belle initiative de coopération internationale avec le Bénin est en place au lycée pour favoriser l’échange entre les lycéens des deux pays ; et pourquoi pas, pour ces élèves, en initiant de nouveaux projets.

Un film comme promotion d’une coopération

La projection montre les différentes étapes de l’entreprise. La première consistait à maîtriser la phase complexe de l’approvisionnement en fèves de cacao, en incluant des exigences de qualité et le respect de l’environnement. Ces conditions ont permis aux petits cacaoculteurs de la coopérative de Bytilie d’augmenter, en moyenne, leur prix de vente de 30 %. La deuxième étape, très sensible, fut la transformation, avec l’obligation de fabriquer localement les machines pour garantir par la suite leur entretien. Enfin, « il n’y a plus qu’à vendre ! », mais en appliquant les règles du commerce équitable. Le film invite à une réflexion sur le commerce équitable Nord-Sud mais aussi Nord-Nord et Sud-Sud et sur les filières locales.

Un film comme source de réflexion plus globale

Au terme de la projection, un atelier-débat est organisé par le chef du projet afin de faire participer les élèves et connaître leur opinion sur le projet ainsi que sur ce moyen de diffusion. Des images sont disposées aléatoirement au sol et les élèves doivent choisir celle qui leur fait penser, d’une manière ou d’une autre, au film qu’ils viennent de regarder. Ils doivent ensuite s’exprimer un par un et expliquer le rapport qu’ils ont trouvé entre cette image et le film. Le chef du projet Keka-Wongan accueille leur point de vue et y répond en confirmant le lien qu’on peut trouver entre ces images, même déroutantes, et le projet. Par exemple, un pont a été fait entre l’image d’un champ de tournesols et le film : le champ de tournesols représentait, d’après un élève, l’aspect vaste et gigantesque de la nature, qui s’étend à perte de vue. Cela symbolisait, selon le jeune, l’importance de la faune et la flore, et cela se retrouvait dans le projet qui s’inscrit dans une démarche de développement durable, concept dans lequel l’environnement est une priorité. L’objectif de cet exercice particulier d’analyse d’illustrations était de faire conduire aux élèves une réflexion globale. Cette réflexion les amenant à comprendre les enjeux du projet présenté en allant au-delà des actions concrètes,  en d’autres termes : d’en tirer des leçons.

Une « tournée » qui favorise le partage

Cette vision participative est véritablement recherchée par l’intervenant qui insiste sur l’importance du regard des jeunes. C’est la raison pour laquelle il entreprend cette « tournée » des établissements scolaires. Il souhaite faire connaître ce projet et son histoire, mais également obtenir des réponses : savoir ce que cela inspire aux apprenants.

Ainsi, le partage est le maître mot de ce projet qui a été favorablement accueilli par les lycéens et quelques enseignants du lycée Honoré de Balzac. Un dialogue est constamment recherché, de l’étape de création du projet :  quand il faut établir un partenariat entre le lycée de Nantes et le CRA d’Ebolowa, à celle du déroulement : lorsqu’il s’agit de travailler à plusieurs mains une fois l’entreprise démarrée au Cameroun. « Chacun donne le même effort, ce n’est pas l’un qui donne et l’autre qui reçoit » jusqu’à la dernière phase, celle de la diffusion du projet dans les établissements et attendant, de la part de l’auditoire, une réaction et une opinion.

En l’occurrence, c’est grâce à la curiosité et à la réceptivité des élèves, émus par une réalisation dont les plans laissaient voir beaucoup de complicité et de partage entre les écoresponsables français et camerounais, que cet échange a pu se poursuivre au-delà de l’horaire défini au départ.

Article rédigé par Jessica Rouveirol, Volontaire en service civique au lycée professionnel agricole Honoré de Balzac de Castelneau-Le-Lez

 

Pour découvrir le film, visionnez le maintenant

Contact : Florent DIONIZY, Chargé de mission développement durable pour l’EPLEFPA de Nantes Terre Atlantique, florent.dionizy@educagri.fr

Regis DUPUY, animateur du réseau Cameroun de l’enseignement agricole, regis.dupuy@educagri.fr

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr




De retour en Afrique après un service civique en lycée agricole (1)

Ils sont Ivoiriens, Béninois, Sénégalais, Burkinabè et ont effectué au cours des années scolaires 2018-2019 et 2019-2020 une mission de service civique dans un lycée agricole en France.

De retour chez eux, ils ont d’abord partagé cette expérience avec leur structure d’envoi (ONG ou institut de formation agricole) et France Volontaires. Puis ils n’ont pas tardé à créer leur activité ou à trouver un emploi à la hauteur de leur formation.

C’est ce qu’ils nous présentent à tour de rôle dans cette série dont voici le premier portrait :

Baila BA, sénégalais, technicien horticole à Dakar après un service civique au lycée agricole de Tournus

Ma mission de service civique au LPA de Tournus

D’octobre 2018 à juin 2019, j’ai effectué une mission de service civique au Lycée de l’horticulture et du paysage de Tournus (71700). J’y ai trouvé beaucoup d’intérêt, comme la découverte d’une région française et de son agriculture, des connaissances culturelles et techniques, une ouverture sur le monde, la possibilité d’apprendre d’autres techniques horticoles, les échanges socioculturels…

J’ai développé des compétences de travail en équipe, d’initiation au monde professionnel, de soudure, de maçonnerie paysagère. Et j’ai pu acquérir plusieurs attestations : en D.A.O. (Dessin Assisté par Ordinateur), en Sauveteur Secourisme du Travail, et le CACES (Certificat d’Aptitude de Conduite d’Engins en Sécurité).

