« Die Rückkehr der Berliner »

Les berlinois sont de retour ! Reprise des mobilités entrantes grâce à un accueil personnalisé : ce que le réseau Allemagne de l’enseignement agricole français met en œuvre pour relancer la machine !

En 34 ans, des centaines de stagiaires de nos deux pays ont pu bénéficier d’échanges entre la France et l’Allemagne, il a fallu une pandémie pour perturber cette belle dynamique… Pendant 2 ans le lycée agricole du Pflixbourg n’a plus accueilli de stagiaire berlinois dans le cadre de son partenariat initié en 1988 avec l’école de paysage Peter Lenné Schule de Berlin.

Heureusement l’enthousiasme de nos homologues berlinois ne s’est pas étiolé !

Jardin de Berchigranges en juillet – Crédit photographique : Site du jardin de Berchigranges

L’arrivée de Johannes WEILAND au jardin de Berchigranges pour son stage en aménagement paysager en septembre 2021 a marqué la reprise des accueils de stagiaires. En parallèle du stage au jardin de Berchigrange, le lycée de Wintzenheim et son pôle coopération internationale, sous l’égide de l’animatrice du réseau Allemagne, ont organisé un accueil personnalisé pour favoriser les échanges avec les étudiants français désireux de partir en mobilité de stage à Berlin.

Ce fut l’occasion d’effectuer plusieurs sorties autour de la thématique des jardins urbains, de découvrir une ferme d’aquaponie et de visiter un quartier écologique historique et frontalier : le quartier Vauban à Fribourg en Brisgau. Les stagiaires allemands ont également pu visiter les infrastructures de l’école horticoles de Wintzenheim : les serres de production, les parcelles d’expérimentation ainsi que les espaces de stockage du matériel technique.  Ils ont également partagé leurs impressions avec les étudiants en BTSA, l’occasion pour Johannes de constater :

 » La partie purement scolaire est beaucoup plus importante chez vous en France. En Allemagne on passe plus de temps en immersion en entreprise. « 

Accueil au lycée horticole de Wintzenheim du stagiaire berlinois Johannes Weiland

Planning de l’accueil de Johannes WEILAND

Depuis, ça n’arrête plus !

Du 25 avril au 20 mai 2022  c’était au tour d’Elena SABA et Marc MEINKE de venir se perfectionner en reconnaissance des végétaux et en soin à prodiguer aux plates endémiques vosgiennes. Les deux stagiaires sont retournés auprès de leur maître de stage allemand au jardin botanique de Berlin avec la ferme intention d’inviter les étudiants de Wintzenheim à découvrir leur espace de travail privilégié.

Ulrike s’entrainant à reconnaitre les espèces endémiques au jardin de Berchigranges.

Depuis le 4 juin jusqu’au 2 juillet 2022, Ulrike ALTEN a pris le relais pour seconder les époux DRONET dans l’entretien et l’aménagement de leur jardin, à l’image des cottage anglais, localisé dans les Vosges.

Dernière stagiaire en date: Rosa KARST qui terminera son stage en fin septembre 2022.

Tous nos stagiaires se sont vu remettre un Europass mobilité attestant des compétences

professionnelles et transversales acquises durant leur semaines d’immersion au jardin de Berchigranges.

 

Renouvellement de partenariat

Le partenariat entre l’école de Wintzenheim et la Peter Lenné Schule de Berlin fut renouvelé lors de la signature d’un MOU, initié à Berlin même, dans la cadre de mobilités Erasmus+ du personnel, pour les enseignants porteurs des projets de coopération internationale du lycée de Wintzenheim. Cette convention permet de pérenniser les placements de stagiaires dans les deux pays mais aussi de définir les nouvelles stratégies de partenariat incluant les mobilités Erasmus+ et Mopagest (Consortium de mobilité Erasmus+ de la région Grand-Est-France) pour les élèves en classe de BAC pro.

