Projets de mobilité Enseignement supérieur – Cycle « Prêts pour Erasmus+ 2024 »
L’appel à propositions 2024 pour les Projets de mobilité de l’enseignement supérieur soutenue par les fonds de politique extérieure (Action-Clé 171 – AC171) a un réel intérêt pour les établissements d’enseignement supérieur.
Dans le cadre du cycle d’accompagnement « Prêts pour Erasmus+ 2024 ! », l’Agence Erasmus+ organise une session de questions-réponses en ligne mercredi 13 décembre 2023, de 14h à 15h.
Ce webinaire sera l’occasion de répondre à vos questions sur la construction de votre projet et l’élaboration de votre candidature, ainsi que de vous donner des conseils pour déposer le meilleur projet possible.
En complément de ce temps de questions-réponses, nous vous invitons à consulter le support de présentation générale de l’AC171, disponible en téléchargement sur le site Mon Projet Erasmus+, encart « Accompagnement » à droite de cette page : https://monprojet.erasmusplus.fr/fiche-action/appel=2024&codeAction=KA171-HED
Le formulaire de candidature pour cette action est désormais ouvert et la date limite de candidature est fixée au 20 février 2024 à 12h (heure de Bruxelles).
Nous vous informons par ailleurs qu’une seconde session de questions-réponses en ligne aura lieu le mercredi 31 janvier 2024, de 14h à 15h.
Contact : Corinne Samouilla, Chargée de mission Erasmus + Enseignement supérieur pour l’enseignement agricole, corinne.samouilla@educagri.fr
Appel Jeunesse 2024 – Coopération décentralisée
Les appels à projets en soutien à la coopération décentralisée de 2024 – Appel Jeunesse 2024
Appel Jeunesse : soutien des initiatives de coopération décentralisée en matière de jeunesse et de volontariat, d’éducation de base et de formation professionnelle
La Délégation pour l’action extérieure des collectivités territoriales du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères annonce la liste de ses appels à projets en soutien à la coopération décentralisée pour 2024 et particulièrement l’appel consacré spécifiquement aux projets basés sur les politiques jeunesse, la mobilité et l’accueil des jeunes en lien avec des thématiques conformes aux ODD.
Les établissements de l’enseignement agricole sont invités à prendre contact avec les collectivités territoriales de leur région pour connaître les projets de coopération décentralisées à intégrer ou à co-construire en tant que partenaire territorial.
L’agroécologie : un apprentissage collectif
Un projet d’envergure pour accompagner la mise en œuvre de dispositifs de formation de formateurs en agroécologie qui repose sur la mobilisation de savoirs endogènes en collaboration avec des chercheurs sénégalais, béninois et togolais.
Dans le cadre de l’appel à projet « Alimentation durable et Agroécologie en Afrique », le projet porté par Jean-Pierre Del Corso, Professeur de sciences économiques à l’ENSFEA, « Accompagner la mise en œuvre de dispositifs de formation de formateurs en agroécologie reposant sur la mobilisation de savoirs endogènes », a obtenu un financement de 150 K€ de la Région Occitanie pour une durée de trois ans. Ce projet rassemble des chercheurs de France (ENSFEA/UT2J) et d’Afrique (Sénégal/Bénin/Togo), mais aussi des enseignants de l’enseignement technique agricole (comme le lycée d’Auzeville) et des acteurs du monde associatif tels que « SOL, Alternatives Agroécologiques et Solidaires ».
Sur quoi porte ce projet ?
Ces dernières années, on assiste à l’émergence de démarches agroécologiques initiées par des collectifs d’agriculteurs en Afrique et en Occitanie. Ces démarches basées sur les échanges et la mutualisation d’expériences entre agriculteurs inaugurent de nouvelles formes d’apprentissages collectifs. Reposant sur des savoirs endogènes (cf. encart), ces apprentissages permettent de soutenir des processus d’innovation tout en limitant les prises de risques techniques et économiques pour les acteurs car les coûts d’apprentissage sont supportés par le collectif.