Pour en savoir plus sur le déroulement de ma mission de service civique, vous pouvez visionner mon témoignage, enregistré lors des Rencontres du Réseau Afrique de l’Ouest au LEGTA Le Chesnoy en janvier 2019 : Baila Ba – témoignage service civique 2019

La création de mon activité horticole au Sénégal

Je suis désormais agro-entrepreneur évoluant dans l’agro-business, l’agro-alimentaire et l’aménagement paysager.

Pour mettre en route ces activités, j’ai reçu une aide de l’OFII de 6300€. J’ai pour l’instant reçu la première tranche, 4000€, et le reste est complété sur fonds propres. J’emploie directement trois personnes dans les locaux de l’entreprise et indirectement quatre personnes selon les besoins de mes chantiers.

Nous vendons des fruits et légumes avec possibilité d’abonnements et de livraison à domicile, ainsi que des jus locaux, des smoothies, des milshakes… Nous faisons aussi des études, conceptions, réalisations et suivis de jardins et espaces verts, de la décoration verte intérieure et du conseil agricole. On a pas mal de clients fixes en ce moment. On propose des prestations de bonne qualité à des prix raisonnables.

On travaille avec des particuliers mais aussi avec des entreprises et quelques ministères, surtout pour les plantes d’intérieur.

Nous sommes en train de mettre en œuvre une application mobile et un site internet pour permettre aux clients de passer des commandes en ligne. Et dans mes projets à moyen terme il y a la création d’un entrepôt de stockage de fruits et légumes alimenté par énergie solaire, pour la vente en gros.

Contacts :

Vanessa FORSANS, Jean-Roland ARBUS, co-animateurs du réseau Afrique de l’Ouest, vanessa.forsans@educagri.fr, jean-roland.arbus@educagri.fr

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr




Lycées agricoles, lieux d’ouverture au monde

6 sujets « Europe et international » sont présentés par les réseaux Europe & international et les établissements d’enseignement technique ainsi que les représentants du MAA à l’international dans l’ACTU-DGER, numéro 7 du mois d’avril 2021. 

Dossier du mois : Choisir l’enseignement agricole… pour son ouverture européenne et internationale
  • L’Europe ouverte aux apprenant… Partir en Roumanie pour participer à la protection de la nature… Une expérience au Chili et lauréate du concours Moveagri… Reconnaître les compétences avec le système des Open-Badges, Europass et autres… Aller plus loin encore… Sénégalement solidaires… La coopération, c’est aussi accueillir… « Un séjour qui nous a tant appris et qui nous a ouvert l’esprit »… Coopération internationale et engagement citoyen…
Afrique
  • L’aventure du vivant en 2020 avec le Sénégal, cap sur 2021…

Réalisation d’ateliers en virtuel de co-construction de curricula avec le cluster horticulture, des instituts supérieurs d’enseignement professionnel (ISEP) ou encore l’école normale supérieure d’enseignement technique et professionnel… Première édition du Prix ALIMENTERRE dans le cadre du festival éponyme… Un AgroBootCamp organisé pour la première fois au Sénégal… 2021 devrait voir se réaliser la formation de formateurs et de directeurs pour les ISEP…

  • Une coopération ambitieuse pour la formation agricole avec le Cameroun

Le premier Comité de Suivi de la coopération Franco-Camerounaise dans le domaine de l’enseignement et de la formation agropastorale et rurale… Une longue et riche coopération entre le Cameroun et la France autour des deux axes… Une coopération intégrée dans une stratégie globale au profit d’une dynamique renouvelée… Trouver ensemble des solutions ambitieuses et durables, consolidation et pérennisation du programme PCP AFOP…

Zone Europe –
  • La parution de l’appel à propositions et le guide du programme 2021 Erasmus +
  • Prix Hippocrène de l’éducation à l’Europe : « L’enseignement agricole fait fort »

C’est le lycée d’enseignement agricole privé Saint-Dominique de Valréas (84) qui s’est vu décerner le Grand Prix de la Fondation Hippocrène pour son projet ««6!YES» 6 Innovations Young European Search»… Le LEGTA François Rabelais, Civergols (48) qui présentait sont travail intitulé «Devenir Ambassadeurs d’une Agriculture durable en Europe – The BASAE project (To Become Ambassadors of a Sustainable Agriculture in Europe) »… L’Institut Lemonnier pour son projet dédié à La bataille de Normandie comme fait historique clé de la construction européenne…

Zone Asie
  • Du Manga à l’expérience culinaire

Les jeunes participants ont appris à dessiner les personnages de leurs mangas préférés…  Une séance de dégustation a permis aux élèves de découvrir les saveurs des aliments qui apparaissent dans les mangas…

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