Signature du MOU avec le directeur de la Peter Lenné Schule de Berlin, M. Alker

Les perspectives

Début octobre 2022, une rencontre du nouveau correspondant coopération internationale M. Roland Plogmann est programmée à l’occasion d’une visioconférence. Il remplace Wilfried Lindloff, parti en retraite et deviendra le contact privilégié de l’établissement de Wintzenheim.

Fin octobre 2022, des mobilités de stage des Bac pro seront organisées à Berlin et en mars 2023, un voyage d’étude des BTSA Aménagment Paysager est envisagé à Berlin pour rencontrer les homologues.

Les étudiants français pourront également bénéficier d’une bourse de l’OFAJ, une bourse du Ministère français de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ou encore d’une prise en charge par une bourse du programme Eramsus+ s’ils souhaitent emboiter le pas à leurs homologues allemands et se former à leur métier dans un cadre international privilégié.

Gageons que l’enthousiasme des stagiaires allemands motivera nos apprenants à franchir ce pas !

Pour visiter le jardin de Berchigranges dans les Vosges

Découvrez toute la coopération internationale de l’EPL les Sillons de Haute Alsace au Pflixbourg

Contact: Audrey Baumann, Animatrice du réseau Allemagne, Autriche, Suisse de l’Enseignement Agricole, audrey.baumann@educagri.fr




L’aventure d’Angela de Duao à l’Agro

Angela, étudiante chilienne, a suivi un parcours académique remarquable, du lycée agricole de Duao à l’Institut Agro Rennes-Angers !

Angela a réalisé un semestre d’échange à l’Institut Agro Rennes-Angers de janvier à juin 2022 sur le campus de Rennes, avec l’appui du programme Erasmus+ Mobilité Internationale de Crédits, qu’elle a obtenu avec l’Université de Talca, son université d’origine.

La volonté comme moteur de réussite

L’apprentissage du français n’a pas été facile mais grâce aux cours proposés par son université avant sa mobilité, aux 5 semaines de cours intensifs suivis à son arrivée et à sa ténacité, elle a été en capacité de suivre les cours et d’échanger avec les autres étudiants.

Partir aussi loin de chez soi, c’est une aventure mais Angela n’a pas froid aux yeux. C’est une boule d’énergie et de volonté. Car, il en faut de la volonté !

Tout d’abord pour accéder au cursus d’ingénieur agronome de l’université de Talca en venant de son lycée agricole qui délivre une formation sensiblement équivalente au niveau Bac Pro de l’enseignement agricole français. La marche est grande pour les jeunes Chiliens et rares sont ceux et celles qui accèdent à l’université en provenant de ce type d’établissement. Il se trouve que son lycée de Duao, géré par la corporation SNA Educa, fait partie des établissements partenaires du réseau Chili de l’enseignement agricole et de sa plateforme de stages mise en place depuis 12 ans maintenant. Dans ce cadre, Angela était déjà venue en Bourgogne au lycée de Fontaines en 2016 pour un mois.

C’est donc déjà sa deuxième aventure française mais pas la dernière !

Une suite angevine

En effet, Angela reviendra dès février 2023 sur le campus d’Angers et sera la première étudiante de son université à suivre le cursus de double diplôme d’ingénieur récemment signé entre l’Université Talca et l’Institut Agro Rennes-Angers !

Un pas de plus qui renforce encore les liens Formation/Recherche entre l’Institut Agro et l’Université de Talca et qui ouvre la voie à de nombreuses mobilités à venir. Le tiers des étudiants de première année du cursus d’ingénieur agronome de Talca est d’ores et déjà inscrit aux cours de français dans la perspective de ce double diplôme et les étudiants angevins sont également sur les starting blocs !

Après les échanges académiques (semestres d’échange) et scientifiques (thèses en cotutelle), le parcours en double-diplôme d’Angela marque une nouvelle étape de cette fructueuse collaboration.