La diffusion et l’essaimage sur une plus grande échelle territoriale de démarches agroécologiques basées sur des savoirs endogènes butent cependant sur des obstacles socio-cognitifs non négligeables. En effet, l’adoption de pratiques agroécologiques est conditionnée par d’importantes transformations mentales en agriculture : telle que la nécessité d’une rupture avec l’habitude bien ancrée d’utilisation systématique de produits phytosanitaires.
Savoirs endogènes
Par définition, les savoirs endogènes sont très largement inscrits (situés) dans les territoires. Dans les pays d’Afrique subsaharienne, ces savoirs agricoles traditionnels ont jadis joué un rôle déterminant dans le maintien de l’équilibre des écosystèmes ruraux, avant d’être fortement remis en cause par les programmes d’intensification agricole développés à l’initiative des gouvernements et des organisations internationales. La forte urbanisation et la croissance démographique ont également eu un impact négatif sur la préservation de ces savoirs. Au final, ils ont été souvent déconsidérés, voire en partie oubliés. Ils représentent pourtant des ressources territoriales potentiellement activables pour stimuler des formes d’innovation frugale (Radjou, 2014) en agriculture et soutenir la mise en place de systèmes agroécologiques comme le prouvent les premières réussites d’expériences développées dans les territoires d’Occitanie et d’Afrique subsaharienne. Dans ce deuxième territoire, des fermes écoles agroécologiques récemment créées parviennent, souvent avec bonheur, à réactiver des savoirs et des pratiques agricoles endogènes dans des démarches collectives agroécologiques (voir par exemple : projet Beer Shéba, ActSol, Kaydara, Nguiguiss Bamba et Tolour Keur au Sénégal).
Les dispositifs de formation, et tout particulièrement ceux axés sur la formation des formateurs, sont évidemment des vecteurs potentiellement majeurs pour soutenir de telles révisions des modes de raisonnement et favoriser l’essaimage de pratiques agroécologiques. Pour jouer pleinement ce rôle, les dispositifs en question nécessitent d’être repensés. D’une part, la conception des curricula en termes de compétences semble devoir s’imposer dans la mesure où l’objectif prioritaire est de favoriser la maîtrise par les apprenants de connaissances opératoires et situées, et donc très sensibles aux spécificités des contextes d’application. D’autre part et complémentairement, il s’agit d’associer étroitement les acteurs locaux, détenteurs de savoirs endogènes, à la conception et à la réalisation des formations. In fine, ces évolutions curriculaires doivent permettre de doter les apprenants de compétences appropriées pour impulser et animer des démarches d’innovation collectives et participatives. Si ces préoccupations commencent à trouver une traduction dans les politiques publiques de formation, elles restent très limitées dans la réalité.
Leviers d’une transition
Le projet vise à identifier et promouvoir l’usage de savoirs agricoles endogènes comme leviers d’une transition agroécologique en s’appuyant sur la formation de formateurs.
La conduite du projet s’appuie sur les démarches innovantes d’agroécologie mises en œuvre dans la Région Occitanie et les trois territoires d’Afrique : le Bassin arachidier au Sénégal, la région des plateaux au Togo, le site rizicole de Dokomey au Bénin.
Quels savoirs endogènes sur les 4 territoires ?
La première étape de ce projet a consisté à identifier les savoirs endogènes spécifiques mobilisées dans les quatre territoires d’étude. Pour chacun de ces territoires, l’objectif a été de dresser une cartographie desdits savoirs afin d’identifier des acteurs individuels et collectifs qui en sont détenteurs, mais aussi de repérer des conditions économiques et financières requises à leur déploiement et des freins socio-économiques à leurs utilisations.
12 stagiaires 6 mois ont été recrutés (6 français et 6 africains) pour réaliser ce travail. Au total, 275 entretiens ont été réalisés par un binôme d’étudiants de master pendant une période entre mars et octobre 2022. Ces entretiens ont permis d’identifier 148 savoirs répartis sur les 4 territoires. L’enquête a montré qu’une grande majorité des savoirs identifiés est issue de sources variées, mais provenant essentiellement de l’héritage familial et d’échanges de conseils entre producteurs locaux.