Photo de tête d’article : De gauche à droite : Angela, étudiante de l’Université de Talca, B. Jaloux, enseignant chercheur à l’Institut Agro Rennes-Angers et référent du double diplôme, F. Brisoux, directeur adjoint des relations internationales Rennes-Angers et Blas Lavandero, chercheur de l’Université de Talca (mobilité Erasmus+ au Campus d’Angers).

Contact : François Brisoux, Directeur adjoint des relations internationale de l’Institut Agro Rennes-Angers, francois.brisoux@agrocampus-ouest.fr

 




L’expertise française au service du projet FABA

L’expertise de l’enseignement technique agricole a été mobilisée dans le cadre du projet FABA lors de deux missions en avril 2022 afin d’élaborer des collaborations pédagogiques avec des établissements partenaires ivoiriens et camerounais.

Porté par le Cirad et l’Institut Agro, co-financé par le Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères et le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire, le projet FABA a pour objectif de développer les formations pour une banane plantain durable en Afrique de l’Ouest et Centrale, à l’attention des producteurs, conseillers et enseignants, afin d’augmenter significativement la production en réponse aux enjeux de sécurité alimentaire, de nutrition et d’emploi, dans une approche innovante, attentive aux jeunes et aux femmes, respectueuse des ressources et du climat et dans la perspective de transférer les acquis du projet à d’autres filières.

Ce projet vise l’intensification agroécologique avec la réalisation de kits pédagogiques en s’appuyant sur des capsules vidéos.

Les deux missions menées par l’enseignement technique agricole s’inscrivent dans l’une de ses composantes, consistant en collaborations pédagogiques de sorte à voir comment les établissements africains partenaires pourraient s’approprier et mettre en œuvre les ressources pédagogiques élaborées dans le cadre du projet FABA.

Enseigner à Produire Autrement pour les transitions et l’agroécologie (EPA2)…

En s’appuyant sur l’expérience acquise dans l’enseignement technique agricole au travers du programme  EPA2 d’une part, et de partenariats forts avec la Côte d’Ivoire et le Cameroun d’autre part, il s’est agi de conduire un travail d’analyse des pratiques pédagogiques actuelles dans 2 établissements partenaires ivoiriens de l’INFPA (Bingerville et Abengourou) et 2 établissements partenaires camerounais du programme AFOP (Akonolinga et Sangmélima) et de co-construire des perspectives d’améliorations permettant de mieux prendre en compte les questions de transitions agroécologiques ou d’intensification agroécologique des productions agricoles dans une perspective de création d’emplois, de soutien à l’entreprenariat et l’installation d’agriculteurs, d’amélioration des revenus et des conditions de vie des populations, et de préservation de leur santé et des ressources naturelles.

… en Côte d’Ivoire…

 

… et au Cameroun

 

 

 

 

 

 

Ce travail s’est concentré en particulier sur les stratégies pédagogiques mises en oeuvre par les enseignants afin de stimuler la réflexion des apprenants à l’occasion par exemple de mises en situations nécessitant l’élaboration de résolution de problèmes en proposant des solutions « innovantes » au regard de problématiques ou défis aussi divers que le besoin de produire sans pesticides, la préservation de la biodiversité au champ et des sols, la maîtrise des risques économiques, climatiques et sanitaires, tout en valorisant les savoirs endogènes.

Il a ainsi paru intéressant de regarder particulièrement comment les enseignants créent (ou pas) de l’interactivité avec leurs apprenants, notamment lors de mises en situations pratiques, en s’appuyant sur des supports d’apprentissage, de démonstration ou d’expérimentation tels que des champs écoles par exemple. Il s’est agi aussi de regarder si ces enseignements sont formalisés par des ressources pédagogiques capitalisables, partageables et transférables.

Ce travail d’analyse mené sur les pratiques pédagogiques en agroécologie en général a vocation à ouvrir des perspectives d’améliorations de cet enseignement de façon transversale et inspirer les objectifs plus spécifiques du projet FABA qui est centré sur la banane plantain.