Un futur diplôme international Nord/Sud
La deuxième étape, actuellement en cours, a pour but d’accompagner et mettre en œuvre une démarche d’ingénierie de formation. Cette nouvelle phase du projet ambitieux est structurée en plusieurs étapes, soit l’écriture de curricula de formation par compétences en agroécologie intégrant des savoirs endogènes, la mise en œuvre expérimentale de ces curricula dans 4 centres de formation agricole (ENSA de Thiès / INFA du Togo / Bénin / ENSFEA-Lycée d’Auzeville) et enfin la capitalisation d’expériences à des fins d’élaboration de dispositifs de formation de formateurs en agroécologie.
L’analyse territoriale comparative et le croisement d’expériences entre les différents partenaires durant toutes les phases de réalisation du programme d’actions sont considérés comme des gages importants de la réussite du projet et de sa dynamique.
L’ambition est que ce dispositif expérimental de formation puisse déboucher dans les années à venir sur un diplôme international de collaboration Nord/Sud d’enseignement supérieur de formation de formateurs en agroécologie.
Vers un revalorisation des savoirs endogènes
Prochainement, une plateforme numérique verra le jour sur laquelle seront déposés les principaux « produits » de l’opération. Cette plateforme a vocation à faciliter le transfert et l’essaimage des acquis de cette opération à une échelle territoriale élargie.
Enfin, un séminaire final est programmé pour mars 2025 à l’ENSFEA de Toulouse, qui sera le point d’orgue de ces études pour ouvrir les conclusions aux acteurs de la société civile. Il constituera un moment important pour dresser un bilan du programme d’actions et engager une réflexion sur les innovations à introduire dans les systèmes de la formation agricole, au Nord comme au Sud, pour favoriser une meilleure diffusion de pratiques agro-écologiques reposant sur une revalorisation de savoirs endogènes.
La rentrée est synonyme du renouveau, des bonnes résolutions, où de nouveaux engagements se planifient : c’est le moment de se lancer dans des projets individuels ou collectifs pour développer un projet innovant, ancré dans son territoire et ouvert à l’international… et pour prendre conscience de sa citoyenneté européenne et se confronter aux grands enjeux mondiaux !
L’enseignement agricole permet de développer des projets à titre individuel dans le cadre des mobilités en Europe et à l’international, de mesurer ses capacités en participant à des concours d’initiatives personnel ou en groupe, de s’engager dans des enjeux de solidarité ou encore de sensibilisation aux objectifs de développement durable.
Vivre des expériences cela passe par la connaissance du monde
Partir en mobilité se prépare plusieurs mois en amont : des formations pour les enseignants et formateurs, des outils et guides aident à construire le projet de mobilité des jeunes et des équipes pédagogiques et professionnelles.
Le programme ERASMUS+ permet de s’inscrire dans une dynamique de projet européen complet (échanges, pédagogie croisée, formation, mobilité, partenariat). Le dispositif représente 85 % de la mobilité sortante de l’enseignement agricole, contribuant ainsi fortement à la construction d’une Union Européenne forte et ouverte sur le monde.
Un projet d’équipe : atelier d’écriture Erasmus+
Dansle cadre de la programmation Erasmus + 2021–2027, la Commission européenne a lancé son appel à proposition 2022 concernant les actions «mobilité des individus» (clé n°1). Les demandes d’accréditation pour des projets relevant de ces actions devront être déposées le 19 octobre 2022 – Pour se préparer, une seconde vague d’ateliers d’écriture de dossier a été organisée par la DGER pour les candidats aux dépôt de dossiers Erasmus+, le 22 septembre 2022 pour les Secteur « Enseignement et Formation Professionnels (EFP) » et Secteur « Enseignement Scolaire » (SCO), à Paris grâce à l’expertise des Chargées de mission Europe et Programme Erasmus+ – CMEPE de l’enseignement agricole.
Des projets de mobilité collective ou des organisations d’évènements autour de l’Europe ? Inspirez-vous des projets réalisés par et avec des jeunes ; les expériences mises en avant au court de la Présidence française de l’Union européenne, le projet NECTAR sur les innovations pédagogiques vertes en terme de transitions agroécologiques, l’économie circulaire au coeur des projets européens, présentés par France Europea… et bien d’autres articles publiés sur PortailCoop.