Dans ce contexte il était également nécessaire de comprendre dans quelle mesure les institutions en charge de l’enseignement agricole contribuent aux transitions agroécologiques et à l’intensification agroécologique (produire plus mais mieux par la réduction d’intrants, en rupture avec les révolutions vertes traditionnelles).

Des ateliers de travail fructueux

La première étape a été de caractériser l’enseignement des transitions agroécologiques dans les établissements partenaires camerounais et ivoiriens.

Pour ce faire, les experts français ont d’abord proposé aux apprenants et formateurs des établissements partenaires un questionnaire d’enquête en vue d’analyser les pratiques pédagogiques. Il s’agissait notamment de s’intéresser à plusieurs séries d’interrogations :

– comment les apprenants sont impliqués dans la mise en œuvre des objectifs de développement durable,

– comment ils sont mis en situation d’acteurs de leur formation, de l’innovation agroécologique,

– comment ils sont sensibilisés à l’économie sociale et solidaire ;

– comment est encouragé l’enseignement de l’agroécologie au sein des établissements par le renforcement de capacités des formateurs ;

– comment est amélioré le renforcement des capacités des agriculteurs sur la pratique de l’agroécologie dans les exploitations agricoles (éventuellement en lien avec les formateurs / conseillers) ;

– comment est valorisée la production d’aliments sains et durables destinés à tous.

Des échanges, sous formes d’entretiens ou de worlcafé, ont permis de faire émerger les forces et faiblesses, les opportunités et menaces des possibilités d’enseigner à produire autrement au Cameroun et en Côte d’Ivoire.

Les experts – directeur (de l’EPL de Pontivy) et directeurs-adjoints (du LPA de Vire et du LPA de Castelnau-le-Lez), directeur de l’exploitation agricole (du LPA de Vire) – ont présenté le plan EPA2 (Enseigner à Produire Autrement pour les transitions et l’agroécologie) et sa déclinaison dans leurs établissements respectifs en Plan Local Enseigner à Produire Autrement (PLEPA). De nouveaux échanges par groupes (apprenants / formateurs / producteurs) ont alors permis de faire émerger un plan d’actions de ce type pour les établissements partenaires camerounais et ivoiriens. Un point focal a été choisi, et un comité de pilotage constitué, de sorte à mener à bien les actions ainsi définies.

De la pédagogie en serious game

Enfin, un partage d’expérience pédagogique ludique a clôturé les ateliers de travail grâce au serious game Agrochallenges, qui a remporté un vif succès, tant auprès des apprenants que des formateurs, signe d’un réel intérêt pour des ressources et pratiques pédagogiques innovantes.

Paroles d’experts

Frédéric Regourd, directeur-adjoint, et Xavier Baudouin, directeur de l’exploitation agricole du LPA de Vire, témoignent de leur mission d’expertise en Côte d’Ivoire :

« Quelques mots sur notre retour d’expérience…

L’objectif de la mission FABA à laquelle nous avons participé au mois d’avril 2022 en Côte d’Ivoire était de renforcer les capacités des producteurs et d’autres acteurs de la filière banane plantain, pour favoriser l’intensification écologique de la culture du bananier plantain par la construction et la diffusion d’outils et de contenus pédagogiques innovants.

Petit retour en arrière : en tant que responsables d’un établissement d’enseignement agricole, le ministère nous a demandé de mettre en place depuis 2020 un PLEPA (Plan Local Enseigner à Produire Autrement). Cette démarche de travail en équipe a permis d’élaborer une stratégie pédagogique pour favoriser les apprentissages de l’agroécologie.

Dans ce contexte, notre mission FABA en Côte d’Ivoire nous a permis de témoigner et de former nos collègues ivoiriens à la démarche de projet pour la mise en place de séquences pédagogiques.

Notre établissement est partenaire depuis de très longues années de l’INFPA et plus particulièrement l’ESEMV (École de Spécialisation en Élevage et Métiers de la Viande) et l’École Régionale d’Agriculture Sud, à Bingerville. Naturellement nous avons pu les rencontrer en priorité, mais nous avons aussi travaillé avec un établissement situé à Abengourou : l’École Régionale d’Agriculture Est.

Le principe a été de rencontrer l’équipe d’enseignants ainsi que les étudiants, une explication de ce qu’est l’agroécologie a démarré la journée, pour ensuite faire place à des tables rondes et des ateliers qui ont permis de voir les besoins de chacun et faire émerger des axes de travail.

La richesse des échanges et la sincérité des relations ont permis d’élaborer en 2 jours sur chaque site deux plans locaux enseigner à produire autrement : une sacrée performance quand on sait que chez nous la même démarche a pris un an !

Cette expérience a été pour nous très instructive et une réussite ! La coopération internationale trouve ici une application concrète avec des équipes pédagogiques qui parlent d’égal à égal et qui ont les mêmes problématiques au niveau des apprenants.

Nous avons pu planifier de futurs échanges à distance afin de poursuivre le travail engagé, le lien entre les équipes pédagogiques est important et la diffusion commune de films du festival Alimenterre permettra de continuer ce riche partenariat.

Un repas ivoirien à base de banane plantain a aussi été réalisé par nos cuisines du lycée agricole de Vire.

Mais déjà, vite après notre retour, a été élaborée une recette à base de banane plantain par notre atelier de transformation, avec la participation d’une étudiante de l’INFPA en mission de service civique.

Et nous avons un projet de mobilité d’une classe de bac pro à Bingerville fin novembre 2022, avec échanges de pratiques sur « produire autrement pour les transitions et l’agroécologie », notamment à l’occasion du SARA (Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales) au cours duquel aura lieu le « Forum franco-ivoirien : agroécologie et enseignement agricole » proposé par le Réseau Afrique de l’Ouest du BRECI/DGER, en partenariat avec l’INFPA.

Prêts pour les prochains échanges 🙂 »

Contacts : Vanessa Forsans, animatrice des réseaux Afrique de l’Ouest et CEFAGRI de l’enseignement agricole, vanessa.forsans@educagri.fr

Rachid BENLAFQUIH, Chargé de mission Afrique / Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale / Expertise internationale au BRECI-DGER, rachid.benlafquih@agriculture.gouv.fr




Des « Roll-up » qui invitent à bouger

9 établissements composent le Consortium Erasmus + d’Ile de France, il permet aux élèves de la voie professionnelle et aux personnels des établissements d’effectuer des mobilités de stage en Europe. Chaque établissement va être doté de supports de communication pour promouvoir cette mobilité européenne.

Des mobilités ont eu lieu dans de nombreux pays d’Europe, dès la création du Consortium, en 2018 et 2019, dans des entreprises de paysage, des centres équestres, des écoles d’agricultures ou encore dans des exploitations agricoles, selon les formations des élèves bénéficiaires. Les mobilités ont été stoppées pendant les mois de restrictions de déplacement dues à la crise sanitaire.

Ces périodes ont été employées différemment par le comité de pilotage du Consortium : des projets de communication ont donc vu le jour.

Des roll up de présentation du Consortium seront prochainement distribués aux établissements membres du Consortium pour encourager les mobilités en stage des apprenants des établissements d’Ile-de-France.

Un film sur les mobilités de stage est également en cours de réalisation à partir des vidéos réalisées par les élèves sur leurs lieux de stage à l’étranger. Ces supports de communication sont financés par le volet « soutien organisationnel » de l’Agence Erasmus +.

 

Établissements membres du Consortium :

Lycée agricole et horticole de Saint Germain en Laye (lycée porteur), Lycée agricole de La Bretonnière, lycée agricole Bougainville,  Bergerie Nationale de Rambouillet, lycée Le Buat, lycée La Salle Igny, Ecole Du Breuil, lycée Sully, CFA Fenelon.

Consortium Elise2A – Echanges des lycées d’Ile de France / Stages européens de l’enseignement agricole

Contact : Anne-Caroline VINET, Chargée de Coopération internationale en DRAAF-SRFD Ile-de-France