Même la mobilité individuelle, ça se partage
Dès septembre jusqu’à décembre 2022 : Mettez toutes les chances de votre côté pour remporter le prix Moveagri 2022.
Comment faire ? Créer un blog de témoignage d’expériences de sa mobilité à l’étranger (stage, service civique, séjour académique, formation pour une reconversion, nouvelle orientation…), poster des photos, des vidéos illustrant vos découvertes et pratiques techniques à l’étranger.
Prix de la meilleure Vidéo ou Réel Instagram« Gestes professionnel en action »
Le concours dote les lauréats d’une récompense de 300 euros pour chacun des premiers Prix.
Ce concours est ouvert à tout apprenant (élève, apprenti, stagiaire ou étudiant et service civique international) inscrit dans un établissement d’enseignement agricole (établissement public ou privé, du technique ou du supérieur) tout au long de l’année pour partager ses expériences.
Publiez et donnez vous une chance de remporter l’un des 4 prix Moveagri !
Echanger avec les jeunes d’Europe
Les ErasmusDays… Ils se sont déroulé cette année entre le 13 et le 15 Octobre.
Tous les porteurs de projets Erasmus+ sont invités à organiser chaque année un événement à la mi-octobre pour célébrer les ErasmsDays. Les participants organisent une ou plusieurs journées autour de témoignages sur l’impact des projets passés ou en cours. Ils peuvent aussi envisager de nouvelles coopérations éducatives autour des enjeux de la transformation numérique, du développement durable, de l’inclusion sociale et professionnelle, de participation à la vie démocratique. Ces thématiques sont les nouvelles priorités du programme Erasmus+ 2021-2027, qui ont été au coeur des #ErasmusDays 2022.
Les ErasmusDays 2022 de l’enseignement agricole ont été lancé par le Ministre, Marc Fesneau, en personne !
Retrouvez les kits et guides d’organisations sur le site Erasmus+
Le développement durable, la solidarité et la citoyenneté internationale : des messages forts !
Au delà de l’enrichissement linguistique, la coopération européenne et internationale permet un enrichissement personnel, une ouverture sur l’autre et sa culture et ainsi comprendre les mécanismes d’interdépendance et d’exclusion en France et dans le monde. L’initiation à la citoyenneté et à la solidarité internationale développe un esprit critique par l’apprentissage des réalités internationales et la compréhension des enjeux environnementaux et sociaux et de plus favorise l’engagement citoyen.
En cela, l’éducation au développement durable croise pleinement l’éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale.
Découvrir et débattre autour d’un film
En prenant conscience de l’interdépendance et la similitude des enjeux agricoles et alimentaires dans le monde, les citoyens peuvent agir pour une alimentation durable et solidaire et contribuer au droit à l’alimentation ici et ailleurs.
Etablissements de l’enseignement agricole, vous souhaitez sensibiliser et mobiliser les jeunes citoyens, en particulier les (futurs) professionnels agricoles en faveur d’une alimentation durable et solidaire et du droit à l’alimentation ?
Du 15 Octobre – 30 novembre 2022 – le Festival Alimenterre propose 9 films primés pour réfléchir à l’avenir !
Comment faire ? Prendre contact avec le coordonnateur « Alimenterre », consulter la banque de films, les outils pédagogiques, organiser la projection et un débat au sein de l’établissement.
Pour ce faire, s’inscrire sur la plateforme, définir un film primé du « Festival Alimenterre 2022 » et organiser l’évènement, c’est le premier pas de la sensibilisation qui mènera vers une possible participation au prix « Alimenterre ».
Sensibiliser les autres aux enjeux de l’alimentation durable
En prolongement du Festival ALIMENTERRE, les initiatives peuvent naître des réflexions nées des débats organisés au sein des établissements. Elles peuvent être récompenser et valoriser comme initiatives novatrices et mobilisatrices. Ces actions, mises en œuvre par les jeunes dans le cadre de leur parcours scolaire ou non, peuvent être valoriser et financer. Les projets impulsant des changements durables auprès de tous, basés sur les thématiques en lien avec l’un des objectifs de développement durable (n°2) qui est défini par les Nations Unies, pourront faire l’objet d’une candidature au Prix Alimenterre 2023 sous la forme de réalisations (films, jeu pédagogique, organisation d’évènement de sensibilisation…etc).
Le Prix Alimenterre récompense les 3 premiers lauréats pour un total de 3 600€.
Septembre 2022 marquera le lancement de la 10ème édition du Prix Alimenterre (dépôt des candidatures jusqu’à mi-mars 2023).
S’unir pour devenir citoyen européen
La fondation Hippocrène en collaboration avec le ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ouvrira le Prix Europe 2023 de novembre 2022 à janvier 2023. La formation, la mobilité, les échanges et les projets communs sont les meilleurs moyens pour les jeunes de concrétiser leur appartenance à un ensemble commun et de prendre conscience de leur citoyenneté européenne.
C’est l’occasion de le partager et de tenter d’être reconnu par le Jury et remporter le prix de l’enseignement agricole pour faire vivre son projet.
Prochainement : Lancement du prix de l’Année Européenne de la Jeunesse de l’enseignement agricole (AEJ)
Dans l’objectif d’impliquer plus encore l’enseignement agricole dans l’AEJ, la DGER met en place un concours, qui regrouperait les thèmes de la jeunesse, de l’Europe et de la ruralité.
Il s’agit à la fois de promouvoir l’Europe dans l’enseignement agricole et de le promouvoir « hors les murs », en encourageant les jeunes des établissements à s’interroger sur les métiers qu’ils souhaiteraient exercer après leurs études, métiers à dimension européenne ou inscrits dans l’une des priorités de l’Europe (environnement, inclusion, numérique).
Comment participer ?
A cette fin, les jeunes réaliseront, en petite équipe, des courtes interviews dans lesquelles ils décrivent leur métier d’avenir : « mon métier mystère de 2030 en 180 secondes ». Les jeunes sont invités soit à se projeter dans les évolutions d’un métier qu’ils apprennent actuellement, soit à imaginer un métier qui n’existe pas aujourd’hui.
Règlement du concours à venir, pour un dépôt des candidatures l’annonce de lancement et une remise des prix en décembre 2022.
Public éligible : les élèves, étudiants et apprentis de l’enseignement agricole public et privé, technique et supérieur.
En jeu, des moments festifs et de partage et des voyages : billets d’entrée à l’Europa – Park (pour les collégiens / lycéens), tickets d’accès à un festival green et européen ou à un salon numérique (pour les étudiants), pass interrail (pour les apprentis), des places pour un événement sportif…
Les Open-Badges, un plus pour faire reconnaître ses compétences
Des Open-badges numériques validés par le ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire sont désormais délivrés aux jeunes et équipes pédagogiques impliquées dans différents concours pour reconnaître les compétences acquises lors de leurs expériences dans le domaines de l’éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale.
Ces Open-Badges seront un plus à valoriser dans son CV numérique et au cours des démarches de stage professionnel ou lors des futurs contacts professionnels.
Depuis 2020, le ministère en charge de l’agriculture décerne une série d’Open badges aux jeunes participants aux actions telles que :
Le Prix Alimenterre avec deux open badges : « Lauréat ALIMENTERRE » et « Citoyen ALIMENTERRE », les blogeurs de Moveagri, avec les Open-Badges « Reporter » et « Ambassadeur », les jeunes ayant une expérience du jeu de rôle pédagogique sur les principes de l’agroécologie, Agrochallenges, en bénéficiant des Open-Badges « Ambassador » et « Challenger ». Enfin les jeunes accueillis en établissement agricole en tant que Volontaires internationaux.
Contacts :
Les référents programmes Erasmus+ pour appuyer les établissements d’enseignement agricole : Anne-Sophie GOYON, anne-sophie.goyon@educagri.fr, Marthe GEOFFROY, marthe.geoffroy@educagri.fr, Corinne SAMOUILLA, corinne.samouilla@educagri.fr, Isabelle WILWERTZ, isabelle.wilwertz@agriculture.gouv.fr, Aurélia HAIOUN, aurelia.haioun@educagri.fr